Cette revalorisation vise à compenser la hausse des prix du carburant et l’augmentation des flux de passagers et de marchandises entre la Corse et le continent. La mesure doit être officiellement actée lors de l’examen de la seconde partie du projet de loi de finances au Sénat.
Créé en 1976 pour les transports maritimes, le dispositif de continuité territoriale a été étendu aux liaisons aériennes en 1979. Il a pour objectif de réduire les contraintes liées à l’insularité, en permettant une compensation financière des surcoûts de transport.
Le gouvernement explique vouloir "accompagner l’île face à la hausse générale des coûts et au poids de la vie chère". Cette dotation permet notamment à la Collectivité de Corse de financer les obligations de service public sur les liaisons maritimes et aériennes, tout en poursuivant un effort de maîtrise des dépenses. Mais appréciera t-elle même si dans un communiqué, Françoise Gatel rappelle que « la République sera toujours au rendez-vous de ses responsabilités » et affirme que cette décision traduit « l’engagement total de l’État pour la continuité territoriale et pour la Corse ».
10 millions de moins
Il n'empêche que cette "rallonge" est en deçà des 60 millions d'euros demandé par les élus insulaires.
Michel Castellani, député Femu a Corsica de la 1ère circonscription de Haute-Corse, membre du groupe LIOT, avait, par exemple, obtenu, en Commission des finances de l’Assemblée nationale, lors de la seconde partie du débat budgétaire concernant les dépenses, un deuxième vote favorable sur une rallonge de 60 millions d’euros de la dotation de continuité territoriale et son indexation structurelle sur l’inflation.
Dans la foulée Jean-Félix Acquaviva avait rapppelé que "si on n’obtient pas les 60 millions d’euros, la continuité territoriale ne sera plus assurée"
Créé en 1976 pour les transports maritimes, le dispositif de continuité territoriale a été étendu aux liaisons aériennes en 1979. Il a pour objectif de réduire les contraintes liées à l’insularité, en permettant une compensation financière des surcoûts de transport.
Le gouvernement explique vouloir "accompagner l’île face à la hausse générale des coûts et au poids de la vie chère". Cette dotation permet notamment à la Collectivité de Corse de financer les obligations de service public sur les liaisons maritimes et aériennes, tout en poursuivant un effort de maîtrise des dépenses. Mais appréciera t-elle même si dans un communiqué, Françoise Gatel rappelle que « la République sera toujours au rendez-vous de ses responsabilités » et affirme que cette décision traduit « l’engagement total de l’État pour la continuité territoriale et pour la Corse ».
10 millions de moins
Il n'empêche que cette "rallonge" est en deçà des 60 millions d'euros demandé par les élus insulaires.
Michel Castellani, député Femu a Corsica de la 1ère circonscription de Haute-Corse, membre du groupe LIOT, avait, par exemple, obtenu, en Commission des finances de l’Assemblée nationale, lors de la seconde partie du débat budgétaire concernant les dépenses, un deuxième vote favorable sur une rallonge de 60 millions d’euros de la dotation de continuité territoriale et son indexation structurelle sur l’inflation.
Dans la foulée Jean-Félix Acquaviva avait rapppelé que "si on n’obtient pas les 60 millions d’euros, la continuité territoriale ne sera plus assurée"
-
U tempu in Corsica
-
Ajaccio : après une « vive altercation » avec des parents d’élèves, l’Académie de Corse apporte son soutien à deux enseignantes de l’école de Pietralba
-
À Ajaccio, le collège du Stilettu inaugure un parcours inédit de sensibilisation aux pratiques mafieuses
-
Faux rapport sur les bandes criminelles en Corse : Jean-Toussaint Plasenzotti répond à Alexandre Farina
-
WUKF France était à Ajaccio pour promouvoir un karaté pluridisciplinaire











Envoyer à un ami
Version imprimable





