Dans le texte qu'il nous a fait parvenir le docteur Simeoni poursuit en ces termes;
"Le Ministre de l’Intérieur affirme « je ne lâcherai rien » (sic) ; selon lui, il y aurait ici deux problèmes : lutte contre la criminalité où nous obtenons, dit-il, des résultats exceptionnels (resic) ? - 86 assassinats en 6 ans et une seule élucidation - et le développement économique que le ministre prend à bras le corps, avec la signature de la troisième tranche du PEI, décidée il y neuf ans – 18.000 chômeurs et une économie atone ! -
Des partis et mouvements politiques tirent en vain la sonnette d’alarme, refusent de rencontrer M.Valls ; le ministre lui, écarte – on se demande à quel titre- une révision éventuelle de la Constitution française, indispensable pour installer la co-officialité de la langue corse, largement votée par l’Assemblée de Corse.
Nous pensions que le pouvoir dans ce domaine relevait du président de la République ( Défense nationale et Affaires étrangères) et du Premier ministre "qui détermine et conduit la politique de la nation" ; et non pas du chef de la Police, comme dans les républiques bananières.
Cette confusion des genres est et serait gravement préjudiciable si elle devait perdurer.
Cette fermeture laisse présager de graves difficultés. SI l’Assemblée de Corse et une majorité de citoyens veulent des réformes et que l’Etat les refuse, il est aisé de prévoir de fortes turbulences.Un tel déni de démocratie ne pourrait pas rester sans conséquences. I
Il y a une seule solution pour le peuple corse et pour l’Etat : le véritable dialogue et la sortie pérenne de crise, prenant en compte les intérêts légitimes des parties."
"Le Ministre de l’Intérieur affirme « je ne lâcherai rien » (sic) ; selon lui, il y aurait ici deux problèmes : lutte contre la criminalité où nous obtenons, dit-il, des résultats exceptionnels (resic) ? - 86 assassinats en 6 ans et une seule élucidation - et le développement économique que le ministre prend à bras le corps, avec la signature de la troisième tranche du PEI, décidée il y neuf ans – 18.000 chômeurs et une économie atone ! -
Des partis et mouvements politiques tirent en vain la sonnette d’alarme, refusent de rencontrer M.Valls ; le ministre lui, écarte – on se demande à quel titre- une révision éventuelle de la Constitution française, indispensable pour installer la co-officialité de la langue corse, largement votée par l’Assemblée de Corse.
Nous pensions que le pouvoir dans ce domaine relevait du président de la République ( Défense nationale et Affaires étrangères) et du Premier ministre "qui détermine et conduit la politique de la nation" ; et non pas du chef de la Police, comme dans les républiques bananières.
Cette confusion des genres est et serait gravement préjudiciable si elle devait perdurer.
Cette fermeture laisse présager de graves difficultés. SI l’Assemblée de Corse et une majorité de citoyens veulent des réformes et que l’Etat les refuse, il est aisé de prévoir de fortes turbulences.Un tel déni de démocratie ne pourrait pas rester sans conséquences. I
Il y a une seule solution pour le peuple corse et pour l’Etat : le véritable dialogue et la sortie pérenne de crise, prenant en compte les intérêts légitimes des parties."
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