Le public a répondu globalement présent, comme ici au moment de la soirée d'ouverture, et dans les salles.
La sélection
Du thriller psychologique (Vie privée) , une comédie romantique (L’Âme idéale), une biographie animée du grand Marcel Pagnol, un drame social (L’Intérêt d’Adam), de la SF d’animation (Arco)... Les dix films qui ont été présentés en avant-première témoignent de l’éclectisme du cinéma français, et ils sont tous parvenus à trouver leur public. Nous avons vu huit des dix films projetés. Voici notre podium.
1. L’Intérêt d’Adam, de Laura Wandel. Un huis-clos âpre, sec et puissant, au sein du service pédiatrie d’un hôpital, porté par deux formidables actrices, Léa Drucker et Anamaria Vartolomei. Mise en scène sans chichis de Laura Wandel, et c’est heureux car l’enjeu, c’est la santé d’un enfant.
2. Arco, d’Ugo Bienvenu. On pense beaucoup au Château dans le ciel, d’Hayao Miyazaki. Arco séduit par son esthétique arc-en-ciel. Le message optimiste qu’il délivre fait du bien, par les temps qui courent : tout ce qui vient d’ailleurs n’est pas à craindre et le futur laisse entrevoir des jours meilleurs.
3. T’as pas changé, de Jérôme Commandeur. Une comédie tendre sur le temps qui passe. Devenir quelqu’un, ce n’est pas vraiment ce qui compte, tant que l’on accepte la personne que l'on est vraiment.
Du thriller psychologique (Vie privée) , une comédie romantique (L’Âme idéale), une biographie animée du grand Marcel Pagnol, un drame social (L’Intérêt d’Adam), de la SF d’animation (Arco)... Les dix films qui ont été présentés en avant-première témoignent de l’éclectisme du cinéma français, et ils sont tous parvenus à trouver leur public. Nous avons vu huit des dix films projetés. Voici notre podium.
1. L’Intérêt d’Adam, de Laura Wandel. Un huis-clos âpre, sec et puissant, au sein du service pédiatrie d’un hôpital, porté par deux formidables actrices, Léa Drucker et Anamaria Vartolomei. Mise en scène sans chichis de Laura Wandel, et c’est heureux car l’enjeu, c’est la santé d’un enfant.
2. Arco, d’Ugo Bienvenu. On pense beaucoup au Château dans le ciel, d’Hayao Miyazaki. Arco séduit par son esthétique arc-en-ciel. Le message optimiste qu’il délivre fait du bien, par les temps qui courent : tout ce qui vient d’ailleurs n’est pas à craindre et le futur laisse entrevoir des jours meilleurs.
3. T’as pas changé, de Jérôme Commandeur. Une comédie tendre sur le temps qui passe. Devenir quelqu’un, ce n’est pas vraiment ce qui compte, tant que l’on accepte la personne que l'on est vraiment.
La pause photo "glamour" : ici le compositeur Pierre Gambini, l'acteur Michel Ferracci et le maire de Porto-Vecchio, Jean-Christophe Angelini.
Le gratin à Porto-Vecchio
Une énumération vaut mieux qu’un long discours : Roschy Zem, Marina Foïs, Diane Kurys, Thierry De Peretti, Jérôme Commandeur, Jonathan Cohen, Antonin Peretjatko, Mélissa Drigeard, Magalie Lépine-Blondeau... Des stars du cinéma français, des acteurs et réalisateurs émergents, tous ont fait l’honneur de leur présence au Portivechju Film Festival, pour accompagner la promotion de leurs films respectifs. Sans oublier la productrice Marie-Ange Luciani et la directrice de France 3 cinéma, Cécile Négrier : c’est tout un microcosme du cinéma français qui a été réuni quatre jours durant, grâce notamment au réseau de Michel Ferracci, et au pouvoir de persuasion de l’association Cinema Paradisu, en charge de la programmation. Les réalisateurs d’Intouchables, Olivier Nakache et Eric Toledano ont délivré une masterclass, et durant les quatre jours, on a aperçu quelques têtes bien connues du cinéma corse (Eric Fraticelli, Pierre Leccia, Frédéric Farrucci, Pierre-Marie Mosconi…). Enfin, la grande surprise, c’était de voir Leïla Bekhti. L’actrice était très amie avec Emilie Dequenne, décédée en mars dernier. Elle lui a rendu le plus bel hommage qui soit.
Un festival accessible
Toutes les séances du soir ont affiché complet, ou presque. Dommage que certaines invitations n’aient pas été honorées, laissant des trous béants dans l’assistance, qui auraient aisément été comblés. La journée, c’était plus clairsemé, que ce soit pour les séances ou les masterclass. La nuit tombée, cinéphiles et mélomanes se rassemblèrent en nombre, piazza’llu quartieri, pour faire la fête et déguster des spécialités. L’organisation avait fait en sorte de donner l’image d’un festival ouvert et accessible, et ce fut le cas : tout le monde pouvait entrer gratuitement. Seuls les films étaient payants, mais les masterclass, conférences et tables rondes étaient en accès libre. De plus, il était très aisé d’approcher les différentes personnalités.
Une énumération vaut mieux qu’un long discours : Roschy Zem, Marina Foïs, Diane Kurys, Thierry De Peretti, Jérôme Commandeur, Jonathan Cohen, Antonin Peretjatko, Mélissa Drigeard, Magalie Lépine-Blondeau... Des stars du cinéma français, des acteurs et réalisateurs émergents, tous ont fait l’honneur de leur présence au Portivechju Film Festival, pour accompagner la promotion de leurs films respectifs. Sans oublier la productrice Marie-Ange Luciani et la directrice de France 3 cinéma, Cécile Négrier : c’est tout un microcosme du cinéma français qui a été réuni quatre jours durant, grâce notamment au réseau de Michel Ferracci, et au pouvoir de persuasion de l’association Cinema Paradisu, en charge de la programmation. Les réalisateurs d’Intouchables, Olivier Nakache et Eric Toledano ont délivré une masterclass, et durant les quatre jours, on a aperçu quelques têtes bien connues du cinéma corse (Eric Fraticelli, Pierre Leccia, Frédéric Farrucci, Pierre-Marie Mosconi…). Enfin, la grande surprise, c’était de voir Leïla Bekhti. L’actrice était très amie avec Emilie Dequenne, décédée en mars dernier. Elle lui a rendu le plus bel hommage qui soit.
Un festival accessible
Toutes les séances du soir ont affiché complet, ou presque. Dommage que certaines invitations n’aient pas été honorées, laissant des trous béants dans l’assistance, qui auraient aisément été comblés. La journée, c’était plus clairsemé, que ce soit pour les séances ou les masterclass. La nuit tombée, cinéphiles et mélomanes se rassemblèrent en nombre, piazza’llu quartieri, pour faire la fête et déguster des spécialités. L’organisation avait fait en sorte de donner l’image d’un festival ouvert et accessible, et ce fut le cas : tout le monde pouvait entrer gratuitement. Seuls les films étaient payants, mais les masterclass, conférences et tables rondes étaient en accès libre. De plus, il était très aisé d’approcher les différentes personnalités.
Un rendu très « pro »
Des micros siglés « PFF », une identité visuelle claire, des horaires respectés… Ce sont les petits détails qui attestent du sérieux d’un événement. Mention spéciale au film hommage qui a été diffusé à la mémoire d’Emilie Dequenne : un enchaînement de beaux moments de cinéma où l’actrice belge rayonne, attendrit, ravit. Un montage que l’on doit à une sommité de la bande-annonce dans le milieu du cinéma : Sonia Mariaulle, dite « Sonia Tout Court » et qui a déclenché de longs moments d'applaudissements du public, dans la Salle rouge.
Des micros siglés « PFF », une identité visuelle claire, des horaires respectés… Ce sont les petits détails qui attestent du sérieux d’un événement. Mention spéciale au film hommage qui a été diffusé à la mémoire d’Emilie Dequenne : un enchaînement de beaux moments de cinéma où l’actrice belge rayonne, attendrit, ravit. Un montage que l’on doit à une sommité de la bande-annonce dans le milieu du cinéma : Sonia Mariaulle, dite « Sonia Tout Court » et qui a déclenché de longs moments d'applaudissements du public, dans la Salle rouge.
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