- Vos liens avec François Ollandini ?
- C’est l’histoire d’une belle amitié née il y a dix ans. Il a acheté, il y a une dizaine d’années, une de mes œuvres. On s’est rencontré cinq ans plus tard. Il aime vraiment mon travail et peu à peu, sans que nous nous en rendions compte, le musée Marc Petit est né ce qui n’était pas envisagé au départ. Aimant mes sculptures, il en a acheté une, puis deux, puis trois et tout s’est enchaîné.
- Un musée qui franchit, aujourd’hui, un nouveau palier ?
- Oui ! c’est l’idée d’un musée sous-marin. Le projet a été initié par Olivier Pourriol, philosophe. Il en a parlé avec François et moi-même. Personnellement, j’ai trouvé cette idée tellement extraordinaire que j’ai donné mon accord. La première pièce a été émergée, les autres seront immergées.
- Comment ces œuvres vont-elles être disposées ?
- Nous allons les immerger le moins profond possible (entre cinq et dix mètres), elles seront dans la même configuration que celles que l’on voit au lazaret et de tailles différentes (2 à 5 mètres) toutes tirées en béton sous-marin plus quelques sculptures qui seront disposées dans les rochers. Mais nous voulons qu’elles soient accessibles au plus grand nombre. Elles seront visibles à l’œil nu.
- Pourquoi ce musée sous-marin ?
- Il y a un côté poétique qui offre au spectateur une toute vision que celle à laquelle il est habitué. Découvrir le silence, partir du bas de la colonne pour arriver à la partie la plus haute, c’est une autre approche. Il y aura une installation avec des oiseaux, ils vont bouger sous l’eau et créer des courants marins. C’est de la poésie pure !
- C’est l’histoire d’une belle amitié née il y a dix ans. Il a acheté, il y a une dizaine d’années, une de mes œuvres. On s’est rencontré cinq ans plus tard. Il aime vraiment mon travail et peu à peu, sans que nous nous en rendions compte, le musée Marc Petit est né ce qui n’était pas envisagé au départ. Aimant mes sculptures, il en a acheté une, puis deux, puis trois et tout s’est enchaîné.
- Un musée qui franchit, aujourd’hui, un nouveau palier ?
- Oui ! c’est l’idée d’un musée sous-marin. Le projet a été initié par Olivier Pourriol, philosophe. Il en a parlé avec François et moi-même. Personnellement, j’ai trouvé cette idée tellement extraordinaire que j’ai donné mon accord. La première pièce a été émergée, les autres seront immergées.
- Comment ces œuvres vont-elles être disposées ?
- Nous allons les immerger le moins profond possible (entre cinq et dix mètres), elles seront dans la même configuration que celles que l’on voit au lazaret et de tailles différentes (2 à 5 mètres) toutes tirées en béton sous-marin plus quelques sculptures qui seront disposées dans les rochers. Mais nous voulons qu’elles soient accessibles au plus grand nombre. Elles seront visibles à l’œil nu.
- Pourquoi ce musée sous-marin ?
- Il y a un côté poétique qui offre au spectateur une toute vision que celle à laquelle il est habitué. Découvrir le silence, partir du bas de la colonne pour arriver à la partie la plus haute, c’est une autre approche. Il y aura une installation avec des oiseaux, ils vont bouger sous l’eau et créer des courants marins. C’est de la poésie pure !