Francois Tatti "salue le travail qui a conduit à l'élaboration de ce projet qui témoigne de la capacité des élus locaux à porter des projets environnementaux indispensables à la Corse.
La société corse dans son ensemble doit être consciente que sans les installations du type de celle de Tallone il n'est pas possible de préserver l'environnement. On ne peut prétendre protéger la Corse et s'opposer à chaque projet ! C'est une responsabilité collective que nous devons porter tous ensemble.
Le maire de Tallone pose à juste titre également le problème plus global de l'impact de la loi littorale sur les installations de protection de l'environnement.
Son application à la lettre reviendrait à réaliser les installations modernes de protection de l'environnement dans l'intérieur de la Corse alors même que l’essentiel des populations se situent
en zone littorale et où la production de déchets y est plus importante. Il faut donc trouver les voies et moyens de résoudre cette difficulté.
"Dans cet esprit et au nom du Syvadec François Tatti souligne qu'il "a pris l'attache de Paul Giacobbi et Maria Giudicelli pour que soit recherchées des solutions juridiques dans le cadre du Padduc et ou de la loi littorale pour répondre globalement a cette problématique."
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