
« Peupler la colline » est le 3ème roman de l’Ajaccienne Cécilia Castelli que nous avions découverte en 2019 avec Mollusque (Editions Le Serpent à Plumes). Un premier ouvrage réussi suivi l’année suivante de Frères Soleil (Editions Le Passage août 2020).
Cécilia Castelli nous entraine cette fois-ci dans le monde scolaire qu’elle connait bien puisque y ayant enseigné la littérature avant de devenir infirmière. Un thème terrible : la disparition d’un enfant lors d’une sortie scolaire. Et le destin de tous ceux qui l'ont connu va s'en trouver bouleversé.
Un roman à la fois poétique, mystérieux, bouleversant, surprenant ! Un roman d’une puissance vertigineuse où d’étranges ombres s’égarent et se guettent, dans la violence de la nature et des sentiments, jusqu’à la résolution du mystère, saisissante. Un livre qui traite du deuil impossible alliant poésie, légèreté, mais aussi de la cruauté du monde de l’enfance, de l'absence à laquelle on ne peut faire face.
Un roman qui se lit presque d’un trait grâce à la belle plume, parfois surprenante, de l’auteure.
« Romain Poitevin, jeune garçon de neuf ans, n'est pas le plus brillant, ni le plus beau, encore moins un as de popularité. A contrario, il est un peu solitaire, pas vraiment souffre-douleur mais quand même malmené par les plus grands, plus forts. Il est ce genre de gosse qu'on ne remarque pas, issu d'une famille banale, un milieu populaire, sans problèmes, chacun a sa place dans le foyer, on s'entraide, on s'aime sans faire de vagues. Frère, sœur, père et mère.
Alors, cette après-midi-là, lorsque Romain disparait en pleine nature lors d'une sortie scolaire, les choses prennent une tournure dramatique pour tous ceux qui l'ont connu.
Plus rien ne sera jamais pareil. La famille vole en éclats, son grand frère Thibault n'abandonnera jamais la recherche, la maitresse va s'enfoncer dans une épaisse brume faite de culpabilité et de désespoir dont elle ne ressortira pas. Et puis, il y a Frédéric son seul véritable ami, le dernier à l'avoir vu et à lui avoir parlé… »
Cécilia Castelli nous entraine cette fois-ci dans le monde scolaire qu’elle connait bien puisque y ayant enseigné la littérature avant de devenir infirmière. Un thème terrible : la disparition d’un enfant lors d’une sortie scolaire. Et le destin de tous ceux qui l'ont connu va s'en trouver bouleversé.
Un roman à la fois poétique, mystérieux, bouleversant, surprenant ! Un roman d’une puissance vertigineuse où d’étranges ombres s’égarent et se guettent, dans la violence de la nature et des sentiments, jusqu’à la résolution du mystère, saisissante. Un livre qui traite du deuil impossible alliant poésie, légèreté, mais aussi de la cruauté du monde de l’enfance, de l'absence à laquelle on ne peut faire face.
Un roman qui se lit presque d’un trait grâce à la belle plume, parfois surprenante, de l’auteure.
« Romain Poitevin, jeune garçon de neuf ans, n'est pas le plus brillant, ni le plus beau, encore moins un as de popularité. A contrario, il est un peu solitaire, pas vraiment souffre-douleur mais quand même malmené par les plus grands, plus forts. Il est ce genre de gosse qu'on ne remarque pas, issu d'une famille banale, un milieu populaire, sans problèmes, chacun a sa place dans le foyer, on s'entraide, on s'aime sans faire de vagues. Frère, sœur, père et mère.
Alors, cette après-midi-là, lorsque Romain disparait en pleine nature lors d'une sortie scolaire, les choses prennent une tournure dramatique pour tous ceux qui l'ont connu.
Plus rien ne sera jamais pareil. La famille vole en éclats, son grand frère Thibault n'abandonnera jamais la recherche, la maitresse va s'enfoncer dans une épaisse brume faite de culpabilité et de désespoir dont elle ne ressortira pas. Et puis, il y a Frédéric son seul véritable ami, le dernier à l'avoir vu et à lui avoir parlé… »