Ses propos au sujet des productions d’excellence, du rôle environnemental de l’agriculteur de demain, du respect des us et coutumes sont en adéquation totale avec la perception qu’on les castanéiculteurs corses, de l’avenir de l’agriculture insulaire.
Sa demande d’obtenir la gestion des fonds du premier pilier de la PAC, nous apparait également comme un moyen supplémentaire d’asseoir une autonomie que beaucoup présentent comme indispensable au développement de l’île.
Pour toutes ces raisons, et face au peu de soutien de la profession agricole envers le président Mortini, il nous semble nécessaire d’être à ses côtés pour affronter les enjeux qui nous attendent et sauver ce qui peut encore l’être.