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Nadja expose à Saint-Florent du 1er au 31 août


Marilyne SANTI le Jeudi 25 Juillet 2013 à 23:23

Originaire de Rouen, Nadja n’en est pas moins une fille des îles et du voyage. La Corse qu’elle a choisi, n’est que la suite d’un long regard qu’elle a posé, au fil des années, sur ces merveilles que sont, la nature, les matières et les couleurs. Surprenantes, ses œuvres à la fois douces, colorées et vivantes, sont nées, non pas de son imagination, mais bien d’une réalité ou l’émotion y trouve une grande part.
Et, de cet émoi intérieur qui n’appartient qu’à elle, jusqu'à la motivation de partager, il n’y a qu’une passion, la création, qui se matérialise à travers les matières, les couleurs, et les symboles qu'elle utilise. Elle offre ce qu’elle est, mais dans le but que chacun y trouve sa propre expression, son propre ressenti.
Nadja exposera tout le mois d’août à la citadelle de St Florent. Deux étages de lumières au dessus de la mer abriteront ses travaux les plus anciens, et sans doute les plus ethniques, mais aussi des huiles et des acryliques sur toiles, quelques aquarelles, souvenirs de voyages, et de grands siapos inspirés des tatouages polynésiens.
Au premier étage, l’œil du visiteur pourra s’attarder sur des acryliques sculptées sur toiles, parfois redorées à la feuille d'or et quatre de ses bronzes.



(DR)
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La Corse qu’elle a choisi, n’est que la suite d’un long regard qu’elle a posé, au fil des années, sur ces merveilles que sont, la nature, les matières et les couleurs. Surprenantes, ses œuvres à la fois douces, colorées et vivantes, sont nées, non pas de son imagination, mais bien d’une réalité ou l’émotion y trouve une grande part. 
Et, de cet émoi intérieur qui n’appartient qu’à elle, jusqu'à la motivation de partager, il n’y a qu’une passion, la création, qui se matérialise à travers les matières, les couleurs, et les symboles qu'elle utilise. Elle offre ce qu’elle est, mais dans le but que chacun y trouve sa propre expression, son propre ressenti.
Nadja exposera tout le mois d’août à la citadelle de Saint Florent. Deux étages de lumières au dessus de la mer abriteront ses travaux les plus anciens, et sans doute les plus ethniques, mais aussi des huiles et des acryliques sur toiles, quelques aquarelles, souvenirs de voyages, et de grands siapos inspirés des tatouages polynésiens.
Au premier étage, l’œil du visiteur  pourra s’attarder sur des acryliques sculptées sur toiles, parfois redorées à la feuille d'or et quatre de ses bronzes. 
« Le point commun est l'exploration des émotions et des histoires intérieures. Le travail est plus symbolistes que figuratifs, le format, les couleurs, les matières font autant sens que les formes.. »