« On a cru qu’on allait s’ennuyer mais finalement non » lance Véronique, une des vingt bénévoles de la Protection civile qui se relaieront durant dix jours sur les deux sites de la campagne de dépistage ajaccienne. Au gymnase Pascal Rossini, une heure après le démarrage officiel, les premiers curieux forment déjà une petite file d’attente à l’entrée du bâtiment. « Il y a cette peur du virus, les gens ont envie de savoir » commente t-elle.
Comme Sabrina, venue faire le test pour se rassurer après l’apparition de quelques symptômes : « Cela fait trois jours que j’ai des maux de tête, donc avec le contexte actuel… Je voulais être sûre » indique t-elle. « C’est une bonne idée ces tests » poursuit la jeune femme, « en plus, c’est pratique, en rentrant du travail j’en ai profité pour venir ».
« Pratique », c’est également le sentiment de Michelle : « C’est sur mon chemin, sinon je ne me serais pas arrêtée » avoue t-elle. D’ailleurs, ce test sera une grande première pour elle, qui vit pourtant avec une personne âgée : « C’est une sécurité, du coup » reconnait-elle.
La peur de contaminer les plus fragiles
La peur de contaminer les plus fragiles, une motivation retrouvée chez nombre de participants. Et même parmi les plus jeunes, comme Luna-Stella et Emma, 13 ans : « On rencontre plein de monde au quotidien et on a peur de contaminer nos grands-parents » expliquent les deux jeunes filles. Si elles sont scolarisées au collège Fesch qui jouxte le gymnase, c’est sur internet qu’elles ont eu connaissance de cette campagne, « une bonne idée » selon elles, pour « faciliter » l'accès aux tests.
Il y a ceux qui profitent de l’opportunité, mais aussi ceux qui ont une bonne raison de venir. À l’instar de Dominique, venue avec deux de ses collègues : « Il y a eu un cas positif sur notre lieu de travail, alors comme nous sommes dans les sept à huit jours après… C’était ouvert, nous avons saisi l’opportunité pour lever la suspicion ». Elle ressortira vingt minutes plus tard, soulagée, son résultat négatif à la main… En attendant ceux de ses collègues.
Comme Sabrina, venue faire le test pour se rassurer après l’apparition de quelques symptômes : « Cela fait trois jours que j’ai des maux de tête, donc avec le contexte actuel… Je voulais être sûre » indique t-elle. « C’est une bonne idée ces tests » poursuit la jeune femme, « en plus, c’est pratique, en rentrant du travail j’en ai profité pour venir ».
« Pratique », c’est également le sentiment de Michelle : « C’est sur mon chemin, sinon je ne me serais pas arrêtée » avoue t-elle. D’ailleurs, ce test sera une grande première pour elle, qui vit pourtant avec une personne âgée : « C’est une sécurité, du coup » reconnait-elle.
La peur de contaminer les plus fragiles
La peur de contaminer les plus fragiles, une motivation retrouvée chez nombre de participants. Et même parmi les plus jeunes, comme Luna-Stella et Emma, 13 ans : « On rencontre plein de monde au quotidien et on a peur de contaminer nos grands-parents » expliquent les deux jeunes filles. Si elles sont scolarisées au collège Fesch qui jouxte le gymnase, c’est sur internet qu’elles ont eu connaissance de cette campagne, « une bonne idée » selon elles, pour « faciliter » l'accès aux tests.
Il y a ceux qui profitent de l’opportunité, mais aussi ceux qui ont une bonne raison de venir. À l’instar de Dominique, venue avec deux de ses collègues : « Il y a eu un cas positif sur notre lieu de travail, alors comme nous sommes dans les sept à huit jours après… C’était ouvert, nous avons saisi l’opportunité pour lever la suspicion ». Elle ressortira vingt minutes plus tard, soulagée, son résultat négatif à la main… En attendant ceux de ses collègues.
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