Municipales à Bastia : Pierre Savelli s’exprime sur la candidature de Gilles Simeoni
Gilles Simeoni, président du Conseil exécutif de Corse, a officiellement acté ce mercredi qu’il mènera la liste de la majorité bastiaise. Une décision qui, si elle n’est pas une surprise, interroge et appelle des explications, notamment sur la position de Pierre Savelli, maire de Bastia depuis dix ans. Ce dernier s’est exprimé devant le conseil municipal ce 18 décembre.
Pierre Savelli, maire de la ville, a tout d’abord évoqué « une annonce qui a pu susciter des réactions et des réactions naturelles », avant d’argumenter devant sa majorité sur « le sens, la méthode et l’esprit dans lesquels cette décision a été prise ».
Une décision « qui n’a pas été facile », mais qui constitue « l’aboutissement d’un long chemin collectif et d’échanges approfondis », tout en étant prise « conscient des enjeux profonds auxquels notre ville est confrontée ».
« Une période où les défis s’accumulent » : « cohésion sociale », « sentiment d’insécurité », « logement », « démographie », « place de la ville dans l’équilibre insulaire ». Autant de thématiques évoquées par celui qui rendra son écharpe de maire au mois de mars prochain, après une décennie à la tête de la ville, dans « une période qui voit notre ville devenir le théâtre d’union opportuniste et la montée en puissance des mouvements populistes ».
Face à ces défis, Pierre Savelli explique que c’est « le choix de la responsabilité, de la cohérence plutôt que celui de la dispersion » qui a été fait.
Sur le choix de laisser son fauteuil de maire à Gilles Simeoni en cas de victoire de la majorité, Pierre Savelli parle de « l’intérêt général, en mettant de côté les considérations d’ordre personnel, Gilles Simeoni et moi les premiers ».
Dans son discours, le maire de Bastia évoque tout de même « un choix qui n’a pas été simple », mais qui « s’est imposé progressivement comme la meilleure option pour garantir la continuité de notre projet politique », rappelant son engagement pour Bastia et soulignant qu’il « n’y a ni renoncement, ni retrait, ni décision imposée d’en haut, mais un choix assumé et collectif ».
Pierre Savelli, maire de la ville, a tout d’abord évoqué « une annonce qui a pu susciter des réactions et des réactions naturelles », avant d’argumenter devant sa majorité sur « le sens, la méthode et l’esprit dans lesquels cette décision a été prise ».
Une décision « qui n’a pas été facile », mais qui constitue « l’aboutissement d’un long chemin collectif et d’échanges approfondis », tout en étant prise « conscient des enjeux profonds auxquels notre ville est confrontée ».
« Une période où les défis s’accumulent » : « cohésion sociale », « sentiment d’insécurité », « logement », « démographie », « place de la ville dans l’équilibre insulaire ». Autant de thématiques évoquées par celui qui rendra son écharpe de maire au mois de mars prochain, après une décennie à la tête de la ville, dans « une période qui voit notre ville devenir le théâtre d’union opportuniste et la montée en puissance des mouvements populistes ».
Face à ces défis, Pierre Savelli explique que c’est « le choix de la responsabilité, de la cohérence plutôt que celui de la dispersion » qui a été fait.
Sur le choix de laisser son fauteuil de maire à Gilles Simeoni en cas de victoire de la majorité, Pierre Savelli parle de « l’intérêt général, en mettant de côté les considérations d’ordre personnel, Gilles Simeoni et moi les premiers ».
Dans son discours, le maire de Bastia évoque tout de même « un choix qui n’a pas été simple », mais qui « s’est imposé progressivement comme la meilleure option pour garantir la continuité de notre projet politique », rappelant son engagement pour Bastia et soulignant qu’il « n’y a ni renoncement, ni retrait, ni décision imposée d’en haut, mais un choix assumé et collectif ».
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