La grève aura été de courte durée. Ce mercredi 10 mai, le responsable STC de l’hôpital de Bastia, Stéphane Gherardi, a annoncé la « suspension du mouvement » entamé la veille, au vu des retours positifs obtenus mardi dans la soirée.
Le premier point de blocage était l’absence de réponse de Paris concernant le projet de reconstruction de l’hôpital. « Là-dessus, on a eu la confirmation par mail d’un rendez-vous sous quinzaine entre le directeur de l’hôpital et le ministère. Au moins, le directeur va pouvoir monter à Paris pour défendre le dossier. » Rien n’est encore acté, mais c’est un coup d’accélérateur pour un projet qui patine depuis un an.
L’autre victoire du syndicat, c’est la note explicative envoyée par la directrice de l’ARS, Marie-Hélène Lecenne, au ministère des finances, concernant le remboursement de la dette fournisseurs de l’hôpital. Une avancée nécessaire, alors que cette dette, chiffrée à 50 millions d’euros, concerne en grandes partie des fournisseurs corses (11 millions).
Enfin, Stéphane Gherardi précise que le préavis de grève est suspendu « jusqu’au retour du directeur ». En cas de réponse négative de Paris, le mouvement pourrait reprendre, voire s’intensifier.
Le premier point de blocage était l’absence de réponse de Paris concernant le projet de reconstruction de l’hôpital. « Là-dessus, on a eu la confirmation par mail d’un rendez-vous sous quinzaine entre le directeur de l’hôpital et le ministère. Au moins, le directeur va pouvoir monter à Paris pour défendre le dossier. » Rien n’est encore acté, mais c’est un coup d’accélérateur pour un projet qui patine depuis un an.
L’autre victoire du syndicat, c’est la note explicative envoyée par la directrice de l’ARS, Marie-Hélène Lecenne, au ministère des finances, concernant le remboursement de la dette fournisseurs de l’hôpital. Une avancée nécessaire, alors que cette dette, chiffrée à 50 millions d’euros, concerne en grandes partie des fournisseurs corses (11 millions).
Enfin, Stéphane Gherardi précise que le préavis de grève est suspendu « jusqu’au retour du directeur ». En cas de réponse négative de Paris, le mouvement pourrait reprendre, voire s’intensifier.