On ne va, certes, pas les comparer aux célèbres « quatre garçons dans le vent » -ils ont beaucoup moins de cheveux !-. Néanmoins, les quatre membres du Contraversu sont, doucement, en train de prendre leur envol dans le paysage culturel insulaire. Apportant, au milieu d’une musique qui tourne en rond et se cherche, un souffle nouveau, une folie qui fait encore défaut. Et le groupe, car il faut bien parler de groupe, a mûri depuis sa première apparition le 8 octobre au Temple café-concert. Ce samedi, il nous a tout simplement régalés !
Un quatuor magique avec chacun son surnom : Bruno –Nono- Vidal, à la batterie, la fondation sur laquelle repose l’édifice, Dumè Tomasi-Mister Doom- à la basse, la force tranquille, la sécurité, Michel Solinas –Ziu –tzou pour les intimes-, le capitaine parce qu’il en faut bien un, et, pour finir, Marcantò Mucchielli –the Kid, l’électron libre, un peu fou, fou mais bourré de talent !
Voilà pour les présentations. Côté musique, du régal, toujours du régal, encore du régal. Les chansons traditionnelles revisitées (Cinciminella, Lisa Bedda, O putanò, O chì bella vita…), concoctées par Frédéric Antonpietri -Tonton u famosu-, on connaissait. Mais le groupe parvient, peu à peu, à se forger une nouvelle identité avec des chansons dédiées à Jesse James (in lingua nustrale di sicuru !), l’épopée de Bastia ou d’autres encore, toujours dans cette sonorité qui le définit.
Une sonorité que le Contraversu s’approprie « à modu soiu ». Cela nous donne un ensemble d’une grande musicalité. Entre la polka irlandaise en guise d’entrée en matière et u Codice de la fin, un rythme de dingue !
Bref, vous voulez du Contraversu ?
Mettez un peu de rock, de folk, des accents irlandais, un soupçon de Led Zep, une –grosse- pincée de Dylan, quelques cuillères des Pogues, le tout quasiment in lingua nustrale. A suivre le 9 avril prochain à la CCAS de Porticcio.
Avant d’enflammer d’autres scènes bien plus prestigieuses. Car ils en ont l’étoffe…
Un quatuor magique avec chacun son surnom : Bruno –Nono- Vidal, à la batterie, la fondation sur laquelle repose l’édifice, Dumè Tomasi-Mister Doom- à la basse, la force tranquille, la sécurité, Michel Solinas –Ziu –tzou pour les intimes-, le capitaine parce qu’il en faut bien un, et, pour finir, Marcantò Mucchielli –the Kid, l’électron libre, un peu fou, fou mais bourré de talent !
Voilà pour les présentations. Côté musique, du régal, toujours du régal, encore du régal. Les chansons traditionnelles revisitées (Cinciminella, Lisa Bedda, O putanò, O chì bella vita…), concoctées par Frédéric Antonpietri -Tonton u famosu-, on connaissait. Mais le groupe parvient, peu à peu, à se forger une nouvelle identité avec des chansons dédiées à Jesse James (in lingua nustrale di sicuru !), l’épopée de Bastia ou d’autres encore, toujours dans cette sonorité qui le définit.
Une sonorité que le Contraversu s’approprie « à modu soiu ». Cela nous donne un ensemble d’une grande musicalité. Entre la polka irlandaise en guise d’entrée en matière et u Codice de la fin, un rythme de dingue !
Bref, vous voulez du Contraversu ?
Mettez un peu de rock, de folk, des accents irlandais, un soupçon de Led Zep, une –grosse- pincée de Dylan, quelques cuillères des Pogues, le tout quasiment in lingua nustrale. A suivre le 9 avril prochain à la CCAS de Porticcio.
Avant d’enflammer d’autres scènes bien plus prestigieuses. Car ils en ont l’étoffe…