Ils ne se connaissent pas d’hier. Les trois musiciens se sont rencontrés il y a plusieurs années déjà. A l’époque ils sont à l’origine de la création de Dopu Cena, groupe polyphonique corse. La vie les sépare pendant plusieurs années. C’est sur les réseaux sociaux qu’ils se retrouvent et reprennent contact. La musique fait son travail et très vite, l’envie de rejouer ensemble et de faire revivre les musiques à danser fait son chemin.
En Avril 2015 nait le groupe A Zilimbrina compagnia di musica populari. Leur projet est de récupérer un répertoire oublié et le faire évoluer sans qu’il ne perde son authenticité. « La musique à danser disparaît petit à petit, il ne reste que 17 violoneux en Corse. Or, c’est une musique qui permet aux générations de se retrouver, de créer un lien intergénérationnel ».
Philippe, Stéphane et Michel ont leur propre répertoire (valse, mazurka, polka, scottishes) et jouent de plusieurs instruments : le violon, la flute (pivana, pirula, cialamedda), le bouzouki, la cornemuse, la mandoline et la guitare. Un potentiel qui devrait leur permettre de réinvestir le bal, le remettre au gout du jour.
« Lorsque nous jouons, nous constatons que les gens s’investissent et en peu de temps se mettent à danser ».
C’est donc équipés de tous ces instruments qu’ils se produisent à l’occasion d’animations diverses et tentent d’inviter le public à la danse tout en lui faisant découvrir ces musiques, racine d’une culture insulaire principalement, mais qui peut également trouver son origine chez nos voisins comme l’Italie par exemple.
En Avril 2015 nait le groupe A Zilimbrina compagnia di musica populari. Leur projet est de récupérer un répertoire oublié et le faire évoluer sans qu’il ne perde son authenticité. « La musique à danser disparaît petit à petit, il ne reste que 17 violoneux en Corse. Or, c’est une musique qui permet aux générations de se retrouver, de créer un lien intergénérationnel ».
Philippe, Stéphane et Michel ont leur propre répertoire (valse, mazurka, polka, scottishes) et jouent de plusieurs instruments : le violon, la flute (pivana, pirula, cialamedda), le bouzouki, la cornemuse, la mandoline et la guitare. Un potentiel qui devrait leur permettre de réinvestir le bal, le remettre au gout du jour.
« Lorsque nous jouons, nous constatons que les gens s’investissent et en peu de temps se mettent à danser ».
C’est donc équipés de tous ces instruments qu’ils se produisent à l’occasion d’animations diverses et tentent d’inviter le public à la danse tout en lui faisant découvrir ces musiques, racine d’une culture insulaire principalement, mais qui peut également trouver son origine chez nos voisins comme l’Italie par exemple.