L’histoire
« A New York, en 1899, Alexander Hartdegen, un brillant physicien, fait la connaissance d'Emma, une charmante demoiselle dont il tombe follement amoureux. Un soir, dans Central Park, il trouve le courage de lui déclarer sa flamme et de lui offrir une bague de fiançailles. Un voleur tente alors de dérober le fameux bijou, mais Emma ne se laisse pas faire. Un coup de feu retentit, la malheureuse s'effondre et meurt dans les bras de son bien aimé. Refusant cette triste fatalité, Alexander consacre tout son savoir et toute son énergie à construire une machine à explorer le temps afin d'altérer le cours des événements et ainsi sauver la vie de sa bien-aimée. Il embarque à l'insu de tous pour ce voyage de la dernière chance… »
Remake
La Machine à explorer le temps est une adaptation du célèbre roman d’H.G. Wells autant qu’un remake du film de 1961 réalisé par George Pal. Cette version de 2001 est mise en scène par Simon Wells qui n’est autre que l'arrière petit-fils du célèbre romancier. Epuisé par ce tournage intense, il sera remplacé par Gore Verbinski – La Souris, Pirate des Caraïbes, Lone Ranger – sur les derniers jours mais seul son nom est crédité au générique.
S’il n’égale pas la version de 1961, le film se laisse regarder comme un bon film d’aventure avec quelques trouvailles visuelles et scénaristiques.
Casting
Le choix de Guy Pearce peut étonner mais cet acteur américain d’origine anglaise est à l’affiche de nombreuses productions. Souvent dans des seconds rôles, on se souvient de son incroyable prestation dans le Memento de Christopher Nolan ou quand il compose une étonnante Felicia Jollygoodfellow dans Priscilla, folle du désert de Stephan Elliot. Son dernier film en date, Bloodshot avec Vin Diesel, devait sortir en salle le 26 mars mais est passé directement par la case VOD. Pearce est en tous cas très juste dans le rôle de ce brillant physicien prêt à tout pour sauver celle qu’il aime. On ne peut malheureusement pas en dire autant de Jeremy Irons, ultra maquillé et complètement ridicule dans le rôle de l’Uber-Morlock (rien à voir avec les chauffeurs VTC) dont la présence est heureusement minime à l’écran. Au final, pas de quoi gâcher cette aventure dans le temps, idéale à regarder en période de confinement.
L’info en +
Warner Bros et Paramount Pictures travaillent sur une nouvelle version de La Machine à explorer le temps. Le film sera réalisé par Andy Muschietti à qui l'on doit les deux chapitres de la saga clownesque horrifique Ça.
• Mercredi 8 avril – RTL9 à 20h45 – Egalement disponible sur Netflix
La Machine à explorer le temps de Simon Wells
« A New York, en 1899, Alexander Hartdegen, un brillant physicien, fait la connaissance d'Emma, une charmante demoiselle dont il tombe follement amoureux. Un soir, dans Central Park, il trouve le courage de lui déclarer sa flamme et de lui offrir une bague de fiançailles. Un voleur tente alors de dérober le fameux bijou, mais Emma ne se laisse pas faire. Un coup de feu retentit, la malheureuse s'effondre et meurt dans les bras de son bien aimé. Refusant cette triste fatalité, Alexander consacre tout son savoir et toute son énergie à construire une machine à explorer le temps afin d'altérer le cours des événements et ainsi sauver la vie de sa bien-aimée. Il embarque à l'insu de tous pour ce voyage de la dernière chance… »
Remake
La Machine à explorer le temps est une adaptation du célèbre roman d’H.G. Wells autant qu’un remake du film de 1961 réalisé par George Pal. Cette version de 2001 est mise en scène par Simon Wells qui n’est autre que l'arrière petit-fils du célèbre romancier. Epuisé par ce tournage intense, il sera remplacé par Gore Verbinski – La Souris, Pirate des Caraïbes, Lone Ranger – sur les derniers jours mais seul son nom est crédité au générique.
S’il n’égale pas la version de 1961, le film se laisse regarder comme un bon film d’aventure avec quelques trouvailles visuelles et scénaristiques.
Casting
Le choix de Guy Pearce peut étonner mais cet acteur américain d’origine anglaise est à l’affiche de nombreuses productions. Souvent dans des seconds rôles, on se souvient de son incroyable prestation dans le Memento de Christopher Nolan ou quand il compose une étonnante Felicia Jollygoodfellow dans Priscilla, folle du désert de Stephan Elliot. Son dernier film en date, Bloodshot avec Vin Diesel, devait sortir en salle le 26 mars mais est passé directement par la case VOD. Pearce est en tous cas très juste dans le rôle de ce brillant physicien prêt à tout pour sauver celle qu’il aime. On ne peut malheureusement pas en dire autant de Jeremy Irons, ultra maquillé et complètement ridicule dans le rôle de l’Uber-Morlock (rien à voir avec les chauffeurs VTC) dont la présence est heureusement minime à l’écran. Au final, pas de quoi gâcher cette aventure dans le temps, idéale à regarder en période de confinement.
L’info en +
Warner Bros et Paramount Pictures travaillent sur une nouvelle version de La Machine à explorer le temps. Le film sera réalisé par Andy Muschietti à qui l'on doit les deux chapitres de la saga clownesque horrifique Ça.
• Mercredi 8 avril – RTL9 à 20h45 – Egalement disponible sur Netflix
La Machine à explorer le temps de Simon Wells