Xavier Bertrand prendra à son tour la parole, assurant tout d’abord que Laurent Marcangeli sera le prochain maire de la ville d’Ajaccio : "de par ses qualités qui sont de réunir et d’être porteur de projet, il reste le meilleur des candidats."
Les promesses de Hollande pour la Corse sont restées vaines, "choquant"! dira t-il, comme les propos d’Emmanuel Valls sur les Corses, qui disait, la veille, que la violence est enracinée dans la culture corse. « Qu’il se taise, puisqu’il ne connait ni la Corse ni les corses ! »
Revenant sur les Arrêtés Miots, il trouvera logique que toutes les successions qui ont été ouvertes avant le 1 janvier 2013, soient réglées sans aucun frais, "pour pouvoir stabiliser le passé." Au passage Xavier Bertrand ne se prive pas d'égratigner. « Les promesses inconsidérées de Paul Giaccobi à ce sujet resteront vaines, puisque celui-ci n’a plus de poids politique à Paris. »
« Un an après la France va encore plus mal, l’emploi s’est dégradé, le déficit aussi, la délinquance et le sentiment d’insécurité n’ont cessé de progresser ».
Xavier Bertrand ne voit pas une crise en France, mais quatre. La première, économique et sociale, avec un chômage qui a doublé depuis le changement de gouvernement, la deuxième morale, avec une gauche moralisatrice et l’on pense alors à Cahuzac.
La troisième crise est sociétale avec une France qui n’a jamais été aussi divisée qu’aujourd’hui. La crise politique est la dernière à être citée, « née d’une présidence faible ». « La France se conjugue avec l’intérêt général et rien d’autre ! »
« Dans la cinquième république avec la place et le rôle de l’Etat, quelqu’un qui n’a jamais été ministre aura les plus grandes difficultés à exercer la fonction présidentielle, il ne sait pas comment fonctionne l’appareil d’état. Quand on fait confiance uniquement à la technostructure, aux énarques, on ne risque pas d’imaginer des solutions nouvelles et on ne risque pas d’avoir l’audace et le courage, pour permettre à notre pays de rester la cinquième puissance mondiale » a souligné Xavier Bertrand. « L’échec des socialistes ne suffira pas à nous ramener la confiance d’une majorité française. Il faut écouter les remarques de ceux qui nous on fait confiance et que l’on a déçu. »
Evoquée aussi la situation de l’UMP qui a frôlé la disparition de sa famille politique en Novembre dernier. Une nouvelle élection est annoncée pour septembre prochain mais Xavier Bertrand dit ne pas en vouloir, demandant qu’uniquement deux questions soient posées aux adhérents : " « Car les seuls vrais patrons de l’UMP sont les adhérents!»
En conclusion, et avant les questions du public, il souhaitera que le parti ne se divise plus et fasse des propositions sur les sujets sensibles : l’emploi, les retraites, l’économie, l’entreprise, l’école avant de rappeler que
« les seules élections qui comptent à mes yeux sont les municipales et les européennes, qui doivent mobiliser toutes les énergies à l’UMP. »
Les promesses de Hollande pour la Corse sont restées vaines, "choquant"! dira t-il, comme les propos d’Emmanuel Valls sur les Corses, qui disait, la veille, que la violence est enracinée dans la culture corse. « Qu’il se taise, puisqu’il ne connait ni la Corse ni les corses ! »
Revenant sur les Arrêtés Miots, il trouvera logique que toutes les successions qui ont été ouvertes avant le 1 janvier 2013, soient réglées sans aucun frais, "pour pouvoir stabiliser le passé." Au passage Xavier Bertrand ne se prive pas d'égratigner. « Les promesses inconsidérées de Paul Giaccobi à ce sujet resteront vaines, puisque celui-ci n’a plus de poids politique à Paris. »
« Un an après la France va encore plus mal, l’emploi s’est dégradé, le déficit aussi, la délinquance et le sentiment d’insécurité n’ont cessé de progresser ».
Xavier Bertrand ne voit pas une crise en France, mais quatre. La première, économique et sociale, avec un chômage qui a doublé depuis le changement de gouvernement, la deuxième morale, avec une gauche moralisatrice et l’on pense alors à Cahuzac.
La troisième crise est sociétale avec une France qui n’a jamais été aussi divisée qu’aujourd’hui. La crise politique est la dernière à être citée, « née d’une présidence faible ». « La France se conjugue avec l’intérêt général et rien d’autre ! »
« Dans la cinquième république avec la place et le rôle de l’Etat, quelqu’un qui n’a jamais été ministre aura les plus grandes difficultés à exercer la fonction présidentielle, il ne sait pas comment fonctionne l’appareil d’état. Quand on fait confiance uniquement à la technostructure, aux énarques, on ne risque pas d’imaginer des solutions nouvelles et on ne risque pas d’avoir l’audace et le courage, pour permettre à notre pays de rester la cinquième puissance mondiale » a souligné Xavier Bertrand. « L’échec des socialistes ne suffira pas à nous ramener la confiance d’une majorité française. Il faut écouter les remarques de ceux qui nous on fait confiance et que l’on a déçu. »
Evoquée aussi la situation de l’UMP qui a frôlé la disparition de sa famille politique en Novembre dernier. Une nouvelle élection est annoncée pour septembre prochain mais Xavier Bertrand dit ne pas en vouloir, demandant qu’uniquement deux questions soient posées aux adhérents : " « Car les seuls vrais patrons de l’UMP sont les adhérents!»
En conclusion, et avant les questions du public, il souhaitera que le parti ne se divise plus et fasse des propositions sur les sujets sensibles : l’emploi, les retraites, l’économie, l’entreprise, l’école avant de rappeler que
« les seules élections qui comptent à mes yeux sont les municipales et les européennes, qui doivent mobiliser toutes les énergies à l’UMP. »