L'intéressée, également inculpée pour "détournement de la finalité d'un traitement de données à caractère personnel", a été laissée libre sous contrôle judiciaire après sa mise en examen intervenue le 9 juillet dans le cadre d'une information judiciaire ouverte le 20 mars, selon le parquet qui a confirmé une information révélée par Le Monde.
Selon une source proche de l'enquête, les fuites seraient intervenues lors d'investigations visant l'entourage de Valérie Bozzi, à l'époque encore maire divers droite de Grosseto-Prugna Porticcio, présidente de l'intercommunalité de l'Ornano et conseillère territoriale, vice-présidente du groupe de droite Un Soffiu Novu à l'Assemblée de Corse.
Celle-ci avait dû démissionner de ses mandats en mai, après sa condamnation, par le tribunal correctionnel de Bastia à un an de prison avec sursis et trois ans d'inéligibilité avec exécution provisoire, pour favoritisme et prise illégale d'intérêts.
Selon l'enquête, le personnel du parquet d'Ajaccio aurait fait fuiter des informations en lien avec une perquisition qui concernait le compagnon de l'élue réalisée dans le cadre d'un dossier d'"association de malfaiteurs en vue de commettre un crime". Il n'a jamais été mis en examen dans ce dossier.
Selon Le Monde, les informations auraient été transmises au compagnon de Valérie Bozzi, par l'intermédiaire du compagnon de l'assistante de justice.
Selon une source proche de l'enquête, les fuites seraient intervenues lors d'investigations visant l'entourage de Valérie Bozzi, à l'époque encore maire divers droite de Grosseto-Prugna Porticcio, présidente de l'intercommunalité de l'Ornano et conseillère territoriale, vice-présidente du groupe de droite Un Soffiu Novu à l'Assemblée de Corse.
Celle-ci avait dû démissionner de ses mandats en mai, après sa condamnation, par le tribunal correctionnel de Bastia à un an de prison avec sursis et trois ans d'inéligibilité avec exécution provisoire, pour favoritisme et prise illégale d'intérêts.
Selon l'enquête, le personnel du parquet d'Ajaccio aurait fait fuiter des informations en lien avec une perquisition qui concernait le compagnon de l'élue réalisée dans le cadre d'un dossier d'"association de malfaiteurs en vue de commettre un crime". Il n'a jamais été mis en examen dans ce dossier.
Selon Le Monde, les informations auraient été transmises au compagnon de Valérie Bozzi, par l'intermédiaire du compagnon de l'assistante de justice.
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