Cette année, selon les prévisions, ce sont près de 50 000 personnes qui rejoindront l'Ile de Beauté pour passer les fêtes de fin d'année en famille. Après avoir décrété la mise en place d'un protocole sanitaire pour les voyageurs maritimes à destination ou en provenance d'Italie et pour les passagers arrivant de pays identifiés comme zones de circulation à risque du COVID-19, la préfecture de Corse et l'ARS se préparent à affronter au mieux la période des vacances de fin d’année dans le contexte épidémique actuel.
Afin d'éviter tout risque de contamination extérieure l'agence régionale de la Santé à présenté au Gouvernement 4 scénarios.
Ils vont de la réalisation d'un test huit jours avant le déplacement, suivi d'un isolement jusqu'au jour du départ, afin que le patient ne soit pas contagieux, au moment du débarquement sur l'Ile au test effectué 72 heures avant le départ.
Une troisième option prévoit que le voyageur se fasse tester dans les 24 heures suivant son arrivée sur l'île. Cela lui permettrait de séjourner en Corse. C'est en repartant, qu'il lui serait demandé de produire les résultats du test. S'il n'était pas en mesure de le faire, il serait puni d'une amende.
Enfin, un test obligatoire pourrait être demandé comme dans les Dom-Tom.
Si le test est positif, ou si le voyageur ne l'a pas effectué, il lui sera impossible d'embarquer pour la Corse. Le préfet fixerait le délais dans lesquels les personnes devraient le faire.
Ce jeudi 10 décembre, la préfecture ainsi que l'ARS annoncent que le gouvernement ferait part de sa décision avant la fin de semaine. "Nous espérons une réponse aujourd'hui ou demain car après, cela risque d'être trop tard", a indiqué l'ARS.
Afin d'éviter tout risque de contamination extérieure l'agence régionale de la Santé à présenté au Gouvernement 4 scénarios.
Ils vont de la réalisation d'un test huit jours avant le déplacement, suivi d'un isolement jusqu'au jour du départ, afin que le patient ne soit pas contagieux, au moment du débarquement sur l'Ile au test effectué 72 heures avant le départ.
Une troisième option prévoit que le voyageur se fasse tester dans les 24 heures suivant son arrivée sur l'île. Cela lui permettrait de séjourner en Corse. C'est en repartant, qu'il lui serait demandé de produire les résultats du test. S'il n'était pas en mesure de le faire, il serait puni d'une amende.
Enfin, un test obligatoire pourrait être demandé comme dans les Dom-Tom.
Si le test est positif, ou si le voyageur ne l'a pas effectué, il lui sera impossible d'embarquer pour la Corse. Le préfet fixerait le délais dans lesquels les personnes devraient le faire.
Ce jeudi 10 décembre, la préfecture ainsi que l'ARS annoncent que le gouvernement ferait part de sa décision avant la fin de semaine. "Nous espérons une réponse aujourd'hui ou demain car après, cela risque d'être trop tard", a indiqué l'ARS.
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