"Le Président de l'assemblée de Corse s'en est pris violemment aujourd'hui au secrétaire général de la CGT Haute Corse l'accusant d'être le représentant du Ministère des Finances en Corse chargé de vouloir supprimer toutes les dispositions fiscales accordées pour notre île.
On dépasse la limite du ridicule. Cette véhémence gratuite en pleine réunion de la conférence sociale sur les prix du carburant traduit surtout un état de panique du président de l'Assemblée . En effet et c'est ce qu'a expliqué calmement et chiffres à l'appui la CGT au cours de cette réunion, comment exiger de l'Etat une annulation de la tva sur les carburants alors que nous bénéficions déjà d'un taux très inférieur et que les prix élevés s'expliquent surtout par les marges et les dividendes excessives des pétroliers comme VITO Corse. Réglons d'abord cette question avant de nous ridiculiser en exigeant peut être sans fondement une nouvelle dérogation.
M Talamoni est un farouche partisan de l'indépendance fiscale de la Corse; à condition bien sur d'exonérer d'impôt le patronat insulaire et de demander aux "français " de payer toujours plus d'impôts pour la Corse.
Talamoni croît encore au Père Noël !
Oui au maintien et au renforcement des mesures fiscales dans le cadre nécessaire de la solidarité nationale; mais non au gaspillage d'argent public et aux effets d'aubaine pour une minorité de Corses aisés et même profiteurs.
Le débat fiscal et sa complexité ne doivent pas servir à des responsables politiques de 1er plan pour servir une propagande politicienne qui peut se retourner contre l'intérêt des Corses les plus modestes qui souffrent véritablement de la vie chère"
On dépasse la limite du ridicule. Cette véhémence gratuite en pleine réunion de la conférence sociale sur les prix du carburant traduit surtout un état de panique du président de l'Assemblée . En effet et c'est ce qu'a expliqué calmement et chiffres à l'appui la CGT au cours de cette réunion, comment exiger de l'Etat une annulation de la tva sur les carburants alors que nous bénéficions déjà d'un taux très inférieur et que les prix élevés s'expliquent surtout par les marges et les dividendes excessives des pétroliers comme VITO Corse. Réglons d'abord cette question avant de nous ridiculiser en exigeant peut être sans fondement une nouvelle dérogation.
M Talamoni est un farouche partisan de l'indépendance fiscale de la Corse; à condition bien sur d'exonérer d'impôt le patronat insulaire et de demander aux "français " de payer toujours plus d'impôts pour la Corse.
Talamoni croît encore au Père Noël !
Oui au maintien et au renforcement des mesures fiscales dans le cadre nécessaire de la solidarité nationale; mais non au gaspillage d'argent public et aux effets d'aubaine pour une minorité de Corses aisés et même profiteurs.
Le débat fiscal et sa complexité ne doivent pas servir à des responsables politiques de 1er plan pour servir une propagande politicienne qui peut se retourner contre l'intérêt des Corses les plus modestes qui souffrent véritablement de la vie chère"