"Belgha", dans tous les bons coups (Crédits : BeIn Sport)
Stadium di Tolosa, Sabbatu u 10 di Nuvembri di u 2012
Tempu : Piuvicosu : Tarrenu : Grassu
TFC 2-4 ACA (1-2)
Scopi : Lippini (4a csc), Abdennour (71a) pà u TFC ; Sammaritano (15a), Bleghazouani (33a è 93a), Diarra (67a) pà l'ACA
Avvertimenti : Tabanou, Didot, Akpa Akpro pà u TFC ; Mostefa, Faty pà l'ACA
Arbitru : M. Varela
ACA : Ochoa - Lippini (Diawara 68a), Medjani, Poulard, Bouhours - Belghazouani, Faty, Mostefa, Sammaritano, Diarra - Eduardo (Lasne 80a)
Bancu : Sissoko, Maire, Diawara, Lasne, Gigliotti, Pierazzi, El Hany
Add. : Alex Dupont
TFC : Ahmada - MBengue, Abdennour, Ninkov, Akpa-Akpro, Didot, Tabanou Sissoko, Djalò (Regattin 66a), Capoue, Ben Yedder
Bancu : Blondel, Zebina, Siriex, Firmin, Regattin, Rivière, Braaten
Add. : Alain Casanova
Tempu : Piuvicosu : Tarrenu : Grassu
TFC 2-4 ACA (1-2)
Scopi : Lippini (4a csc), Abdennour (71a) pà u TFC ; Sammaritano (15a), Bleghazouani (33a è 93a), Diarra (67a) pà l'ACA
Avvertimenti : Tabanou, Didot, Akpa Akpro pà u TFC ; Mostefa, Faty pà l'ACA
Arbitru : M. Varela
ACA : Ochoa - Lippini (Diawara 68a), Medjani, Poulard, Bouhours - Belghazouani, Faty, Mostefa, Sammaritano, Diarra - Eduardo (Lasne 80a)
Bancu : Sissoko, Maire, Diawara, Lasne, Gigliotti, Pierazzi, El Hany
Add. : Alex Dupont
TFC : Ahmada - MBengue, Abdennour, Ninkov, Akpa-Akpro, Didot, Tabanou Sissoko, Djalò (Regattin 66a), Capoue, Ben Yedder
Bancu : Blondel, Zebina, Siriex, Firmin, Regattin, Rivière, Braaten
Add. : Alain Casanova
U Scontru
Comme l'indique le score, cette rencontre a été des plus intenses. Six buts au final, et cette fois, l'ACA ne repart pas la queue entre les jambes. Cela dit, le début de rencontre est, à l'inverse de celui de Lorient, complètement et même grossièrement raté. Sur un centre à priori gérable, Lippini manque sa tête en retrait, et bat Ochoa...Incroyable de maladresse, mais des "choses qui arrivent"...Les dix premières minutes sont dominées par les locaux, qui tentent et même réussissent, peu à peu, à imposer leur jeu. Toujours aussi bon dans la passe et aussi dans le placement et la construction, les Toulousains continuent de tenir la balle, et de se montrer dangereux pas à-coups. Un très bon Capoue emmène les siens, et rien ne semble perturber le Téfécé, jusqu'à ce que, sur leur toute première occasion, les Ajacciens reviennent à la marque. Eduardo est lancé par Belghazouani sur la gauche, centre en retrait pour Bouhours, qui frappe fort, mais c'est sur le gardien, Sammaritano en profite pour égaliser, en embuscade : un but partout, au quart d'heure de jeu. Tout est à refaire pour Toulouse, et l'ACA qui refait vite surface avec une réaction aussi réaliste que bienvenue, après ce début de match morose.
Les deux équipes vont alors tenter de jouer en profondeur, notamment sur les ailes, où les deux formations sont très bien armées. Un centre au cordeau de Sissoko est même tout près de trouver Ben Yedder, mais ce dernier est trop court. Petit à petit, devant l'engagement sans limite et même excessif des locaux vers l'avant, les visiteurs vont trouver des brèches. Les appels dans le dos de Bleghazouani et S. Diarra se multiplient, et le pressing va payer. Ahmada relance sur Ninkon, lequel perd le ballon face à Diarra, qui donne in-extremis pour son compère, qui pivote avant de battre Ahmada, venu trop vite à sa rencontre. On joue depuis 35 minutes, et l'ACA prend le match à son compte, à défaut de prendre le jeu. Et de son coté, Eduardo manque d'un rien le break, sur un exploit personnel (40a), mais son tir effleure le montant. Les toulousains réagissent par Ben Yedder, mais Medjani sauve les siens avant la pause.
Au retour des vestiaires, le jeu est toujours aussi dur et enjoué. Les contacts et les duels se multiplient, et la bataille fait rage au milieu. Toulouse tire son épingle du jeu, et va monopoliser le ballon, tout du long de cette seconde mi-temps. Première tête de Tabanou sur corner, bloqué de justesse par Memo Ochoa sur sa ligne (50a). Le même Tabanou échoue de nouveau face au Mexicain, mais cette fois avec une parade classieuse, sur un tir à bout portant. Les gants de Memo lui chauffent les mains, en ce temps pluvieux...
Les Ajacciens semblent noyés dans le schéma mis en place par Casanova. Diarra est cependant proche de l'exploit à l'heure de jeu, et enchaîne sombrero puis frappe bien contrée par Ninkov. La rentrée de Regattin à la place de Djalò afin d'amener de la vitesse. Vitesse que trouvera Sigamary Diarra pour inscrire le but du break! Lancé par Belghazouani, le talentueux ailier gauche prend tout son monde de vitesse pour aller battre Ahmada du gauche entre les jambes : trois à un pour les Oursons!
Mais les vieux démons ressurgissent, et l'ACA va encore se déconcentrer, et permettre à Ben Yedder de réduire la marque, à la limite du hors-jeu. Le score est de trois à deux pour l'ACA, et Anthony Lippini vient de céder sa place à Diawara pour les vingt dernières minutes. S'en suivra un siège constant de la part des Toulousains, qui vont frôler l'égalisation à plusieurs reprises. Dupont abat ses dernières cartes pour préserver son avantage, et Eduardo sort au profit de Lasne, laissant tout le loisir à Belghazouani et Diarra de placer des contres. Et c'est justement ce qu'ils font! Sur une corner où tout le monde état monté, le second lance le premier, qui va seul battre Ahmada de loin, et ainsi clore toute discussion!
Les deux équipes vont alors tenter de jouer en profondeur, notamment sur les ailes, où les deux formations sont très bien armées. Un centre au cordeau de Sissoko est même tout près de trouver Ben Yedder, mais ce dernier est trop court. Petit à petit, devant l'engagement sans limite et même excessif des locaux vers l'avant, les visiteurs vont trouver des brèches. Les appels dans le dos de Bleghazouani et S. Diarra se multiplient, et le pressing va payer. Ahmada relance sur Ninkon, lequel perd le ballon face à Diarra, qui donne in-extremis pour son compère, qui pivote avant de battre Ahmada, venu trop vite à sa rencontre. On joue depuis 35 minutes, et l'ACA prend le match à son compte, à défaut de prendre le jeu. Et de son coté, Eduardo manque d'un rien le break, sur un exploit personnel (40a), mais son tir effleure le montant. Les toulousains réagissent par Ben Yedder, mais Medjani sauve les siens avant la pause.
Au retour des vestiaires, le jeu est toujours aussi dur et enjoué. Les contacts et les duels se multiplient, et la bataille fait rage au milieu. Toulouse tire son épingle du jeu, et va monopoliser le ballon, tout du long de cette seconde mi-temps. Première tête de Tabanou sur corner, bloqué de justesse par Memo Ochoa sur sa ligne (50a). Le même Tabanou échoue de nouveau face au Mexicain, mais cette fois avec une parade classieuse, sur un tir à bout portant. Les gants de Memo lui chauffent les mains, en ce temps pluvieux...
Les Ajacciens semblent noyés dans le schéma mis en place par Casanova. Diarra est cependant proche de l'exploit à l'heure de jeu, et enchaîne sombrero puis frappe bien contrée par Ninkov. La rentrée de Regattin à la place de Djalò afin d'amener de la vitesse. Vitesse que trouvera Sigamary Diarra pour inscrire le but du break! Lancé par Belghazouani, le talentueux ailier gauche prend tout son monde de vitesse pour aller battre Ahmada du gauche entre les jambes : trois à un pour les Oursons!
Mais les vieux démons ressurgissent, et l'ACA va encore se déconcentrer, et permettre à Ben Yedder de réduire la marque, à la limite du hors-jeu. Le score est de trois à deux pour l'ACA, et Anthony Lippini vient de céder sa place à Diawara pour les vingt dernières minutes. S'en suivra un siège constant de la part des Toulousains, qui vont frôler l'égalisation à plusieurs reprises. Dupont abat ses dernières cartes pour préserver son avantage, et Eduardo sort au profit de Lasne, laissant tout le loisir à Belghazouani et Diarra de placer des contres. Et c'est justement ce qu'ils font! Sur une corner où tout le monde état monté, le second lance le premier, qui va seul battre Ahmada de loin, et ainsi clore toute discussion!
L'ACA
Visiblement déçu par certains de ses cadres, Alex Dupont avait remodelé son onze de départ. Ainsi, on trouvait, une fois de plus, Lippini au poste d'arrière droit, mais aussi cette fois, Samamritano en rôle de soutien à l'attaquant. Le poste du numéro dix était vaquant depuis la suspension de Cavalli, et c'est donc là un coup de poker que tente Dupont, avec un joueur qui n'a plus joué titulaire depuis des mois. Au milieu, pas de surprise, si ce n'est que l'on s'attendait à voir évoluer Pierazzi aux cotés de Faty, mais c'est bien Mostefa qui se présente. Les Oursons ne tardent pas à rentrer dans le vif du sujet, mais en se trompant de cible, et en concédant bêtement l'ouvertur du score par Lippini, pas aidé par ses cheveux sur le coup...La défense Ajaccienne, un peu incrédule, va souffrir pendant presque tout le match. En témoigne la possession de balle, à 70% pour les locaux (!).
Sous un oeil généraliste, on pourrait affirmer que ce match constitue une référence pour les Oursons. La solidité et la cohésion défensive retrouvée, même si il y a ces deux buts encaissés, la percussion en attaque, et la liaison milieux-avants qui fonctionnait à merveille, tout pour faire de l'ACA une machine redoutable. Ajouté à ça, le retour attendu d'Eduardo, après ce match terne face à l'OM, et revolià l'ACA comme on l'aime. Le Brésilien n'a pas marqué, mais a encore participé grandement au jeu offensif. Bien sûr, la vedette a été volée par les ailiers que sont Diarra et "Belgha", véritable fers de lances des couloirs Ajacciens. Dribbleurs, passeurs, relanceurs, buteurs, les deux joueurs ont réalisé à eux deux une performance irréprochable. A la récupération aussi, on a noté du mieux, même si en face, les clients du genre de Capoue et Tabanou ont donné du fil à retorde, on peut dire que la paire Faty - Mostefa a fait son boulot correctement, et n'a pas faillit véritablement. En défense centrale, rien à dire, Poulard et Medjani sont définitivement indissociables. Le premier apporte toujours beaucoup par son expérience et son intelligence et permet au scond de jouer sereinement, et de jaillir dès que cela en devient nécéssaire, sans craindre un mauvais retour de flamme.
Enfin, une bonne note aussi pour le gardien, qui s'est encore montré décisif à plusieurs reprises, et dont on peut dire qu'il s'est définitivement adapté au championnat français. Pas de doute, lorsqu'elle joue sous son meilleur jour, cette équipe là est imbattable. Il faudra aussi remercier Sammaritano, pour son retour en tant que titulaire, et qui est allé de sa réalisation, et qui a fait un match des plus sérieux et généreux.
Sous un oeil généraliste, on pourrait affirmer que ce match constitue une référence pour les Oursons. La solidité et la cohésion défensive retrouvée, même si il y a ces deux buts encaissés, la percussion en attaque, et la liaison milieux-avants qui fonctionnait à merveille, tout pour faire de l'ACA une machine redoutable. Ajouté à ça, le retour attendu d'Eduardo, après ce match terne face à l'OM, et revolià l'ACA comme on l'aime. Le Brésilien n'a pas marqué, mais a encore participé grandement au jeu offensif. Bien sûr, la vedette a été volée par les ailiers que sont Diarra et "Belgha", véritable fers de lances des couloirs Ajacciens. Dribbleurs, passeurs, relanceurs, buteurs, les deux joueurs ont réalisé à eux deux une performance irréprochable. A la récupération aussi, on a noté du mieux, même si en face, les clients du genre de Capoue et Tabanou ont donné du fil à retorde, on peut dire que la paire Faty - Mostefa a fait son boulot correctement, et n'a pas faillit véritablement. En défense centrale, rien à dire, Poulard et Medjani sont définitivement indissociables. Le premier apporte toujours beaucoup par son expérience et son intelligence et permet au scond de jouer sereinement, et de jaillir dès que cela en devient nécéssaire, sans craindre un mauvais retour de flamme.
Enfin, une bonne note aussi pour le gardien, qui s'est encore montré décisif à plusieurs reprises, et dont on peut dire qu'il s'est définitivement adapté au championnat français. Pas de doute, lorsqu'elle joue sous son meilleur jour, cette équipe là est imbattable. Il faudra aussi remercier Sammaritano, pour son retour en tant que titulaire, et qui est allé de sa réalisation, et qui a fait un match des plus sérieux et généreux.
L'Avversariu
Toujours invaincu à domicile, mais sortant de deux défaites regrettables à Lille et à Bordeaux, les "roses" devaient se racheter face à leurs supporters, afin de consolider leur place dans le haut de tableau. C'était sans compter sur un ACA pas pressé d'avoir le ballon, mais cruellement réaliste lorsqu'il le maîtrise. Ce soir, les Garonnais l'ont appris à leurs dépens, dominer n'est pas gagner.
Pourtant, le début de match semble être des plus belles factures, avec une possession et une circulation de balle sereine, et surtout un but offert sur un plateau par le pauvre Antho Lippini. Mais comme on ne se méfie jamais assez de l'eau qui dort, le Téfécé ne s'est pas assez méfié de cette équipe. Pourtant, les intentions étaient bonnes, et Ochoa du s'employer plusieurs fois à garder son but intact, par la suite. Le schéma classique de Casanova va empêcher l'ACA de développer son jeu, et surtout de garder le ballon. Pour autant, le pressing haut des Ajacciens va gêner les locaux dans leurs pertes de balles, fussent-elles rares. Sur la première, la sanction est immédiate. Eduardo et Sammaritano sont très alertes, et obtiennent l'égalisation pour leur première occasion de la partie. Un tir un but, Toulouse se fait surprendre au quart d'heure de jeu, et ne s'en remettra pas. Même si Capoue et Tabanou s'éreintent à essayer de construire quelque chose d'efficace à défaut d'être dangereux, devant, ça ne suit pas. Les connexions sont mal exploitées et les passes n'arrivent pas toujours, ce qui fait du jeu Toulousain un des plus brouillons depuis le début de saison. Deuxième sanction avec des errements de la défense, et une faute de Ninkov, toute aussi grossière que celle de son homologue Ajaccien, puisqu'elle permet à Belghazouani d'inscrire le second, à dix minute de la pause.
Au retour des vestiaires, les joueurs de Casanova ont visiblement reçu des consignes différentes, et commencent à se montrer plus cohérents, et surtout plus tranchants dans leurs choix. Didot puis Ben Yedder font trembler Ochoa, mais manquent de lucidité et surtout de réussite. Et comme si le score n'était pas assez sévère, Diarra concrétise astucieusement un contre initié par Faty, pour battre encore Aly Ahmada en face à face, et ainsi faire le break. Le tournant du match, incontestablement. L'ACA se regroupe en défense, et durcit peu à peu son bloc, empêchant toute construction élaborée dans les vingt mètres. Pourtant, Ben Yedder, servi avec chance par M'Bengue, réussira à réduire l'écart à vingt minutes de la fin. Une fin de match où le Toulouse FC pousse, jusqu'à arriver au rupteur, et encaisser logiquement le quatrième, une nouvelle fois alors que le ballon était dans leurs pieds. Belghazouani et Diarra concluent en duo un match complètement raté pour les Toulousains, et surtout très cher payé. Le réalise des visiteurs a fait foi, devant des joueurs maladroits, et surtout peu imaginatifs. Troisième défaite de rang pour les Mauves, qui n'y arrivent décidemment plus.
Pourtant, le début de match semble être des plus belles factures, avec une possession et une circulation de balle sereine, et surtout un but offert sur un plateau par le pauvre Antho Lippini. Mais comme on ne se méfie jamais assez de l'eau qui dort, le Téfécé ne s'est pas assez méfié de cette équipe. Pourtant, les intentions étaient bonnes, et Ochoa du s'employer plusieurs fois à garder son but intact, par la suite. Le schéma classique de Casanova va empêcher l'ACA de développer son jeu, et surtout de garder le ballon. Pour autant, le pressing haut des Ajacciens va gêner les locaux dans leurs pertes de balles, fussent-elles rares. Sur la première, la sanction est immédiate. Eduardo et Sammaritano sont très alertes, et obtiennent l'égalisation pour leur première occasion de la partie. Un tir un but, Toulouse se fait surprendre au quart d'heure de jeu, et ne s'en remettra pas. Même si Capoue et Tabanou s'éreintent à essayer de construire quelque chose d'efficace à défaut d'être dangereux, devant, ça ne suit pas. Les connexions sont mal exploitées et les passes n'arrivent pas toujours, ce qui fait du jeu Toulousain un des plus brouillons depuis le début de saison. Deuxième sanction avec des errements de la défense, et une faute de Ninkov, toute aussi grossière que celle de son homologue Ajaccien, puisqu'elle permet à Belghazouani d'inscrire le second, à dix minute de la pause.
Au retour des vestiaires, les joueurs de Casanova ont visiblement reçu des consignes différentes, et commencent à se montrer plus cohérents, et surtout plus tranchants dans leurs choix. Didot puis Ben Yedder font trembler Ochoa, mais manquent de lucidité et surtout de réussite. Et comme si le score n'était pas assez sévère, Diarra concrétise astucieusement un contre initié par Faty, pour battre encore Aly Ahmada en face à face, et ainsi faire le break. Le tournant du match, incontestablement. L'ACA se regroupe en défense, et durcit peu à peu son bloc, empêchant toute construction élaborée dans les vingt mètres. Pourtant, Ben Yedder, servi avec chance par M'Bengue, réussira à réduire l'écart à vingt minutes de la fin. Une fin de match où le Toulouse FC pousse, jusqu'à arriver au rupteur, et encaisser logiquement le quatrième, une nouvelle fois alors que le ballon était dans leurs pieds. Belghazouani et Diarra concluent en duo un match complètement raté pour les Toulousains, et surtout très cher payé. Le réalise des visiteurs a fait foi, devant des joueurs maladroits, et surtout peu imaginatifs. Troisième défaite de rang pour les Mauves, qui n'y arrivent décidemment plus.
U bilanciu
Sans doute remis en place et puis galvanisés par le discours de leur entraineur, les Ajacciens ont répondu de la plus belle des manières aux critiques émanent des deux dernières performances, où ils semblaient avoir quelques peu était désenchantés. Toujours aussi intelligents et prompts dans leurs déplacements, les Oursons ont sauté sur toutes les occasions que Toulouse leur donnait pour faire mal à leur adversaire du soir. Redoutables de réalisme et de percussion, les attaquants ont fait le spectacle, bien aidés par une défense de fer.
Les performances individuelles de Belghazouani et Diarra ne doivent pas masquer celles du collectif, car c'est un groupe transfiguré qui est allé punir ceux qui avaient déjà plié en Mai dernier, pour le maintien en L1 de Pantaloni. Il faut désormais confirmer cette très belle performance, face au quatrième, par une victoire face à Sochaux. Alors, avec 17 points, l'ACA pourra vraiment commencer à regarder un peu plus haut.
Olivier CASTEL
Les performances individuelles de Belghazouani et Diarra ne doivent pas masquer celles du collectif, car c'est un groupe transfiguré qui est allé punir ceux qui avaient déjà plié en Mai dernier, pour le maintien en L1 de Pantaloni. Il faut désormais confirmer cette très belle performance, face au quatrième, par une victoire face à Sochaux. Alors, avec 17 points, l'ACA pourra vraiment commencer à regarder un peu plus haut.
Olivier CASTEL