
Pierre Alessandri - Photo archives
Ce troisième appel suspensif du Pnat a fait réagir l’association de défense des prisonniers politiques, Sulidarità qui estime que cet appel traduit, "une continuité dans la volonté de l’Etat de résoudre la question des droits du peuple corse par la répression", et appelle les élus insulaires à "refuser catégoriquement toute discussion avec l’Etat", tant que, notamment, "l’ensemble des prisonniers politiques n’aura pas été libéré".
Pour Paul-Felix Benedetti, "l’appel du Parquet antiterroriste (…) est politique ", a-t-il écrit sur Facebook, assurant que "la France est enfermée dans une logique de vengeance d’Etat".
Dans un communiqué le PNC rappelle qu'à quelques jour de l'ouverture des négociations avec l'Etat, la libération des prisonniers politiques doit rester une priorité. "Dopu a parechji sittimani di mubilisazioni in Corsica, i prigiuneri sò vultati in Borgu. Pinsemi oghji chì u tempu di a libartà hè vinutu. Qualchi ghjorni nanzu a ripresa di i discussioni cù u Statu, vulemi ramintà chì a libarazioni di i nostri prigiuneri devi essa un puntu maiò di una soluzioni pulitica ghjinirali pà ssu paesi !"
Pour Paul-Felix Benedetti, "l’appel du Parquet antiterroriste (…) est politique ", a-t-il écrit sur Facebook, assurant que "la France est enfermée dans une logique de vengeance d’Etat".
Dans un communiqué le PNC rappelle qu'à quelques jour de l'ouverture des négociations avec l'Etat, la libération des prisonniers politiques doit rester une priorité. "Dopu a parechji sittimani di mubilisazioni in Corsica, i prigiuneri sò vultati in Borgu. Pinsemi oghji chì u tempu di a libartà hè vinutu. Qualchi ghjorni nanzu a ripresa di i discussioni cù u Statu, vulemi ramintà chì a libarazioni di i nostri prigiuneri devi essa un puntu maiò di una soluzioni pulitica ghjinirali pà ssu paesi !"
Troisième demande
"Pour la 3ème fois, le tribunal de Paris se prononce en faveur de la semi-liberté pour Pierre Alessandri. Pour la 3ème fois, le Parquet forme immédiatement un appel suspensif." commente le président du Conseil Exécutif, Gilles Simoni, pour lequel " il est pourtant plus que temps que la logique de justice prenne le pas sur celle de la vengeance."