Thierry Savio : Il a formé plusieurs générations de piliers du Stade Toulousain
Mais qu'est-ce le Baby Scrum training?
La Baby Scrum Training (BST), est une machine de musculation innovante dans le monde du rugby, dont le rôle et de préparer les jeunes joueurs et les joueurs professionnels aux contraintes de ce sport (mêlées, impacts, poussées, plaquages, déblayages …) dans des conditions de sécurité optimales. Son rôle sera dans un premier temps préventif afin que les jeunes joueurs puissent assimiler les techniques et la puissance nécessaire pour intégrer le rugby de haut niveau.
Son but est aussi d’optimiser les performances des joueurs évoluant dans le rugby professionnel. Un système d'enregistrement des efforts mis en place sur la machine, permet d’évaluer le potentiel de chaque joueur (efforts générés).
Au-delà des mille et une fonctions qui sont les siennes la BST permet de gérer un effort axial (jusqu'à 800 kg) sur une course de 800 mm simulant ainsi le déplacement d’une mêlée qui avance ou qui recule.Le préparateur physique, positionné à coté du joueur, grâce à un boitier de commande déporté, peut à tout moment intervenir sur la commande pour augmenter ou diminuer la résistance à l’effort.
Cette opération a pour but de faire travailler les appuis du joueur et ses déplacements lors d’une poussée et d'un recul en mêlée.
Si Thierry Savio a été souvent à la manœuvre, les premières lignes et les éducateurs qui seront les référents du comité de Corse sur ce plan ont pris très souvent le relais eux aussi.
La Baby Scrum Training (BST), est une machine de musculation innovante dans le monde du rugby, dont le rôle et de préparer les jeunes joueurs et les joueurs professionnels aux contraintes de ce sport (mêlées, impacts, poussées, plaquages, déblayages …) dans des conditions de sécurité optimales. Son rôle sera dans un premier temps préventif afin que les jeunes joueurs puissent assimiler les techniques et la puissance nécessaire pour intégrer le rugby de haut niveau.
Son but est aussi d’optimiser les performances des joueurs évoluant dans le rugby professionnel. Un système d'enregistrement des efforts mis en place sur la machine, permet d’évaluer le potentiel de chaque joueur (efforts générés).
Au-delà des mille et une fonctions qui sont les siennes la BST permet de gérer un effort axial (jusqu'à 800 kg) sur une course de 800 mm simulant ainsi le déplacement d’une mêlée qui avance ou qui recule.Le préparateur physique, positionné à coté du joueur, grâce à un boitier de commande déporté, peut à tout moment intervenir sur la commande pour augmenter ou diminuer la résistance à l’effort.
Cette opération a pour but de faire travailler les appuis du joueur et ses déplacements lors d’une poussée et d'un recul en mêlée.
Si Thierry Savio a été souvent à la manœuvre, les premières lignes et les éducateurs qui seront les référents du comité de Corse sur ce plan ont pris très souvent le relais eux aussi.
- Comment vous est venue l'idée de créer cette machine ?
- La première a été créée pour les clubs professionnels. A l'époque du lancement du projet les jeunes ne ne poussaient plus en mêlée. Quand ils arrivaient au plus haut niveau on a constaté un gros manque à ce niveau. Et un nombre important de blessures liées à la mêlée. Nous avons réfléchi alors au meilleur moyen de rendre performants nos jeunes qui ne savaient plus pousser… L'idée s'est concrétisée à ce moment-là. Nous avons créé une grosse machine. Et multiplié les tests. Ce travail a retenu l'attention de la GMF, l'assureur du rugby, qui a décidé de faire une machine plus petite pour aller à la rencontre des écoles de rugby de façon à reprendre le problème de la poussée en mêlée au niveau de la formation.
- C'est vous qui l'avez conçue, pensée ?
- Oui pensée, conçue. et faite construire par des industriels toulousains. Aujourd'hui il y en a une par Comité. Il y en a une à Clermont-Ferrand. Une au Stade Toulousain. Deux à Marcoussis. Au total il y en a une quarantaine qui se baladent.
- Les jeunes savent pousser maintenant ?
- Ils le font mieux. Plus en sécurité en tout cas.
- Vous faites un tour de France des clubs, des comités ?
- Je l'ai fait lorsque la Fédération a acheté les machines il 6 ou 7 ans. Nous les avons installées dans chaque comité avec un premier tour de formation puis un second 2 ans après. Maintenant c'est une affaire qui tourne.
- Thierry Savion aujourd'hui ?
- Je suis préparateur physique et entraîneur de la mêlée dans les clubs professionnels lorsque j'en ai un. Mais là, après mon passage à Toulouse et puis plus récemment à Carcassonne, je n'en ai plus…
- La première a été créée pour les clubs professionnels. A l'époque du lancement du projet les jeunes ne ne poussaient plus en mêlée. Quand ils arrivaient au plus haut niveau on a constaté un gros manque à ce niveau. Et un nombre important de blessures liées à la mêlée. Nous avons réfléchi alors au meilleur moyen de rendre performants nos jeunes qui ne savaient plus pousser… L'idée s'est concrétisée à ce moment-là. Nous avons créé une grosse machine. Et multiplié les tests. Ce travail a retenu l'attention de la GMF, l'assureur du rugby, qui a décidé de faire une machine plus petite pour aller à la rencontre des écoles de rugby de façon à reprendre le problème de la poussée en mêlée au niveau de la formation.
- C'est vous qui l'avez conçue, pensée ?
- Oui pensée, conçue. et faite construire par des industriels toulousains. Aujourd'hui il y en a une par Comité. Il y en a une à Clermont-Ferrand. Une au Stade Toulousain. Deux à Marcoussis. Au total il y en a une quarantaine qui se baladent.
- Les jeunes savent pousser maintenant ?
- Ils le font mieux. Plus en sécurité en tout cas.
- Vous faites un tour de France des clubs, des comités ?
- Je l'ai fait lorsque la Fédération a acheté les machines il 6 ou 7 ans. Nous les avons installées dans chaque comité avec un premier tour de formation puis un second 2 ans après. Maintenant c'est une affaire qui tourne.
- Thierry Savion aujourd'hui ?
- Je suis préparateur physique et entraîneur de la mêlée dans les clubs professionnels lorsque j'en ai un. Mais là, après mon passage à Toulouse et puis plus récemment à Carcassonne, je n'en ai plus…