88 concurrents étaient au départ samedi matin des six spéciales figurant au menu de la seconde journée de la 47ème édition de la Ronde de la Giraglia.
Une journée que Frédéroc-François Navarra abordait, nous vous l'avons dit, avec un petit "trésor" : la quinzaine de secondes d'avance qu'il comptait sur Pascal Trojani et Jean-Jacques Padovani notamment.
Un pécule que Pascal Trojani s'est évertué à faire fondre dès le début de la matinée entre Macinaggio et Ersa puis au cours des spéciales que les concurrents ont enfilé à l'envi sur un terrain que Trojani affectionne tout particulièrement. Derrière Navarra et Padovani, même si ce dernier avait du mal à suivre le rythme, faisaient, bien sûr, de la résistance pendant que Manzagol se maintenait en tête du groupe R devant Anthony Puppo.
A l'entame de la sixième spéciale Morsiglia-Cagnano, Navarra ne comptait plus que 6 secondes d'avance au scratch mais le fait de n'avoir concédé qu'un dixième de seconde à Trojani entre Macinaggio et Ersa mettait un peu de baume au cœur du vainqueur de l'édition 2016.
Mais là encore Pascal Trojani se montrait le plus rapide toujours devant Navarra, qui concédait 7 dixièmes cette fois, et Padovani à plus de 3 secondes, dès lors l'avance de Navarra passait sous les 6 secondes et tout pouvait encore arriver.
A ce niveau la bataille jusqu'à l'arrivée s'annonçait somptueuse comme celle que se livrait derrière les deux équipages de tête et leur WRC, Manzagol et Puppo.
Mais le combat changeait d'âme au cours des deux dernières spéciales marquées par les problèmes rencontrés puis par l'abandon du leader Navarra, contraint de céder d'un coup plus de 5 minutes à son poursuivant
Dès lors malgré le retard pris par la course en raison de quelques incidents sans gravité qui ont affecté certains concurrents, rien n'empêchait l'équipage Trojani-Vesperini de se parer du titre du roi du Cap et rallier Bastia en vainqueur devant Jean-Jacques Padovani sans pour autant parvenir à réussir le grand chelem qu'il projetait sa,s doute deréaliser à la faveur de cette seconde journée de course.
Puppo jusque là à la lutte avec Manzagol, le privait de ce plaisir, marquant ainsi sa supériorité dans le groupe R, malgré un excellent Jean-Marc Manzagol
A noter en 2 roues motrices, la victoire de Paul-Antoine Santoni devant la 208, R2 de François Fraymouth.
Une journée que Frédéroc-François Navarra abordait, nous vous l'avons dit, avec un petit "trésor" : la quinzaine de secondes d'avance qu'il comptait sur Pascal Trojani et Jean-Jacques Padovani notamment.
Un pécule que Pascal Trojani s'est évertué à faire fondre dès le début de la matinée entre Macinaggio et Ersa puis au cours des spéciales que les concurrents ont enfilé à l'envi sur un terrain que Trojani affectionne tout particulièrement. Derrière Navarra et Padovani, même si ce dernier avait du mal à suivre le rythme, faisaient, bien sûr, de la résistance pendant que Manzagol se maintenait en tête du groupe R devant Anthony Puppo.
A l'entame de la sixième spéciale Morsiglia-Cagnano, Navarra ne comptait plus que 6 secondes d'avance au scratch mais le fait de n'avoir concédé qu'un dixième de seconde à Trojani entre Macinaggio et Ersa mettait un peu de baume au cœur du vainqueur de l'édition 2016.
Mais là encore Pascal Trojani se montrait le plus rapide toujours devant Navarra, qui concédait 7 dixièmes cette fois, et Padovani à plus de 3 secondes, dès lors l'avance de Navarra passait sous les 6 secondes et tout pouvait encore arriver.
A ce niveau la bataille jusqu'à l'arrivée s'annonçait somptueuse comme celle que se livrait derrière les deux équipages de tête et leur WRC, Manzagol et Puppo.
Mais le combat changeait d'âme au cours des deux dernières spéciales marquées par les problèmes rencontrés puis par l'abandon du leader Navarra, contraint de céder d'un coup plus de 5 minutes à son poursuivant
Dès lors malgré le retard pris par la course en raison de quelques incidents sans gravité qui ont affecté certains concurrents, rien n'empêchait l'équipage Trojani-Vesperini de se parer du titre du roi du Cap et rallier Bastia en vainqueur devant Jean-Jacques Padovani sans pour autant parvenir à réussir le grand chelem qu'il projetait sa,s doute deréaliser à la faveur de cette seconde journée de course.
Puppo jusque là à la lutte avec Manzagol, le privait de ce plaisir, marquant ainsi sa supériorité dans le groupe R, malgré un excellent Jean-Marc Manzagol
A noter en 2 roues motrices, la victoire de Paul-Antoine Santoni devant la 208, R2 de François Fraymouth.