
Crédit photo Ministère Justice
Ce procès, qui s'est tenu pendant trois mois à Marseille, était l'aboutissement d'une vaste enquête portant notamment sur des investissements immobiliers à Courchevel, dans les Alpes, et l'achat de montres de luxe, pour plusieurs dizaines de millions d'euros. Au total, fin mai, des peines allant jusqu'à 13 ans de prison et des amendes pour un total de près de 10 millions d'euros avaient été prononcées.
Mais le parquet de Marseille a interjeté appel contre neuf prévenus, dont le chef d'entreprise Antony Perrino, condamné fin mai à cinq ans de prison dont 30 mois avec sursis, 750.000 euros d'amende et une interdiction provisoire de gérer une entreprise pendant trois ans. L'accusation avait requis neuf ans de prison et 250.000 euros d'amende.
Celui que l'accusation a présenté comme "le cheval de Troie du Petit Bar pour pénétrer l'économie réelle" a également fait appel, postérieurement au parquet.
Le parquet a également fait appel de la relaxe totale de François-Xavier Susini, riche commerçant de Courchevel, une station de luxe des Alpes, contre lequel il avait requis une peine de cinq ans de prison dont deux ans avec sursis et une amende de deux millions d'euros.
Au sein du noyau dur du clan, seul André Bachiolelli, "l'homme de l'ombre" selon l'accusation, a fait appel de sa condamnation à cinq ans de prison, 300.000 euros d'amende et interdiction définitive de gérer une entreprise.
Parmi les compagnes du clan, seule Valérie Mouren, ex-compagne de Pascal Porri, a fait appel de sa condamnation à trois ans de prison dont deux ans avec sursis, 100.000 euros d'amende et interdiction de gérer une entreprise pendant 10 ans.
Le parquet a fait un appel incident pour M. Bacchiolelli et Mme Mouren.
Jean-Laurent Susini, beau-frère de Jacques Santoni, accusé d'avoir fait profiter sa sœur d'un gain de 4 millions d'euros au loto et condamné à trois ans de prison dont un an avec sursis et une amende de 250.000 euros, sera également rejugé, tout comme Hugo Azoulay, Franck Fellous, Wei Chen et Jingwu Huang., quatre autre prévenus.
Mais le parquet de Marseille a interjeté appel contre neuf prévenus, dont le chef d'entreprise Antony Perrino, condamné fin mai à cinq ans de prison dont 30 mois avec sursis, 750.000 euros d'amende et une interdiction provisoire de gérer une entreprise pendant trois ans. L'accusation avait requis neuf ans de prison et 250.000 euros d'amende.
Celui que l'accusation a présenté comme "le cheval de Troie du Petit Bar pour pénétrer l'économie réelle" a également fait appel, postérieurement au parquet.
Le parquet a également fait appel de la relaxe totale de François-Xavier Susini, riche commerçant de Courchevel, une station de luxe des Alpes, contre lequel il avait requis une peine de cinq ans de prison dont deux ans avec sursis et une amende de deux millions d'euros.
Au sein du noyau dur du clan, seul André Bachiolelli, "l'homme de l'ombre" selon l'accusation, a fait appel de sa condamnation à cinq ans de prison, 300.000 euros d'amende et interdiction définitive de gérer une entreprise.
Parmi les compagnes du clan, seule Valérie Mouren, ex-compagne de Pascal Porri, a fait appel de sa condamnation à trois ans de prison dont deux ans avec sursis, 100.000 euros d'amende et interdiction de gérer une entreprise pendant 10 ans.
Le parquet a fait un appel incident pour M. Bacchiolelli et Mme Mouren.
Jean-Laurent Susini, beau-frère de Jacques Santoni, accusé d'avoir fait profiter sa sœur d'un gain de 4 millions d'euros au loto et condamné à trois ans de prison dont un an avec sursis et une amende de 250.000 euros, sera également rejugé, tout comme Hugo Azoulay, Franck Fellous, Wei Chen et Jingwu Huang., quatre autre prévenus.