
Après la Sardaigne, le prochain voyage officiel du président du Conseil Exécutif de la Collectivité territoriale de Corse (CTC), Gilles Simeoni, devrait avoir lieu le 18 avril prochain en Catalogne. L'invitation officielle du président du nouveau gouvernement de la Generalitat Catalunya, Carles Puigdemont, lui a été remise en mains propres par Jordi Solé, membre du gouvernement catalan, secrétaire d'Etat aux affaires extérieures et européennes, en présence de François Alfonsi président de l’ALE, et de Jean‐Guy Talamoni, Président de l'Assemblée de Corse.
Jordi Solé, venu à Ajaccio pour participer à l'assemblée générale de l'ALE, a rencontré Gilles Simeoni, jeudi en fin d'après-midi. L'ordre du jour de cette rencontre a porté sur les affaires institutionnelles des deux régions, les sujets d'actualité en Europe et a visé à donner une impulsion à la relation bilatérale entre les deux territoires pour construire un avenir commun au sein de l'Union européenne.
Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni ont, ensuite, reçu une délégation de l'Alliance Libre européenne lors d’une réception de bienvenue dans le salon d'honneur de la CTC.
Plus tôt dans l’après-midi, un premier débat sur la question de la langue s'est tenu dans l'hémicycle de l'Assemblée de Corse sur le thème "la mise en oeuvre des politiques linguistiques et de la coofficialité". Animé par Saveriu Luciani, il a abordé la question linguistique sous un angle très technique grâce à l'expertise du Gallois Meirion Prys Jones, spécialiste des politiques linguistiques pour le développement des langues minoritaires, directeur du Réseau européen pour la promotion de la diversité linguistique et ancien directeur de l'Office de la langue Galloise. Il a réuni plus de 40 participants, tous des spécialistes qui ont, notamment, confronté le traitement de la question de la vitalité de la langue corse face à celui du Pays de Galles et de la langue Galloise.
Rappelons que l’Alliance Libre Européenne, parti politique européen, compte 12 députés au Parlement Européen. Elle regroupe 45 partis politiques européens qui se battent pour les droits nationaux des peuples sans États. 140 délégués viendront d'Ecosse, de Catalogne, du Pays Basque, de Flandre, des Îles Åland, du Sud Tirol, de Sardaigne, du Val d'Aoste, du Pays Valencien, des Baléares, du Pays de Galles, etc. La Corse sera cette semaine le point de rencontre de ceux qui se battent pour une Europe des Peuples, pour la diversité et pour la reconnaissance de leurs droits.
Jordi Solé, venu à Ajaccio pour participer à l'assemblée générale de l'ALE, a rencontré Gilles Simeoni, jeudi en fin d'après-midi. L'ordre du jour de cette rencontre a porté sur les affaires institutionnelles des deux régions, les sujets d'actualité en Europe et a visé à donner une impulsion à la relation bilatérale entre les deux territoires pour construire un avenir commun au sein de l'Union européenne.
Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni ont, ensuite, reçu une délégation de l'Alliance Libre européenne lors d’une réception de bienvenue dans le salon d'honneur de la CTC.
Plus tôt dans l’après-midi, un premier débat sur la question de la langue s'est tenu dans l'hémicycle de l'Assemblée de Corse sur le thème "la mise en oeuvre des politiques linguistiques et de la coofficialité". Animé par Saveriu Luciani, il a abordé la question linguistique sous un angle très technique grâce à l'expertise du Gallois Meirion Prys Jones, spécialiste des politiques linguistiques pour le développement des langues minoritaires, directeur du Réseau européen pour la promotion de la diversité linguistique et ancien directeur de l'Office de la langue Galloise. Il a réuni plus de 40 participants, tous des spécialistes qui ont, notamment, confronté le traitement de la question de la vitalité de la langue corse face à celui du Pays de Galles et de la langue Galloise.
Rappelons que l’Alliance Libre Européenne, parti politique européen, compte 12 députés au Parlement Européen. Elle regroupe 45 partis politiques européens qui se battent pour les droits nationaux des peuples sans États. 140 délégués viendront d'Ecosse, de Catalogne, du Pays Basque, de Flandre, des Îles Åland, du Sud Tirol, de Sardaigne, du Val d'Aoste, du Pays Valencien, des Baléares, du Pays de Galles, etc. La Corse sera cette semaine le point de rencontre de ceux qui se battent pour une Europe des Peuples, pour la diversité et pour la reconnaissance de leurs droits.