Producteur de charcuterie et de fromages, Jean-Luc Albertini avait ouvert ce commerce avec son épouse pour écouler directement leur production. L’incendie a gravement endommagé la devanture du local, détruit du matériel et rendu inutilisable une partie des produits alimentaires. « C’est l’enfer », a résumé l’éleveur dans les médias locaux.
Dimanche, habitants, amis et militants nationalistes se sont rassemblés pour exprimer leur solidarité. Dans les prises de parole, la situation personnelle de Jean-Luc Albertini a été largement rappelée : celle d’un homme marqué par le handicap, qui tente de vivre de son travail et de son exploitation.
Condamnation et appel à la justice
Les interventions se sont succédé pour condamner ce qui a été qualifié d’« incendie criminel prémédité ». Plusieurs voix ont insisté sur la nécessité pour les autorités d’élucider rapidement l’affaire et de sanctionner les auteurs. « On ne peut pas accepter que des travailleurs, qui plus est des producteurs locaux, soient ainsi visés », a-t-on entendu.
Le mouvement Core in Fronte, dont Albertini est proche, a exprimé sa colère face à ce qu’il présente comme une volonté de « faire taire ou décourager » ceux qui s’engagent dans une voie d’indépendance économique et politique.
Un climat dénoncé
Au-delà du soutien personnel, plusieurs participants ont évoqué un climat délétère : « Chaque mois, on doit se réunir pour condamner de tels actes, c’est insupportable », a déclaré un intervenant. Des appels ont été lancés à renforcer la solidarité entre producteurs et à soutenir la reconstruction du commerce.
Dimanche, habitants, amis et militants nationalistes se sont rassemblés pour exprimer leur solidarité. Dans les prises de parole, la situation personnelle de Jean-Luc Albertini a été largement rappelée : celle d’un homme marqué par le handicap, qui tente de vivre de son travail et de son exploitation.
Condamnation et appel à la justice
Les interventions se sont succédé pour condamner ce qui a été qualifié d’« incendie criminel prémédité ». Plusieurs voix ont insisté sur la nécessité pour les autorités d’élucider rapidement l’affaire et de sanctionner les auteurs. « On ne peut pas accepter que des travailleurs, qui plus est des producteurs locaux, soient ainsi visés », a-t-on entendu.
Le mouvement Core in Fronte, dont Albertini est proche, a exprimé sa colère face à ce qu’il présente comme une volonté de « faire taire ou décourager » ceux qui s’engagent dans une voie d’indépendance économique et politique.
Un climat dénoncé
Au-delà du soutien personnel, plusieurs participants ont évoqué un climat délétère : « Chaque mois, on doit se réunir pour condamner de tels actes, c’est insupportable », a déclaré un intervenant. Des appels ont été lancés à renforcer la solidarité entre producteurs et à soutenir la reconstruction du commerce.
Mossa di sustegnu, in Saone, pè Jean-Luc Albertini è a so famiglia.
300 persone pè un omu unestu è drittu.
A sucietà corsa hè malata di e malfatte è prissione oghjinche. Bisognu à dì basta è mette d'accantu quelli chì cercanu à strughje à Corsica è u so populu pè u soldu.
Simu… pic.twitter.com/tj0PirmCIn
— Core in Fronte (@coreinfronte) September 21, 2025
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