Au-delà de la préparation de la prochaine assemblée générale du parti, qui devrait se tenir au début du mois de juin à Corte et qui sera l’occasion pour le PNC de rassembler ses militants, « mais également au-delà », ainsi que l'a précisé Jean-Christophe Angelini, le Cunsigliu s'est attardé sur le Comité stratégique sur l'avenir de la Corse et la reprise des discussions sur l’autonomie de la Corse avec le gouvernement.
À ce sujet Jean-Christophe Angelini a précisé qu’il sera à Paris mardi. « Nous avons voulu insister sur le fond et la forme quant à un certain nombre de points. Il s’est agi pour nous de pointer, sur la forme, un petit regret. Nous aurions préféré que l’on ait un Comité stratégique dans son format initial à savoir deux élus par groupes et l’ensemble des personnalités qui le compose depuis l’origine. Ce n’est pas le cas et nous le regrettons, sans que ce ne soit un problème rédhibitoire », a précisé Jean-Christophe Angelini.
Sur le fond, le PNC a voulu rappeler deux points importants. La première est que les délais doivent être maintenus et que les débats à venir soient enfin conclusifs. « Trois ans après le début du processus, il est temps que nous ayons une conclusion, que l’on espère heureuse, ainsi que d’un engagement fort des deux Chambres et du Congrès autour de l’autonomie de la Corse ».
Le deuxième point concerne la base de travail et d’échanges entre Paris et la Corse, à savoir le projet d’écriture constitutionnel qui a été validé par l’État, à savoir par le ministre de l’Intérieur de l’époque, Gérald Darmanin, « validé également dans son principe par le Président de la République lors de son allocution devant l’Assemblée de Corse, ainsi que validé à une écrasante majorité par cette même assemblée. Nous pensons qu’il est une base démocratique et politique pour nos futurs échanges ».
À ce sujet Jean-Christophe Angelini a précisé qu’il sera à Paris mardi. « Nous avons voulu insister sur le fond et la forme quant à un certain nombre de points. Il s’est agi pour nous de pointer, sur la forme, un petit regret. Nous aurions préféré que l’on ait un Comité stratégique dans son format initial à savoir deux élus par groupes et l’ensemble des personnalités qui le compose depuis l’origine. Ce n’est pas le cas et nous le regrettons, sans que ce ne soit un problème rédhibitoire », a précisé Jean-Christophe Angelini.
Sur le fond, le PNC a voulu rappeler deux points importants. La première est que les délais doivent être maintenus et que les débats à venir soient enfin conclusifs. « Trois ans après le début du processus, il est temps que nous ayons une conclusion, que l’on espère heureuse, ainsi que d’un engagement fort des deux Chambres et du Congrès autour de l’autonomie de la Corse ».
Le deuxième point concerne la base de travail et d’échanges entre Paris et la Corse, à savoir le projet d’écriture constitutionnel qui a été validé par l’État, à savoir par le ministre de l’Intérieur de l’époque, Gérald Darmanin, « validé également dans son principe par le Président de la République lors de son allocution devant l’Assemblée de Corse, ainsi que validé à une écrasante majorité par cette même assemblée. Nous pensons qu’il est une base démocratique et politique pour nos futurs échanges ».
Municipales : mise en place d'une démarche de clarté et de cohérence
Enfin, le dernier point important du Cunsigliu de Corte portait sur la préparation des prochaines élections municipales de mars 2026.
Le PNC ne prône pas nécessairement l’union de la famille nationaliste, confrontée à d’énormes difficultés depuis quelque temps.
« On voit bien aujourd’hui la difficulté dans l’opposition à l’actuelle majorité territoriale, dans l’opposition à un certain nombre de stratégies décidées par elle. Nous sommes davantage dans la définition de projet de territoire, mais sans électoralisme et sans opportunisme. Et cela est très important. Notre volonté n’est pas de tendre vers n’importe qui au prétexte d’un strapontin ou d’un accord local. Nous voulons une démarche d’ensemble. Nous demeurons des nationalistes corses, pleinement engagés pour l’émancipation de leur pays et nous ne ferons pas d’opportunisme à l’occasion de ces municipales. Donc, nous lançons une démarche de fond, qui se traduira par une charte municipale venant encadrer nos accords, commune par commune », a poursuivi Pascal Zagnoli, secrétaire générale du PNC.
Ajaccio : une liste autonome "qui ne se confondra pas avec celle de la majorité municipale"
Une façon pour le PNC de tordre le cou à la rumeur faisant état d'une union entre le parti et Laurent Marcangeli concernant les élections municipales sur Ajaccio ! « Il y aura une liste autonome au premier tour sur Ajaccio, que l’on souhaite la plus large possible et qui ne se confondra pas avec celle de la majorité municipale et c’est normal, car nous n’en faisons pas partie. Du Cap Corse à Bonifaziu nous mettrons en place une démarche de clarté et de cohérence ».
Pour prendre un autre exemple concret, sur Corte cette fois, la famille nationaliste a toujours été présente de manière unitaire.
À ce sujet Jean-Christophe Angelini a précisé que Vanina Borromei, en sa qualité d’élue du groupe à l’Assemblée de Corse et de cadre du parti « a toute notre confiance pour mener les premiers échanges, qui devraient débuter dans le courant de l’été prochain ».
Le PNC ne prône pas nécessairement l’union de la famille nationaliste, confrontée à d’énormes difficultés depuis quelque temps.
« On voit bien aujourd’hui la difficulté dans l’opposition à l’actuelle majorité territoriale, dans l’opposition à un certain nombre de stratégies décidées par elle. Nous sommes davantage dans la définition de projet de territoire, mais sans électoralisme et sans opportunisme. Et cela est très important. Notre volonté n’est pas de tendre vers n’importe qui au prétexte d’un strapontin ou d’un accord local. Nous voulons une démarche d’ensemble. Nous demeurons des nationalistes corses, pleinement engagés pour l’émancipation de leur pays et nous ne ferons pas d’opportunisme à l’occasion de ces municipales. Donc, nous lançons une démarche de fond, qui se traduira par une charte municipale venant encadrer nos accords, commune par commune », a poursuivi Pascal Zagnoli, secrétaire générale du PNC.
Ajaccio : une liste autonome "qui ne se confondra pas avec celle de la majorité municipale"
Une façon pour le PNC de tordre le cou à la rumeur faisant état d'une union entre le parti et Laurent Marcangeli concernant les élections municipales sur Ajaccio ! « Il y aura une liste autonome au premier tour sur Ajaccio, que l’on souhaite la plus large possible et qui ne se confondra pas avec celle de la majorité municipale et c’est normal, car nous n’en faisons pas partie. Du Cap Corse à Bonifaziu nous mettrons en place une démarche de clarté et de cohérence ».
Pour prendre un autre exemple concret, sur Corte cette fois, la famille nationaliste a toujours été présente de manière unitaire.
À ce sujet Jean-Christophe Angelini a précisé que Vanina Borromei, en sa qualité d’élue du groupe à l’Assemblée de Corse et de cadre du parti « a toute notre confiance pour mener les premiers échanges, qui devraient débuter dans le courant de l’été prochain ».