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Magà Ettori et « l’Institut Bella Ciao », accompagnent depuis déjà trois ans 33 collectifs et associations


M. E le Jeudi 18 Novembre 2021 à 19:40

Alors qu’elle arrive dans sa 27ème année d’existence, l’Organisation Non Gouvernementale INSAVE, fondée à Ajaccio, change de nom pour devenir : « Institut Bella Ciao » dont l’objet est de promouvoir la liberté et la citoyenneté universelle.



Magà Ettori, Sonia Hamdouchy, Ariakina Ettori
Magà Ettori, Sonia Hamdouchy, Ariakina Ettori
 Fondée à Ajaccio par le cinéaste Magà Ettori, « L’Insave » a depuis 1995 accompagné autant que possible la transition écologique et sociale sur les bases d’un développement durable et équitable, tout en préservant les libertés fondamentales. Depuis sa création, l’Ong a pris soin d’accompagner l’émergence d’un modèle de société respectueux des humains, de l'environnement, des animaux et compatible avec les limites planétaires.
 
« L’Insave » est donc devenu « l’Institut Bella Ciao », une appellation empruntée au célèbre chant antifasciste italien qui définit la finalité de l’Ong : il s'agit de promouvoir l'esprit de résistance à tous les niveaux. Il faut signaler que, si l'idée de départ prend toute sa mesure aujourd’hui, c'est parce que l'époque s'y prête. Plus que jamais, une évidence s'impose : il faut que le citoyen sache résister à la mesure lourde des pouvoirs qui insistent du poids leur prééminence.
 
Le premier projet sur lequel « l’Institut Bella Ciao » a misé est la « trilogie Liberté », trois documentaires qui sortiront en salles en décembre 2021, mars 2022 et mai 2022, un sacré challenge. « L’Institut Bella Ciao » a d’ailleurs mis en place un crowdfunding destiné à financer cette série qui interroge notre époque concernant les libertés fondamentales : https://liberte-lefilm.fr   
 
Face aux contraintes et aux peurs de toutes sortes, le simple courage individuel prend cette dimension de résistance, comme l'engagement des consciences émancipées face à toutes les confusions générées par les pressions multiples de la désinformation. La parole de résistance n'est pas une parole acquise, c'est une parole conquise : les forces à laquelle elle veut s'opposer ne céderont pas facilement, au contraire.
 
Avec la confiance en un idéal de citoyenneté responsable, nous assumons la notion de résistance comme un héritage. Celui qui y adhère développe de fait, au sein d'une liberté revendiquée, sa capacité d'indignation et de refus.
 
« L’institut Bella Ciao », grâce à sa Pépinière, accompagne depuis déjà trois ans 33 collectifs et associations, comme « L’Institut Citoyen du Cinéma » qui soutient le cinéma émergent, présidé par Ariakina Ettori, ou encore récemment le « Collectif Blouses Blanches » présidé par Sonia Hamdouchy, le « Comité citoyen et écologiste » fondé par Jean-Marc Governatori, mais aussi le club omnisport « Vegan Warrior » qui regroupe des sportifs véganes et végétariens aux 4 coins de la Planète, des amateurs comme de très grands champions à l’instar de Morhad Amdouni, Ahmed Ferradji, Myriam et Jacky Boisset, François-Xavier Filias, Dana Glowacka, Fiona Oakes, Janette et Alan Murray, Ludovic Parreira, Vincent Todaro, Marc Vouillot, …

impliqué dans la lutte contre le dérèglement climatique

Mary et Paul McCartney
Mary et Paul McCartney
« L’institut Bella Ciao », est impliqué dans la lutte contre le dérèglement climatique avec le Collectif « Act Now » qui a reçu le soutien de 500 personnalités fondations, ong, représentants de la Société civile, chercheurs, scientifiques, intellectuels, journalistes, sportifs, artistes tels que Marie et Paul McCatney, Hélène de Fougerolles, Marlène Harnois, Claude Lelouch, Frédéric Lenoir, Maryse Condé, Michel Sardou, Steve Lillywhite, Allain Bougrain-Dubourg, Béatrice Dalle et tant d’autres.
 
Ce besoin de soutenir des initiatives de qualité dans des domaines aussi variés que l’humanitaire, le social, la santé, l’éducation, le sport, la culture, les loisirs, la formation, l’insertion, le développement local, la défense des droits et des causes (nationales et internationales), fait de  "« l’Institut Bella Ciao » le lieu où se retrouvent les consciences éprises de vérité et de progrès qui se veulent affranchies des contraintes pesantes, des dépendances que l'autorité présente comme nécessaires.
 
« L’institut Bella Ciao », dans un rapport de cause à effet, motive son existence par la légitimité de la lutte contre les capitulations et les dévalorisations, car l'oppression, au sens large du terme, n'a besoin que de vaincus. Qu'elle s'affiche ou qu'elle avance masquée, elle sait isoler, déposséder, forcer au consentement aliénant. Y résister passe par une prise de conscience qui se traduit en actes, comme autant de conquêtes à mettre en œuvre. 
 
Les puissances dirigeantes, sûres d'elles-mêmes, savent se jouer des oppositions quand elles sont trop crispées ou revendicatives. « L’institut Bella Ciao », ce n'est pas cela : sa capacité de réaction s'inscrit dans une identité bienveillante et constructive, car l'optimisme fait partie du caractère qui a présidé à sa création. Si on lutte contre le pire, ce n'est pas par désespoir ou en anticipant l'échec, c'est parce qu'on sait que le meilleur est possible – et peut-être plus près qu'on ne le pense.
 
Informations :
https://institut-bellaciao.fr
https://lesenfantsdelaliberte-lefilm.fr
https://liberte-lefilm.fr