« Ce monument est tout un symbole, un symbole fort de lutte et de plus à côté d’un symbole politique, la mairie de Bastia et d’un symbole économique, la CCI de la Haute-Corse » a déclaré sur place Charles Casabianca, secrétaire général de l’UD CGT Haute-Corse, le premier à prendre la parole. « Nous sommes là pour dénoncer la cherté de la vie et demander des augmentations de salaires, du point d’indice, pour faire face aux hausses des prix. La population veut que le mal-vivre cesse. Les salariés ne veulent plus d’une politique brutale, d’austérité. Aujourd’hui il faut augmenter les salaires pour relancer la consommation. On réclame le smic à 2000 € net. Il faut une réforme fiscale pour que les gens paient moins d’impôts surtout ceux qui ont de bas salaires. Aujourd’hui on parle d’autonomie, on sera vigilant. Pour la CGT, le social reste la priorité. Il faut impérativement une revalorisation des salaires car aujourd’hui tout augmente sauf les revenus. La précarité est galopante, l’heure est à la mobilisation, il faut construire un rapport de force ».
Du coté de l’UNSA, le discours est le même : « On constate tous les jours une baisse du pouvoir d’achat car tout augmente » explique François Giudicelli, secrétaire régional UNSA. « Selon l’INSEE, la hausse est de 2,9% sur un an. Le coût du logement est lourd pour les foyers, 24% selon l’institut et alors que depuis 2012 il n’y a eu aucune augmentation de salaires et que les inégalités enflent. Par exemple les différences de salaires H/F s’élèvent parfois à 23%. L’INSA réclame donc l’augmentation des salaires et des pensions, augmentation du point d’indice et la baisse de la TVA sur les produits de première nécessité. La prime de transport doit être augmentée et étendue aux retraités et on doit instaurer aussi une prime de vie chère. Concernant les carburants, on demande la mise en place d’un blocage des taxes à la pompe. Enfin il faut soutenir les salariés qui veulent suivre des formations et acquérir de nouvelles compétences ».
Dernier à prendre la parole, Fabien Minéo pour la FSU emboite le pas de ses deux collègues syndicaux. « Nous sommes en période électorale et nous ne sommes pas dupes. On nous annonce une augmentation du point d’indice lequel n’a pas bougé depuis 2017. Il est temps que ça bouge. Je rajouterai juste aux précédents discours que nous avons une pensée pour les AESH qui ont des salaires de misère ».
Selon la CGT des actions sont attendre en avril.
Du coté de l’UNSA, le discours est le même : « On constate tous les jours une baisse du pouvoir d’achat car tout augmente » explique François Giudicelli, secrétaire régional UNSA. « Selon l’INSEE, la hausse est de 2,9% sur un an. Le coût du logement est lourd pour les foyers, 24% selon l’institut et alors que depuis 2012 il n’y a eu aucune augmentation de salaires et que les inégalités enflent. Par exemple les différences de salaires H/F s’élèvent parfois à 23%. L’INSA réclame donc l’augmentation des salaires et des pensions, augmentation du point d’indice et la baisse de la TVA sur les produits de première nécessité. La prime de transport doit être augmentée et étendue aux retraités et on doit instaurer aussi une prime de vie chère. Concernant les carburants, on demande la mise en place d’un blocage des taxes à la pompe. Enfin il faut soutenir les salariés qui veulent suivre des formations et acquérir de nouvelles compétences ».
Dernier à prendre la parole, Fabien Minéo pour la FSU emboite le pas de ses deux collègues syndicaux. « Nous sommes en période électorale et nous ne sommes pas dupes. On nous annonce une augmentation du point d’indice lequel n’a pas bougé depuis 2017. Il est temps que ça bouge. Je rajouterai juste aux précédents discours que nous avons une pensée pour les AESH qui ont des salaires de misère ».
Selon la CGT des actions sont attendre en avril.