Ange Basterga qui vit à Bastelicaccia avait franchi le col de Vizzavona en 2017 pour présenter son premier long métrage, Caïd, aux cinéphiles du Festival Arte Mare. Ce film coréalisé avec son compère Nicolas Lopez qui se déroulait au cœur d’une cité des Bouches-du-Rhône n’avait pas de distributeur et commençait doucement à faire parler de lui.
Quatre ans plus tard, après le grand Prix au Festival de Polar de Cognac, voilà Caïd qui débarque sur la plateforme aux 193 millions d’abonnés.
Pour les besoins de la fiction, les deux réalisateurs ont utilisé le matériau original, leur long-métrage tourné avec un budget dérisoire (70 000 euros), en seulement quatre jours à Martigues. Ils en ont fait une version télé – une sorte de remake – en dix épisodes d’une dizaine de minutes chacun.
Found footage
Dans Caïd, un réalisateur et son caméraman sont envoyés dans un quartier au cœur des cités du sud de la France afin de tourner un clip de rap. Si leur intégration semble se dérouler sans encombre au premier abord, le duo se trouve rapidement pris dans une violente guerre de gangs. Pour apporter encore plus d’intensité à cette adaptation du long-métrage autoproduit d’Ange Basterga et Nicolas Lopez, la série a été intégralement montée avec les codes du found footage, genre démocratisé au cinéma avec Le Projet Blair Witch et la franchise Paranormal Activity.
Projets
Après les succès du film Bronx d’Olivier Marchal et de la série Lupin avec Omar Sy, les français ont la côte chez Netflix. Tant mieux pour le talentueux Ange Basterga, acteur (Mafiosa, Bronx) et réalisateur (Premier Jour) qui donne une seconde vie à son projet Caïd.
« Quand j’ai eu cette proposition de mise en série, c’était une véritable opportunité. Ils nous ont fait une confiance totale et nous avons pu garder tous les acteurs de la genèse du film […] Nous sommes passés du football amateur au football professionnel » confirme Ange chez nos confrères de Corse-Matin. Dans les colonnes du quotidien, il évoque également son envie de tourner ici, chez lui, un polar tout d’abord et un long métrage sur la Corse pendant la seconde guerre mondiale. Des projets ambitieux que cet acharné, ce “caïd” du cinéma corse devrait rapidement mettre en branle.
Quatre ans plus tard, après le grand Prix au Festival de Polar de Cognac, voilà Caïd qui débarque sur la plateforme aux 193 millions d’abonnés.
Pour les besoins de la fiction, les deux réalisateurs ont utilisé le matériau original, leur long-métrage tourné avec un budget dérisoire (70 000 euros), en seulement quatre jours à Martigues. Ils en ont fait une version télé – une sorte de remake – en dix épisodes d’une dizaine de minutes chacun.
Found footage
Dans Caïd, un réalisateur et son caméraman sont envoyés dans un quartier au cœur des cités du sud de la France afin de tourner un clip de rap. Si leur intégration semble se dérouler sans encombre au premier abord, le duo se trouve rapidement pris dans une violente guerre de gangs. Pour apporter encore plus d’intensité à cette adaptation du long-métrage autoproduit d’Ange Basterga et Nicolas Lopez, la série a été intégralement montée avec les codes du found footage, genre démocratisé au cinéma avec Le Projet Blair Witch et la franchise Paranormal Activity.
Projets
Après les succès du film Bronx d’Olivier Marchal et de la série Lupin avec Omar Sy, les français ont la côte chez Netflix. Tant mieux pour le talentueux Ange Basterga, acteur (Mafiosa, Bronx) et réalisateur (Premier Jour) qui donne une seconde vie à son projet Caïd.
« Quand j’ai eu cette proposition de mise en série, c’était une véritable opportunité. Ils nous ont fait une confiance totale et nous avons pu garder tous les acteurs de la genèse du film […] Nous sommes passés du football amateur au football professionnel » confirme Ange chez nos confrères de Corse-Matin. Dans les colonnes du quotidien, il évoque également son envie de tourner ici, chez lui, un polar tout d’abord et un long métrage sur la Corse pendant la seconde guerre mondiale. Des projets ambitieux que cet acharné, ce “caïd” du cinéma corse devrait rapidement mettre en branle.