Paris-Calvi s'est terminé en bus
A Calvi, le temps était ensoleillée, le ciel légèrement brumeux, mais rien de très méchant et un vent à peine perceptible. Dans ces conditions, les passagers au départ n'avaient aucune raison de s'inquiéter pour leur avion, pas plus que ceux qui embarquaient à Orly Ouest à 14h20 pour une arrivée prévue à 16h10.
Pourtant, la chef de cabine de l'Airbus A318 annonçait qu'en raison de vents tourbillonnants et d'orages en montagne, l'appareil se déroutait sur Bastia-Poretta.
Jusque là, tout était normal, si ce n'est que certains passagers apprenaient qu'à Calvi il faisait un temps magnifique et que de plus un Airbus A 320 s'était posé sans la moindre difficulté vers 15h25 et que pour couronner le tout, aucun autre déroutement n'avait eu lieu.
A leur arrivée à Bastia, certain d'entre eux ont manifesté leur mécontentement, avant de recevoir pour toute réponse que "le commandant de bord était maître de son avion et qu'il fallait s'en mettre à son bon vouloir"!
Résignés les passagers embarquaient à bord d'autocars vers Ile-Rousse et Calvi. Un trajet qui s'effectuait dans des conditions très moyennes.
A l'aéroport de Calvi-Balagne, là aussi on avait du mal à comprendre pourquoi l'avion n'avait même pas tenté une approche avant de se dérouter sur Bastia.
Pourtant, la chef de cabine de l'Airbus A318 annonçait qu'en raison de vents tourbillonnants et d'orages en montagne, l'appareil se déroutait sur Bastia-Poretta.
Jusque là, tout était normal, si ce n'est que certains passagers apprenaient qu'à Calvi il faisait un temps magnifique et que de plus un Airbus A 320 s'était posé sans la moindre difficulté vers 15h25 et que pour couronner le tout, aucun autre déroutement n'avait eu lieu.
A leur arrivée à Bastia, certain d'entre eux ont manifesté leur mécontentement, avant de recevoir pour toute réponse que "le commandant de bord était maître de son avion et qu'il fallait s'en mettre à son bon vouloir"!
Résignés les passagers embarquaient à bord d'autocars vers Ile-Rousse et Calvi. Un trajet qui s'effectuait dans des conditions très moyennes.
A l'aéroport de Calvi-Balagne, là aussi on avait du mal à comprendre pourquoi l'avion n'avait même pas tenté une approche avant de se dérouter sur Bastia.