À trois jours du début du championnat, qui commencera par une rencontre contre Poitiers, le GFCA Volley a présenté ce mercredi 30 septembre à la Casetta sa nouvelle équipe. L’occasion pour le président Antoine Exiga de faire le bilan de la saison passée, jugée « très honorable » : « L’entraîneur avait réussi à faire un collectif très performant, qui nous a permis de rivaliser avec les meilleurs » se félicite t-il.
Mais c’est aussi et surtout le moment de dresser des objectifs pour la reprise. Des objectifs revus à la baisse, restrictions budgétaires obligent : « Le club a des difficultés financières » confie Antoine Exiga, « l’objectif cette année, c’est le maintien. Nous avons fait l’Europe depuis 5 ans. Cette année, pas d’Europe, mais on va se battre ».
Jean-Pierre Sollacaro, présent en tant qu’élu de la ville d’Ajaccio tire son chapeau au club : « Aujourd’hui, avec la crise il faut être costaud pour pouvoir tenir une équipe de haut niveau. Je vous souhaite la place de play-off car vous avez la capacité et les éléments pour qu’Ajaccio le soit ».
Et pour se battre, l’entraîneur Frédéric Ferrandez est allé chercher des « conquérants ». « C’est notre marque de fabrique » souligne t-il. Une équipe largement renouvelée, avec neuf arrivées dans le collectif de douze, le club ayant été obligé de se séparer de nombreux joueurs. « Nous avons également rajeuni le groupe, avec six joueurs de moins de 21 ans » indique le président Exiga. À noter, l’arrivée de Guillaume Quesque, ancien international français, et le retour d’Emmanuel Ragondet, qui jouera libero, et du passeur Rusmir Halilovic.
Coté organisation, cette première rencontre samedi 3 octobre va connaître quelques aménagements. « Nous avons élaboré un protocole sanitaire » indique le vice-président Sylvestre Sammarcelli.
Concernant les spectateurs, la jauge a été divisée par deux : sur les 1 800 places du Palatinu, seulement 800 seront disponibles. Des spectateurs qui ne pourront pas « accompagner leur sandwich d’un verre de vin », comme le fait remarquer le président Exiga, en raison de l’interdiction préfectorale concernant l’alcool, qui court jusqu’au 11 octobre. « Un match de volley doit rester un spectacle. Il faut qu’il y ait de la convivialité, mais aussi le respect de ces mesures » note Sylvestre Sammarcelli.
Malgré les inquiétudes et les restrictions, la nouvelle équipe est prête à en découdre : « On a hâte d’être à samedi » conclut Frédéric Ferrandez.
Le rendez-vous est donné.
Mais c’est aussi et surtout le moment de dresser des objectifs pour la reprise. Des objectifs revus à la baisse, restrictions budgétaires obligent : « Le club a des difficultés financières » confie Antoine Exiga, « l’objectif cette année, c’est le maintien. Nous avons fait l’Europe depuis 5 ans. Cette année, pas d’Europe, mais on va se battre ».
Jean-Pierre Sollacaro, présent en tant qu’élu de la ville d’Ajaccio tire son chapeau au club : « Aujourd’hui, avec la crise il faut être costaud pour pouvoir tenir une équipe de haut niveau. Je vous souhaite la place de play-off car vous avez la capacité et les éléments pour qu’Ajaccio le soit ».
Et pour se battre, l’entraîneur Frédéric Ferrandez est allé chercher des « conquérants ». « C’est notre marque de fabrique » souligne t-il. Une équipe largement renouvelée, avec neuf arrivées dans le collectif de douze, le club ayant été obligé de se séparer de nombreux joueurs. « Nous avons également rajeuni le groupe, avec six joueurs de moins de 21 ans » indique le président Exiga. À noter, l’arrivée de Guillaume Quesque, ancien international français, et le retour d’Emmanuel Ragondet, qui jouera libero, et du passeur Rusmir Halilovic.
Coté organisation, cette première rencontre samedi 3 octobre va connaître quelques aménagements. « Nous avons élaboré un protocole sanitaire » indique le vice-président Sylvestre Sammarcelli.
Concernant les spectateurs, la jauge a été divisée par deux : sur les 1 800 places du Palatinu, seulement 800 seront disponibles. Des spectateurs qui ne pourront pas « accompagner leur sandwich d’un verre de vin », comme le fait remarquer le président Exiga, en raison de l’interdiction préfectorale concernant l’alcool, qui court jusqu’au 11 octobre. « Un match de volley doit rester un spectacle. Il faut qu’il y ait de la convivialité, mais aussi le respect de ces mesures » note Sylvestre Sammarcelli.
Malgré les inquiétudes et les restrictions, la nouvelle équipe est prête à en découdre : « On a hâte d’être à samedi » conclut Frédéric Ferrandez.
Le rendez-vous est donné.