Les représentants du collectif ont déposé une gerbe devant la plaque qui rappelle la catastrophe du 5 Mai 1992 au ministère des Sports
Vanina et Josepha Giudicelli, Corinne Matttei, Ludovic Martel et Didier Grassi , membres du collectif des victimes du 5 Mai, sont montés une fois encore à Paris ce lundi pour faire entendre raison aux responsables du football français en présence de la ministre des Sports Roxanna Maracinéanu, qui avait convié les deux parties à son ministère.
A cette occasion les représentants du collectif n'ont pas manqué de rappeler que sous l'ère de Thierry Braillard, il avait été acquis qu'aucun match ne se jouerait le 5 Main mais uniquement si c'était un samedi.
Mais qu'en revanche, ils courent toujours après leur revendication essentielle : un gel total de la date du 5 Mai.
Nathalie Boy de la Tour, présidente de la LFP et Noël Le Graet, le président de la Fédération française de football, comme l'on pouvait s'y attendre, "n'ont proposé aucune solution. En tout cas ils n'ont fait aucune proposition dans ce sens" a rappelé Didier Grassi. "Ils se sont réfugiés derrière les calendriers et des difficultés à reporter des rencontres. Mais ils l'ont bien fait lors des manifestations des Gilets Jaunes et plus récemment encore à l'occasion du G7".
Aujourd'hui à défaut d'une solution venant de ce côté, il appartiendra sans doute aux "politiques" de prendre la décision de sacraliser ou pas le 5 Mai. "Un projet de loi porté par un groupe politique va prochainement venir en discussion à l'Assemblée nationale".
Ce jour-là peut-être.
A cette occasion les représentants du collectif n'ont pas manqué de rappeler que sous l'ère de Thierry Braillard, il avait été acquis qu'aucun match ne se jouerait le 5 Main mais uniquement si c'était un samedi.
Mais qu'en revanche, ils courent toujours après leur revendication essentielle : un gel total de la date du 5 Mai.
Nathalie Boy de la Tour, présidente de la LFP et Noël Le Graet, le président de la Fédération française de football, comme l'on pouvait s'y attendre, "n'ont proposé aucune solution. En tout cas ils n'ont fait aucune proposition dans ce sens" a rappelé Didier Grassi. "Ils se sont réfugiés derrière les calendriers et des difficultés à reporter des rencontres. Mais ils l'ont bien fait lors des manifestations des Gilets Jaunes et plus récemment encore à l'occasion du G7".
Aujourd'hui à défaut d'une solution venant de ce côté, il appartiendra sans doute aux "politiques" de prendre la décision de sacraliser ou pas le 5 Mai. "Un projet de loi porté par un groupe politique va prochainement venir en discussion à l'Assemblée nationale".
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