Jean-Michel Lamberti, candidat du parti Reconquête! dans la 1ère circonscription deHaute-Corse pour les élections législatives des 12 et 19 juin prochain.
- Qu'est-ce qui vous a poussé à vous présenter sur la 1ère circonscription de Haute-Corse ?
- L'élément déclencheur, qui m’a fait accepter de me présenter, est que j’ai été agressé par un groupe de jeunes, samedi dernier, sur la Place Saint Nicolas à Bastia. Un adolescent n’a pas maîtrisé son scooter et il m’est rentré dedans. En disant que c’était ma faute ! Une dizaine de ses amis sont arrivés et il m’ont agressé et, avant que la police n’arrive, ils m’ont fait tomber au sol. Cette agression m’a décidé à me présenter. De plus, je suis Gaulliste et je pense qu’aujourd’hui Eric Zemmour est le politique qui incarne le mieux les valeurs du Gaullisme. Il veut donner une souveraineté à la Nation, et il veut aussi mettre un terme à la civilisation incontrôlée.
- Vous avec donc reçu l’investiture officielle de son parti Reconquête! ?
- Oui ! J'ai l'investiture officielle du QG du parti depuis jeudi.
- Le score d’Eric Zemmour à la présidentielle a été important en Corse. Souvent l'Extrême-droite ne transforme pas l’essai aux élections locales. Pensez-vous passer la barre du 1er tour ?
- D’abord, je ne m’identifie pas à l’Extrême-droite ! Reconquête n’est as un parti d’Extrême-droite, comme le disent les medias parisiens. Nous ne sommes pas des fachos ! Nous sommes la Droite, la vraie Droite qui veut le bien des Français et des Corses. Nous voulons les protéger pour l’avenir. Et l’Extrême-droite est méchante ! Concernant mon score, bien sûr que je passerai ! Les échos sont positifs. Et puis, nous sommes pour l’union des droites et des patriotes corses.
- Vous vous présentez face à un député sortant, Michel Castellani, qui a une longue expérience politique. Quel bilan dressez vous de son action ?
- Je tiens à dire que je respecte Monsieur Castellani. Mais quels sont les résultats de ce député pour la Corse, hormis de ne plus jouer des matchs le 5 mai ? Qu’est ce qu'il a fait de positif, concrètement, pour la Corse ? Pas grand chose ! Quand on fait des amendements qui sont voués à l’échec…en résultat pour la Corse, ça fait : rien !
- Pendant cette campagne, quels sont les thèmes et les propositions que vous défendez ?
- Un des thèmes qui me tient à coeur, c’est l’avenir des enfants et des futures générations dans un pays qui ne ressemble plus à la France, ni aux valeurs qui sont les siennes par son histoire, sa culture et ses traditions judéo-chrétiennes. Ensuite, évidemment, le problème du pouvoir d’achat en Corse parce qu'ici, nous payons plus cher tous les produits, y compris le carburant qui a un coût plus qu'exorbitant. En même temps, les salaires sont les plus faibles du pays, et les retraites sont très basses. Le taux de pauvreté en Corse est le plus élevé de la métropole. Il faudra donc faire en sorte de mettre en place une prime d’insularité, comme on l'a fait pour les fonctionnaires en 1989. Il faut aussi remettre un peu d’autorité.
- Des discussions ont été ouvertes entre le gouvernement et les élus corses, concernant la question de l'autonomie. Quelle sera votre position, si vous êtes élu ?
- Ça sera une position de propositions. Comme je vous l'ai dit, je faisais partie du Rassemblement pour la Corse, - le vrai ! - fondé en 1985 par Pierre Bartoli. J’ai donc une proposition qui a déjà été écrite à ce moment là…. L’autonomie, c’est bien, mais pour qui ? L’autonomie, c’est pour les Corses, mais encore faudrait-il qu’il en reste encore dans quelques années ! A la vitesse à laquelle progresse la démographie, il y a fort à parier qu'il n’y aura plus beaucoup de Corses en Corse dans quelques années.
- Quelle serait votre priorité en tant que député de la Corse, si vous êtiez élu ?
- Evidement, il faudra trouver des solutions pour la pauvreté, mais ce débat se fera au niveau national. Je me battrai aussi aux coté d’Eric Zemmour pour que des propositions de son programme soient mises en place. Parmi ces mesures, il y de rapprocher le plus possible le salaire net du salaire brut. Il y a ensuite un problème sur l’hôpital de Bastia qui est vieillissant, il faut vite trouver une solution pour moderniser cet établissement de santé.
- L'élément déclencheur, qui m’a fait accepter de me présenter, est que j’ai été agressé par un groupe de jeunes, samedi dernier, sur la Place Saint Nicolas à Bastia. Un adolescent n’a pas maîtrisé son scooter et il m’est rentré dedans. En disant que c’était ma faute ! Une dizaine de ses amis sont arrivés et il m’ont agressé et, avant que la police n’arrive, ils m’ont fait tomber au sol. Cette agression m’a décidé à me présenter. De plus, je suis Gaulliste et je pense qu’aujourd’hui Eric Zemmour est le politique qui incarne le mieux les valeurs du Gaullisme. Il veut donner une souveraineté à la Nation, et il veut aussi mettre un terme à la civilisation incontrôlée.
- Vous avec donc reçu l’investiture officielle de son parti Reconquête! ?
- Oui ! J'ai l'investiture officielle du QG du parti depuis jeudi.
- Le score d’Eric Zemmour à la présidentielle a été important en Corse. Souvent l'Extrême-droite ne transforme pas l’essai aux élections locales. Pensez-vous passer la barre du 1er tour ?
- D’abord, je ne m’identifie pas à l’Extrême-droite ! Reconquête n’est as un parti d’Extrême-droite, comme le disent les medias parisiens. Nous ne sommes pas des fachos ! Nous sommes la Droite, la vraie Droite qui veut le bien des Français et des Corses. Nous voulons les protéger pour l’avenir. Et l’Extrême-droite est méchante ! Concernant mon score, bien sûr que je passerai ! Les échos sont positifs. Et puis, nous sommes pour l’union des droites et des patriotes corses.
- Vous vous présentez face à un député sortant, Michel Castellani, qui a une longue expérience politique. Quel bilan dressez vous de son action ?
- Je tiens à dire que je respecte Monsieur Castellani. Mais quels sont les résultats de ce député pour la Corse, hormis de ne plus jouer des matchs le 5 mai ? Qu’est ce qu'il a fait de positif, concrètement, pour la Corse ? Pas grand chose ! Quand on fait des amendements qui sont voués à l’échec…en résultat pour la Corse, ça fait : rien !
- Pendant cette campagne, quels sont les thèmes et les propositions que vous défendez ?
- Un des thèmes qui me tient à coeur, c’est l’avenir des enfants et des futures générations dans un pays qui ne ressemble plus à la France, ni aux valeurs qui sont les siennes par son histoire, sa culture et ses traditions judéo-chrétiennes. Ensuite, évidemment, le problème du pouvoir d’achat en Corse parce qu'ici, nous payons plus cher tous les produits, y compris le carburant qui a un coût plus qu'exorbitant. En même temps, les salaires sont les plus faibles du pays, et les retraites sont très basses. Le taux de pauvreté en Corse est le plus élevé de la métropole. Il faudra donc faire en sorte de mettre en place une prime d’insularité, comme on l'a fait pour les fonctionnaires en 1989. Il faut aussi remettre un peu d’autorité.
- Des discussions ont été ouvertes entre le gouvernement et les élus corses, concernant la question de l'autonomie. Quelle sera votre position, si vous êtes élu ?
- Ça sera une position de propositions. Comme je vous l'ai dit, je faisais partie du Rassemblement pour la Corse, - le vrai ! - fondé en 1985 par Pierre Bartoli. J’ai donc une proposition qui a déjà été écrite à ce moment là…. L’autonomie, c’est bien, mais pour qui ? L’autonomie, c’est pour les Corses, mais encore faudrait-il qu’il en reste encore dans quelques années ! A la vitesse à laquelle progresse la démographie, il y a fort à parier qu'il n’y aura plus beaucoup de Corses en Corse dans quelques années.
- Quelle serait votre priorité en tant que député de la Corse, si vous êtiez élu ?
- Evidement, il faudra trouver des solutions pour la pauvreté, mais ce débat se fera au niveau national. Je me battrai aussi aux coté d’Eric Zemmour pour que des propositions de son programme soient mises en place. Parmi ces mesures, il y de rapprocher le plus possible le salaire net du salaire brut. Il y a ensuite un problème sur l’hôpital de Bastia qui est vieillissant, il faut vite trouver une solution pour moderniser cet établissement de santé.