Isabelle Duquesnoy, la maman, diplômée d’histoire de l’art, est restauratrice et auteure de romans historiques aux éditions de La Martinière. Elle vit entre la Normandie et la Corse (Ajaccio). En 2017, elle publie L’Embaumeur qui raconte l’histoire vraie de Victor Renard, condamné à la guillotine et devenu embaumeur pour échapper à une condition misérable. La Redoutable Veuve Mozart, en 2019, est quant à lui un roman passionnant sur la vie de Constance Mozart, la femme du compositeur. Enfin en 2021, La Pâqueline ou les mémoires d’une mère monstrueuse brosse le portrait d’une mère abominable, celle de Victor Renard l’embaumeur. Un récit écrit dans une langue entre préciosité du XVIIIe et démesure rabelaisienne.
« Ma passion pour l’histoire est une histoire familiale et vient aussi du désir d’écrire ce que je ne trouvais pas en librairie, c'est-à-dire un mélange d’histoire narrant des faits avérés souvent sordides, cachés, tabous, mélangés avec de l’humour » explique Isabelle Duquesnoy. «Ce genre de roman nécessite bien sûr des recherches mais de par ma profession de restauratrice j’étais habituée à faire des recherches historiques. Par exemple pour mon livre sur Mozart, il m’a fallu 4 ans de recherche avant de pouvoir écrire. J’ai du notamment voyager en Autriche et en Tchécoslovaquie. Il faut être très précis dans l’écriture quand il s’agit de tels personnages, méticuleux, pointilleux ».
Justine Duquesnoy, sa fille, âgée de 23 ans habite à Rennes. Diplômée d'Arts plastiques et d'Histoire de l'art, elle est passionnée par l'art occidental du XIXe et par le Japon. Alors lycéenne, c’est durant sa convalescence d'une longue maladie, qu’elle s’est mise à l’écriture, signant en avril 2021 chez Gallimard Jeunesse : «Camille Claudel, Journal d'une apprentie sculptrice, 1877-1879 », un journal intime qu’aurait pu tenir ce personnage qui la fascine, une jeune artiste sculptrice incomprise à l’époque où l’on parlait surtout de son amant Auguste Rodin. Sa fin sera tragique, internée dans un asile à l’âge de 48 ans.
«En fait je me concentre sur mon CAPES puisque je me destine à être professeure d’arts plastiques et écrire n’est pas mon projet premier» souligne Justine Duquesnoy. «J’ai commencé à écrire ce livre quand j’avais 16 ans. Malade, je ne pouvais pas aller au lycée et j’ai ressenti ce besoin d’écrire. Je fonctionne souvent par lubie et à cette période j’étais fascinée par la vie de Camille Claudel. J’ai voulu parler de sa période où elle a été heureuse, plutôt que de sa fin tragique dont on parle beaucoup plus. Pour écrire ce livre je me suis bien sûr documentée en fréquentant le CDI de mon lycée et les archives ».
« Ma passion pour l’histoire est une histoire familiale et vient aussi du désir d’écrire ce que je ne trouvais pas en librairie, c'est-à-dire un mélange d’histoire narrant des faits avérés souvent sordides, cachés, tabous, mélangés avec de l’humour » explique Isabelle Duquesnoy. «Ce genre de roman nécessite bien sûr des recherches mais de par ma profession de restauratrice j’étais habituée à faire des recherches historiques. Par exemple pour mon livre sur Mozart, il m’a fallu 4 ans de recherche avant de pouvoir écrire. J’ai du notamment voyager en Autriche et en Tchécoslovaquie. Il faut être très précis dans l’écriture quand il s’agit de tels personnages, méticuleux, pointilleux ».
Justine Duquesnoy, sa fille, âgée de 23 ans habite à Rennes. Diplômée d'Arts plastiques et d'Histoire de l'art, elle est passionnée par l'art occidental du XIXe et par le Japon. Alors lycéenne, c’est durant sa convalescence d'une longue maladie, qu’elle s’est mise à l’écriture, signant en avril 2021 chez Gallimard Jeunesse : «Camille Claudel, Journal d'une apprentie sculptrice, 1877-1879 », un journal intime qu’aurait pu tenir ce personnage qui la fascine, une jeune artiste sculptrice incomprise à l’époque où l’on parlait surtout de son amant Auguste Rodin. Sa fin sera tragique, internée dans un asile à l’âge de 48 ans.
«En fait je me concentre sur mon CAPES puisque je me destine à être professeure d’arts plastiques et écrire n’est pas mon projet premier» souligne Justine Duquesnoy. «J’ai commencé à écrire ce livre quand j’avais 16 ans. Malade, je ne pouvais pas aller au lycée et j’ai ressenti ce besoin d’écrire. Je fonctionne souvent par lubie et à cette période j’étais fascinée par la vie de Camille Claudel. J’ai voulu parler de sa période où elle a été heureuse, plutôt que de sa fin tragique dont on parle beaucoup plus. Pour écrire ce livre je me suis bien sûr documentée en fréquentant le CDI de mon lycée et les archives ».