• un plan de lutte et de prévention de la maladie :
La vaccination et les coûts liés à l'acte vaccinal seront totalement pris en charge par l’État. Les éleveurs pourront choisir le moment qui convient le mieux, a priori après la mise bas. La vaccination est obligatoire avec un vaccin dont l’efficacité a été testée sur de nombreux cheptels les années passées. Les éleveurs doivent se mettre en relation avec leur vétérinaire pour ce volet de la lutte.
• un plan d’action pour compenser les pertes économiques :
Le ministère de l’agriculture, de l’alimentation et de la forêt a validé le principe d’un plan en deux volets :
– pour les foyers déclarés, un soutien en fonction des pertes économiques liées à la FCO y compris pour le renouvellement du cheptel. Les indemnisations qui seront apportées par les GDS viendront compléter ce dispositif ;
– prise en charge des cotisations sociales (MSA) pour les éleveurs les plus en difficulté.
Le travail engagé avec la profession pour apporter une réponse adaptée à la situation grave que rencontrent les éleveurs et la filière sera naturellement poursuivi. Il portera notamment sur les modalités pratiques de ces 2 volets.
Enfin, il est important de signaler aux consommateurs que cette maladie n’est pas transmissible à l’homme. Elle n’a strictement aucune incidence sur la qualité des produits issus des élevages touchés (viande, lait).
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