C’est une épidémie qui gagne du terrain en Corse. Dans son bulletin de surveillance sanitaire du 20 août, Santé Publique France dévoile que « deux nouveaux épisodes de transmission autochtone de chikungunya ont été détectés sur l’île » à Porto-Vecchio et à Bastelicaccia. Ils s’ajoutent aux foyers déjà connus de Grosseto-Prugna et Ghisonaccia, portant à quatre le nombre total recensé depuis le début de la saison.
Le foyer le plus important demeure à Porticcio, sur la commune de Grosseto-Prugna, où quatorze cas ont été confirmés. Aucun nouveau cas n’y a toutefois été signalé au cours de la dernière semaine. À Ghisonaccia, un troisième cas a été identifié, soit un de plus que la semaine précédente. À Porto-Vecchio, un cas, dont les signes cliniques ont débuté le 31 juillet, a été recensé. Enfin, à Bastelicaccia, un cas a également été enregistré, avec des symptômes apparus le 11 août. Dans ces trois dernières communes, le cas importé à l’origine de la transmission n’a pas encore pu être identifié.
Depuis le lancement de la surveillance renforcée le 1er mai, trois cas importés de chikungunya ont par ailleurs été confirmés en Corse. Aucun nouveau cas n’a été rapporté la semaine dernière.
La situation insulaire s’inscrit dans une tendance plus large observée sur le territoire national. Au 19 août 34 épisodes de transmission autochtone vectorielle avaient été identifiés en France hexagonale, dont vingt-sept épisodes de chikungunya totalisant 154 cas, soit quatre foyers supplémentaires en une semaine.
Face à cette progression, l’Agence régionale de santé rappelle les mesures de prévention individuelles : éliminer les eaux stagnantes autour des habitations, porter des vêtements longs et clairs, utiliser des répulsifs cutanés et installer des moustiquaires. Des gestes simples qui constituent la meilleure protection contre le moustique tigre, vecteur de la maladie.
Le foyer le plus important demeure à Porticcio, sur la commune de Grosseto-Prugna, où quatorze cas ont été confirmés. Aucun nouveau cas n’y a toutefois été signalé au cours de la dernière semaine. À Ghisonaccia, un troisième cas a été identifié, soit un de plus que la semaine précédente. À Porto-Vecchio, un cas, dont les signes cliniques ont débuté le 31 juillet, a été recensé. Enfin, à Bastelicaccia, un cas a également été enregistré, avec des symptômes apparus le 11 août. Dans ces trois dernières communes, le cas importé à l’origine de la transmission n’a pas encore pu être identifié.
Depuis le lancement de la surveillance renforcée le 1er mai, trois cas importés de chikungunya ont par ailleurs été confirmés en Corse. Aucun nouveau cas n’a été rapporté la semaine dernière.
La situation insulaire s’inscrit dans une tendance plus large observée sur le territoire national. Au 19 août 34 épisodes de transmission autochtone vectorielle avaient été identifiés en France hexagonale, dont vingt-sept épisodes de chikungunya totalisant 154 cas, soit quatre foyers supplémentaires en une semaine.
Face à cette progression, l’Agence régionale de santé rappelle les mesures de prévention individuelles : éliminer les eaux stagnantes autour des habitations, porter des vêtements longs et clairs, utiliser des répulsifs cutanés et installer des moustiquaires. Des gestes simples qui constituent la meilleure protection contre le moustique tigre, vecteur de la maladie.
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U tempu in Corsica










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