
Photo illustration archives CNI
Lors de l'audience devant la chambre d'application des peines de la cour d'appel de Paris, le 21 avril, a examiné le projet de semi-liberté présenté par Alain Ferrandi et la décision avait été mise en délibéré au 19 mai. Mais pour connaitre la décision de la cour d'appel antiterroriste de Paris sur le projet de semi-liberté présenté par le détenu il faudra attendre jusqu'au 24 mai.
Alain Ferrandi, 61 ans, prévoit de travailler pour une exploitation de culture d'agrumes, domaine "qui correspond à ses diplômes", a indiqué ile a quelques jours à l'AFP son avocate Françoise Davideau en rappelant que le régime de semi-liberté lui permettrait de travailler à l'extérieur en journée et de rentrer la nuit à la prison de Borgo. "Le dossier qu'on présente répond à toutes les exigences de la loi en matière de réinsertion. Emploi, hébergement si des permissions de sortie sont accordées, indemnisation des parties civiles: toutes les cases sont remplies", a estimé l'avocate, qui ne comprendrait pas un nouveau refus.