Squadra…
-La squadra corsa a débuté en 2009, dans son actuelle configuration. Vous attendiez-vous à un tel engouement ?
- On est parti de très loin, il a fallu effectuer un travail en profondeur et même faire entrer tout ça dans la tête des supporters. Ils sont attachés à leur club, une telle sélection n’était pas évidente au départ. On doit remercier tous les joueurs qui, au fil des années, viennent renforcer ce groupe et lui donner une âme. C’est aussi, si l’on fait une comparaison amusante, à l’image du Pôle Emploi. Ces jeunes ont de la qualité à revendre mais on ne les voit pas assez. On doit leur faire plus confiance. Hormis cet aspect, on reçoit des nations importantes et l’on se doit de bien les accueillir comme la Corse sait le faire, pas toujours l’ensemble de la classe politique insulaire et c’est bien dommage car en réunissant des gens autour d’une même passion telle que le football, c’est fabuleux.
- Vous avez débuté avec des joueurs de renommée nationale et internationale. La stratégie semble changer aujourd’hui ?
- Les premiers ont été les précurseurs et les fers de lance, aujourd’hui, nous avons des jeunes en souffrance. Ils s’expatrient pour beaucoup d’entre eux mais s’illustrent régulièrement. Vendredi dernier, cinq jouaient une accession. Aujourd’hui, les jeunes doivent avoir cette opportunité de démontrer leurs qualités au plus haut niveau. Certains arrivent, d’autres suivront.
- Cela n’implique-t-il pas un travail de formation plus conséquent au niveau des clubs ?
- Les clubs sont en proie à des difficultés qu’elles soient financières ou en termes d’infrastructures. Je reste persuadé qu’en Corse, nous devons mutualiser la formation pour conduire des garçons au plus haut niveau. Si on arrive à bâtir de bons projets, ils seront acceptés par la FFF.
- Vous avez reçu de grosses nations du football comme la Bulgarie ou le Pays Basque qui comptait des internationaux espagnols. - Aujourd’hui, c’est le Nigéria, sans doute ce qui se fait de mieux sur le continent africain. Un rêve ?
Toutes les nations sont les bienvenues en Corse. On travaille déjà sur l’an prochain avec la volonté, peut-être d’emmener notre île sur un continent ou dans un pays européen. Ce serait l’occasion de montrer la qualité de notre football.
-La squadra corsa a débuté en 2009, dans son actuelle configuration. Vous attendiez-vous à un tel engouement ?
- On est parti de très loin, il a fallu effectuer un travail en profondeur et même faire entrer tout ça dans la tête des supporters. Ils sont attachés à leur club, une telle sélection n’était pas évidente au départ. On doit remercier tous les joueurs qui, au fil des années, viennent renforcer ce groupe et lui donner une âme. C’est aussi, si l’on fait une comparaison amusante, à l’image du Pôle Emploi. Ces jeunes ont de la qualité à revendre mais on ne les voit pas assez. On doit leur faire plus confiance. Hormis cet aspect, on reçoit des nations importantes et l’on se doit de bien les accueillir comme la Corse sait le faire, pas toujours l’ensemble de la classe politique insulaire et c’est bien dommage car en réunissant des gens autour d’une même passion telle que le football, c’est fabuleux.
- Vous avez débuté avec des joueurs de renommée nationale et internationale. La stratégie semble changer aujourd’hui ?
- Les premiers ont été les précurseurs et les fers de lance, aujourd’hui, nous avons des jeunes en souffrance. Ils s’expatrient pour beaucoup d’entre eux mais s’illustrent régulièrement. Vendredi dernier, cinq jouaient une accession. Aujourd’hui, les jeunes doivent avoir cette opportunité de démontrer leurs qualités au plus haut niveau. Certains arrivent, d’autres suivront.
- Cela n’implique-t-il pas un travail de formation plus conséquent au niveau des clubs ?
- Les clubs sont en proie à des difficultés qu’elles soient financières ou en termes d’infrastructures. Je reste persuadé qu’en Corse, nous devons mutualiser la formation pour conduire des garçons au plus haut niveau. Si on arrive à bâtir de bons projets, ils seront acceptés par la FFF.
- Vous avez reçu de grosses nations du football comme la Bulgarie ou le Pays Basque qui comptait des internationaux espagnols. - Aujourd’hui, c’est le Nigéria, sans doute ce qui se fait de mieux sur le continent africain. Un rêve ?
Toutes les nations sont les bienvenues en Corse. On travaille déjà sur l’an prochain avec la volonté, peut-être d’emmener notre île sur un continent ou dans un pays européen. Ce serait l’occasion de montrer la qualité de notre football.