Bastia, les premières notes du voyage
Quand on débarque à Bastia, on sent tout de suite que le décor a changé. Les façades un peu défraîchies, le vieux port plein de charme et les terrasses où les locaux discutent en sirotant un verre donnent le ton. Pas besoin de programme chargé ici. On commence la journée par un café allongé avec vue sur la mer, on se perd dans les ruelles de Terra Vecchia, et on finit peut-être à la plage de l’Arinella pour un premier bain.
Le charme de cette ville, c’est justement ce rythme tranquille qui pousse à ralentir. En prenant la route vers le sud, on ne pense plus à l’objectif final mais aux découvertes qu’on fait en chemin.
Côte est, entre virées en mer et haltes gourmandes
Rouler le long de la côte orientale, c’est s’offrir une succession de plaisirs simples. Des petits villages discrets, des plages à perte de vue et des produits du coin qui donnent faim rien qu’en y pensant. Et pour ceux qui veulent voir la Corse autrement, rien de tel qu’une sortie en mer. D’ailleurs, la location de bateau à Porto-Vecchio permet d’explorer des coins paradisiaques que même les sentiers ne dévoilent pas tout de suite, ce qui rend l’expérience encore plus mémorable et authentique pour les voyageurs qui cherchent à sortir des sentiers battus sans prise de tête.
Le sud de l’île commence doucement à dévoiler ses joyaux, mais on reste loin des clichés de cartes postales. Ici, la mer est limpide, oui, mais l’ambiance est vraie. On croise des pêcheurs, des familles, des habitués. On s’installe, on prend son temps.
Bonifacio, la cerise sur le gâteau
Arriver à Bonifacio, c’est un peu comme entrer dans un décor de cinéma. Les falaises blanches, les maisons perchées qui défient les lois de la gravité, les petites ruelles pavées...
Tout invite à la flânerie. On laisse la voiture un moment, on monte, on descend, on se perd dans les escaliers. Et on finit souvent au bord de l’eau, devant un coucher de soleil qui éclaire la citadelle d’une lumière dorée.
Mais Bonifacio, ce n’est pas juste une carte postale. C’est aussi une ville qui se vit à son rythme, loin des foules dès qu’on s’éloigne un peu du port. C’est ici qu’on comprend pourquoi voyager lentement en Corse, c’est finalement le meilleur moyen de vraiment la
vivre.
La route comme compagne de voyage
Ce qui rend cette traversée du nord au sud si spéciale, c’est la manière dont le paysage évolue tout en gardant une même âme. On commence avec la pierre brute, on finit dans les pins parasols, et entre-temps, on a vu des cochons sauvages, goûté du brocciu, parlé avec des gens qui ont l’accent qui chante et le cœur ouvert.
La route ne se mesure pas en kilomètres mais en souvenirs. On s’arrête souvent pour une photo, pour acheter un morceau de fromage, pour prendre un bain sur une plage déserte ou juste parce que la vue est trop belle pour être ignorée. Voyager en Corse, c’est une suite de moments simples, sans filtre, qui marquent pour longtemps.
Quand on débarque à Bastia, on sent tout de suite que le décor a changé. Les façades un peu défraîchies, le vieux port plein de charme et les terrasses où les locaux discutent en sirotant un verre donnent le ton. Pas besoin de programme chargé ici. On commence la journée par un café allongé avec vue sur la mer, on se perd dans les ruelles de Terra Vecchia, et on finit peut-être à la plage de l’Arinella pour un premier bain.
Le charme de cette ville, c’est justement ce rythme tranquille qui pousse à ralentir. En prenant la route vers le sud, on ne pense plus à l’objectif final mais aux découvertes qu’on fait en chemin.
Côte est, entre virées en mer et haltes gourmandes
Rouler le long de la côte orientale, c’est s’offrir une succession de plaisirs simples. Des petits villages discrets, des plages à perte de vue et des produits du coin qui donnent faim rien qu’en y pensant. Et pour ceux qui veulent voir la Corse autrement, rien de tel qu’une sortie en mer. D’ailleurs, la location de bateau à Porto-Vecchio permet d’explorer des coins paradisiaques que même les sentiers ne dévoilent pas tout de suite, ce qui rend l’expérience encore plus mémorable et authentique pour les voyageurs qui cherchent à sortir des sentiers battus sans prise de tête.
Le sud de l’île commence doucement à dévoiler ses joyaux, mais on reste loin des clichés de cartes postales. Ici, la mer est limpide, oui, mais l’ambiance est vraie. On croise des pêcheurs, des familles, des habitués. On s’installe, on prend son temps.
Bonifacio, la cerise sur le gâteau
Arriver à Bonifacio, c’est un peu comme entrer dans un décor de cinéma. Les falaises blanches, les maisons perchées qui défient les lois de la gravité, les petites ruelles pavées...
Tout invite à la flânerie. On laisse la voiture un moment, on monte, on descend, on se perd dans les escaliers. Et on finit souvent au bord de l’eau, devant un coucher de soleil qui éclaire la citadelle d’une lumière dorée.
Mais Bonifacio, ce n’est pas juste une carte postale. C’est aussi une ville qui se vit à son rythme, loin des foules dès qu’on s’éloigne un peu du port. C’est ici qu’on comprend pourquoi voyager lentement en Corse, c’est finalement le meilleur moyen de vraiment la
vivre.
La route comme compagne de voyage
Ce qui rend cette traversée du nord au sud si spéciale, c’est la manière dont le paysage évolue tout en gardant une même âme. On commence avec la pierre brute, on finit dans les pins parasols, et entre-temps, on a vu des cochons sauvages, goûté du brocciu, parlé avec des gens qui ont l’accent qui chante et le cœur ouvert.
La route ne se mesure pas en kilomètres mais en souvenirs. On s’arrête souvent pour une photo, pour acheter un morceau de fromage, pour prendre un bain sur une plage déserte ou juste parce que la vue est trop belle pour être ignorée. Voyager en Corse, c’est une suite de moments simples, sans filtre, qui marquent pour longtemps.
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