"Je suis venu vous remercier pour le travail que vous accomplissez. Les portes de la Fédération vous sont ouvertes. La FFR, ce n'est pas nous, c'est vous qui nous avez élus, c'est la vôtre."
Bernard Laporte sait toujours trouver les mots pour faire passer ses messages.
Ceux prononcés mercredi soir au siège de Ligue corse de Rugby, qu'il découvrait, étaient empreints du sceau de la sincérité.
Et soutenues, par le débit que l'on sait et son accent, ses paroles portent.
En tout cas elles l'ont mené tout en haut de la pyramide du Rugby français où 50 % de ses promesses de campagne - mais oui - ont été tenues.
Le premier chantier concernait la formation. La nouvelle FFR s'y est attelée. Partant du principe qu'il ne suffit pas d'être costaud et d'aller vite mais qu'il faut allier à ses qualités un bagage technique, un programme, avec des formateurs permanents, a été mis sur pied. "Si on n'est pas formé sur ce plan à 13-14 ans, on ne le sera plus jamais après" a rappelé le président de la FFR aux représentants de l'ensemble des clubs corses.
"Au niveau des jeunes la formation est bien plus importante que de gagner des matches" a t-il encore martelé.
Bernard Laporte a aussi évoqué les "malheurs de ces jeunes qui sont partis."
"Mais le Rugby ne tue pas. Ce sont des accidents. Il y en a moins qu'avant. Et il n'y en pas plus en France qu'ailleurs. A l'exception des Fidji, tous les pays sont au même niveau. Mais un accident, c'est toujours un de trop" a t-il concédé en rappelant les démarches qui avaient entreprises tant auprès de World Rugby que du ministère du Sport.
Après quoi le président de la FFR a assisté à l'hôtel Mercure, qui scellait pour la circonstance son partenariat avec la Ligue Corse, à l'assemblée générale de la structure présidée par Simon-Jean Savelli.
L'interview du président de la FFR sur notre vidéo.
Bernard Laporte sait toujours trouver les mots pour faire passer ses messages.
Ceux prononcés mercredi soir au siège de Ligue corse de Rugby, qu'il découvrait, étaient empreints du sceau de la sincérité.
Et soutenues, par le débit que l'on sait et son accent, ses paroles portent.
En tout cas elles l'ont mené tout en haut de la pyramide du Rugby français où 50 % de ses promesses de campagne - mais oui - ont été tenues.
Le premier chantier concernait la formation. La nouvelle FFR s'y est attelée. Partant du principe qu'il ne suffit pas d'être costaud et d'aller vite mais qu'il faut allier à ses qualités un bagage technique, un programme, avec des formateurs permanents, a été mis sur pied. "Si on n'est pas formé sur ce plan à 13-14 ans, on ne le sera plus jamais après" a rappelé le président de la FFR aux représentants de l'ensemble des clubs corses.
"Au niveau des jeunes la formation est bien plus importante que de gagner des matches" a t-il encore martelé.
Bernard Laporte a aussi évoqué les "malheurs de ces jeunes qui sont partis."
"Mais le Rugby ne tue pas. Ce sont des accidents. Il y en a moins qu'avant. Et il n'y en pas plus en France qu'ailleurs. A l'exception des Fidji, tous les pays sont au même niveau. Mais un accident, c'est toujours un de trop" a t-il concédé en rappelant les démarches qui avaient entreprises tant auprès de World Rugby que du ministère du Sport.
Après quoi le président de la FFR a assisté à l'hôtel Mercure, qui scellait pour la circonstance son partenariat avec la Ligue Corse, à l'assemblée générale de la structure présidée par Simon-Jean Savelli.
L'interview du président de la FFR sur notre vidéo.