Au terme d'un scrutin très serré, le 19 juin dernier, François-Xavier Ceccoli, avait loupé la seconde circonscription de Haute-Corse de peu.
Avec 49,77% des voix, soit 156 de moins que son adversaire, Jean-Félix Acquaviva, au soir de l'élection, le maire de San Giuliano avait indiqué à CNI qu'il envisageait de former un recours "dans quelques communes - dont une - il y a eu des violences, d’autres où on a des doutes. Les assesseurs qui ont été molestés porteront plainte. Nous sommes en train de nous poser la question d’un éventuel recours devant le tribunal administratif. Il y a vraiment matière à le faire."
Passé le délai légal pour le faire, fixé au 29 juin à 18 heures, le président de la fédération Les républicains de Haute-Corse a annoncé dans un communiqué, diffusé ce jeudi 30 juin, qu'il ne fera pas contester le résultat. "Nous n'engagerons pas de recours pour annuler cette élection. Cette bataille électorale, nous avons voulu la gagner dans les urnes, pas devant les tribunaux même si le faible écart de voix permet d’envisager un recours devant le Conseilconstitutionnel."
S'il accepte le résultat des urnes, François-Xavier Ceccoli ne perd pas l'occasion pour revenir sur les accidents qui auraient émaillé la journée électorale "nous n'admettons pas des pratiques d'un autre âge qui, si elles ne sont pas imputables à mon adversaire, ont conduit deux assesseurs, deux femmes à être traitées de manière indigne. Nous soutenons pleinement ces personnes dans leur démarche engagée au pénal pour faire toute la lumière sur ce qui s'est passé à Olmu."
L'élu qui remercie les électeurs de l'avoir aidé à "réussir ce score exceptionnel de plus de 16.000 voix dans la deuxième circonscription de la Haute-Corse." Affirme avoir mené une "campagne sereine et digne axée sur les sujets qui intéressent vraiment les Corses pour améliorer le pouvoir d’achat, l’accès au logement, le développement économique et aussi rattraper notre retard en matière de santé." Pour lui ce résultat "validé par des électeurs venus de plusieurs sensibilités politiques" est le point de départ d’une nouvelle aventure ayant vocation à fédérer au-delà des clivages politiques "pour faire gagner la Corse et les Corses. Des initiatives seront prises ces prochains mois afin de structurer cette dynamique."
Avec 49,77% des voix, soit 156 de moins que son adversaire, Jean-Félix Acquaviva, au soir de l'élection, le maire de San Giuliano avait indiqué à CNI qu'il envisageait de former un recours "dans quelques communes - dont une - il y a eu des violences, d’autres où on a des doutes. Les assesseurs qui ont été molestés porteront plainte. Nous sommes en train de nous poser la question d’un éventuel recours devant le tribunal administratif. Il y a vraiment matière à le faire."
Passé le délai légal pour le faire, fixé au 29 juin à 18 heures, le président de la fédération Les républicains de Haute-Corse a annoncé dans un communiqué, diffusé ce jeudi 30 juin, qu'il ne fera pas contester le résultat. "Nous n'engagerons pas de recours pour annuler cette élection. Cette bataille électorale, nous avons voulu la gagner dans les urnes, pas devant les tribunaux même si le faible écart de voix permet d’envisager un recours devant le Conseilconstitutionnel."
S'il accepte le résultat des urnes, François-Xavier Ceccoli ne perd pas l'occasion pour revenir sur les accidents qui auraient émaillé la journée électorale "nous n'admettons pas des pratiques d'un autre âge qui, si elles ne sont pas imputables à mon adversaire, ont conduit deux assesseurs, deux femmes à être traitées de manière indigne. Nous soutenons pleinement ces personnes dans leur démarche engagée au pénal pour faire toute la lumière sur ce qui s'est passé à Olmu."
L'élu qui remercie les électeurs de l'avoir aidé à "réussir ce score exceptionnel de plus de 16.000 voix dans la deuxième circonscription de la Haute-Corse." Affirme avoir mené une "campagne sereine et digne axée sur les sujets qui intéressent vraiment les Corses pour améliorer le pouvoir d’achat, l’accès au logement, le développement économique et aussi rattraper notre retard en matière de santé." Pour lui ce résultat "validé par des électeurs venus de plusieurs sensibilités politiques" est le point de départ d’une nouvelle aventure ayant vocation à fédérer au-delà des clivages politiques "pour faire gagner la Corse et les Corses. Des initiatives seront prises ces prochains mois afin de structurer cette dynamique."