Sur deux étages la galerie propose aux visiteurs toiles, peintures, sculptures, photos.
Parmi les artistes, Anto Tomasini, un peintre contemporain dont les sources d’inspiration trouvent leur origine dans les formes d’élémentarité immémorialement connues de l’homme : le paysage, la terre, l’espace et les formes de matérialité de l’Histoire. Dans les autres pièces de la galerie les œuvres de Claudia Battesti, Jeannine Battesti, Marie-Cécile Bauer, Anne Bendele, Marie-Françoise Ingels, Gérard Semidei, Gérard Marini.
Des photos aussi, celles, magnifiques, en noir et blanc de Sher. «Depuis toute petite je suis passionnée par la photographie. La photographie est pour moi une nécessité, une obsession. J’aime les photos de rues, les moments imprévus lors de mes balades. Je travaille en numérique et j’ai choisi le noir et blanc pour fixer une époque, un lieu ».
A quelques mètres, les photos en noir et blanc aussi, mais pas toutes, de Nadia Galy qui déclenche l’obturateur de son Iphone aussi vite que ses doigts courent sur le clavier pour écrire un roman. Son exposition s’appelle Série Noire. «C’est une série photographique où le noir sert à mettre en lumière » explique t-elle. «24 photographies, j’ai pleuré pour les choisir, non pas à la gloire du noir, mais
plutôt à la gloire de ce que le noir met en exergue. Le noir me sert à magnifier ce que je veux montrer. Ce n’est plus la photo dans son ensemble qui désigne le sujet mais le noir qui s’efface pour laisser un peu de place à l’objet. Ceci est surtout vrai pour les clichés couleur. Ce qui me frappe en général quand je prends une photo c’est véritablement l’esthétique ça me saute aux yeux ». L’idée de Nadia Galy, c’est de montrer que le noir crée la couleur : «Vous n’avez pas besoin de moi pour voir la mer bleue, en revanche pour voir la petite vague que j’ai repérée, pour mettre en valeur ce détail, il faut que tout le reste disparaisse. Et le noir a ce pouvoir d’effacer tout le reste en dehors de ce que je veux garder. Ce qu’il n’y a pas à montrer, je l’enlève grâce au noir». Pour Nadia, ses instantanés pris avec son portable riment avec spontanéité. «Avec les instantanés, je peux donner libre cours à ma spontanéité. En tant qu’architecte, mon métier, tu ne peux pas faire ça : tout est réfléchi pour arriver à quelque chose de beau, d’harmonieux. Ca demande beaucoup de réflexion y a les volumes y a les surfaces les trois dimensions».
*Galerie Noir et Blanc – place du marché – Entrée gratuite
Parmi les artistes, Anto Tomasini, un peintre contemporain dont les sources d’inspiration trouvent leur origine dans les formes d’élémentarité immémorialement connues de l’homme : le paysage, la terre, l’espace et les formes de matérialité de l’Histoire. Dans les autres pièces de la galerie les œuvres de Claudia Battesti, Jeannine Battesti, Marie-Cécile Bauer, Anne Bendele, Marie-Françoise Ingels, Gérard Semidei, Gérard Marini.
Des photos aussi, celles, magnifiques, en noir et blanc de Sher. «Depuis toute petite je suis passionnée par la photographie. La photographie est pour moi une nécessité, une obsession. J’aime les photos de rues, les moments imprévus lors de mes balades. Je travaille en numérique et j’ai choisi le noir et blanc pour fixer une époque, un lieu ».
A quelques mètres, les photos en noir et blanc aussi, mais pas toutes, de Nadia Galy qui déclenche l’obturateur de son Iphone aussi vite que ses doigts courent sur le clavier pour écrire un roman. Son exposition s’appelle Série Noire. «C’est une série photographique où le noir sert à mettre en lumière » explique t-elle. «24 photographies, j’ai pleuré pour les choisir, non pas à la gloire du noir, mais
plutôt à la gloire de ce que le noir met en exergue. Le noir me sert à magnifier ce que je veux montrer. Ce n’est plus la photo dans son ensemble qui désigne le sujet mais le noir qui s’efface pour laisser un peu de place à l’objet. Ceci est surtout vrai pour les clichés couleur. Ce qui me frappe en général quand je prends une photo c’est véritablement l’esthétique ça me saute aux yeux ». L’idée de Nadia Galy, c’est de montrer que le noir crée la couleur : «Vous n’avez pas besoin de moi pour voir la mer bleue, en revanche pour voir la petite vague que j’ai repérée, pour mettre en valeur ce détail, il faut que tout le reste disparaisse. Et le noir a ce pouvoir d’effacer tout le reste en dehors de ce que je veux garder. Ce qu’il n’y a pas à montrer, je l’enlève grâce au noir». Pour Nadia, ses instantanés pris avec son portable riment avec spontanéité. «Avec les instantanés, je peux donner libre cours à ma spontanéité. En tant qu’architecte, mon métier, tu ne peux pas faire ça : tout est réfléchi pour arriver à quelque chose de beau, d’harmonieux. Ca demande beaucoup de réflexion y a les volumes y a les surfaces les trois dimensions».
*Galerie Noir et Blanc – place du marché – Entrée gratuite