« Nous sommes là pour la défense des services publics, du statut et pour l'augmentation du point d'indice » soulignait J.-P. Battestini, secrétaire de l’UD CGT 2B. Et comme au plan national, les personnels des trois fonctions publiques ainsi que des agents du secteur de l'énergie ou des retraités avaient répondu à l'appel de toutes ces organisations syndicales nationales.
« La politique libérale que le président Macron met en œuvre, la manière arrogante et méprisante dont il traite les revendications sociales et notamment les services publics, rendent plus que légitimes nos mobilisations » déclarait pour sa part Charles Casabianca qui a lu un communiqué commun des organisations syndicales présentes. « Sans les services publics, le pays et particulièrement la Corse connaîtraient un recul social et économique sans précédent » précisait-il encore.
« En Corse la question des services publics, de leur accès, revêt une importance particulière » a rencheri J.-P. Battestini à ses cotés. « Que serait la Corse, quelles conséquences pour la population, son développement économique, son aménagement de son territoire, sans les services publics? La réponse est dans la question, un désastre. Dire cela ne signifie pas que des adaptations ou de évolutions ne soient pas nécessaires ni souhaitées. Le numérique, le télé travail offrent des opportunités réelles; mais ils ne doivent pas servir à dénaturer et à affaiblir ce que doivent être ses objectifs à savoir aider les gens à mieux vivre. La question des déchets, le droit d’accès à l’énergie à l’eau potable au numérique, les moyens pour la santé, l’éducation, la culture, l’entretien du réseau routier et l’aménagement du Territoire sont autant de besoins à relever par le service public avec des agents sous statut garantissant efficacité et égalité de traitement. Oui les services publics, leurs développements, leur accès et leur efficacité constituent une priorité pour permettre à notre Région de regarder l’avenir avec espoir et confiance. Si certains se réjouissent de la croissance et de la part majeure que le tourisme prend dans l’activité insulaire, elle n’est pas sans risques. Pour une société ou chacun trouve sa place, ou l’activité économique se base sur un développement durable, les services publics sont essentiel. Il n’y a pas trop de services publics dans le pays et en Corse. Ce qu’il y a de trop en Corse c’est d’emplois précaires, de chômeurs, de faibles salaires et des pensions de misère ».
Après lecture de la déclaration commune (voir ci-joint) devant la préfecture de la Haute-Corse, les manifestants ont défilé jusqu’à la mairie.
« La politique libérale que le président Macron met en œuvre, la manière arrogante et méprisante dont il traite les revendications sociales et notamment les services publics, rendent plus que légitimes nos mobilisations » déclarait pour sa part Charles Casabianca qui a lu un communiqué commun des organisations syndicales présentes. « Sans les services publics, le pays et particulièrement la Corse connaîtraient un recul social et économique sans précédent » précisait-il encore.
« En Corse la question des services publics, de leur accès, revêt une importance particulière » a rencheri J.-P. Battestini à ses cotés. « Que serait la Corse, quelles conséquences pour la population, son développement économique, son aménagement de son territoire, sans les services publics? La réponse est dans la question, un désastre. Dire cela ne signifie pas que des adaptations ou de évolutions ne soient pas nécessaires ni souhaitées. Le numérique, le télé travail offrent des opportunités réelles; mais ils ne doivent pas servir à dénaturer et à affaiblir ce que doivent être ses objectifs à savoir aider les gens à mieux vivre. La question des déchets, le droit d’accès à l’énergie à l’eau potable au numérique, les moyens pour la santé, l’éducation, la culture, l’entretien du réseau routier et l’aménagement du Territoire sont autant de besoins à relever par le service public avec des agents sous statut garantissant efficacité et égalité de traitement. Oui les services publics, leurs développements, leur accès et leur efficacité constituent une priorité pour permettre à notre Région de regarder l’avenir avec espoir et confiance. Si certains se réjouissent de la croissance et de la part majeure que le tourisme prend dans l’activité insulaire, elle n’est pas sans risques. Pour une société ou chacun trouve sa place, ou l’activité économique se base sur un développement durable, les services publics sont essentiel. Il n’y a pas trop de services publics dans le pays et en Corse. Ce qu’il y a de trop en Corse c’est d’emplois précaires, de chômeurs, de faibles salaires et des pensions de misère ».
Après lecture de la déclaration commune (voir ci-joint) devant la préfecture de la Haute-Corse, les manifestants ont défilé jusqu’à la mairie.