Les faits se sont déroulés vers 13h40.
Laurent Bracconi, 35 ans, était attablé à la terrasse du Café L'Empire dont il était le gérant, rue Napoléon quand un homme, grimé, s'est porté à sa hauteur et a tire à plusieurs reprises dans sa direction avec une arme de poing.
Touché notamment à la tête et au thorax il s'est effondré sur sa chaise. Dans le même temps le tireur qui a agi avec une froide détermination, s'en va à pied comme il est venu...
Dans le centre-ville de Bastia, écrasé par la chaleur, il n'y a pas grand monde dans la rue piétonne, mais quelques témoins de la scène qui se trouvent à proximité du lieu de l'homicide se portent au secours de la victime.
Malheureusement il est déjà trop tard pour Laurent Bracconi. Quand les secours arrivent sur les lieux la victime de ce sanglant faits divers, protégée de la vue des passants derrière un parasol, est, en effet, en arrêt cardio-respiratoire. Elle va bientôt cesser de vivre.
Le lieu de l'homicide et la rue Napoléon sont alors rapidement bouclés par les effectifs de la direction départementale de la sécurité publique. La scène de crime, isolée, est passée au peigne fin par les services de la police technique et scientifique en présence notamment de Nicolas Bessone, procureur de la République, qui va confirmer le scénario de l'homicide : celui d'un homme arrivé à pied avec une casquette et des lunettes de soleil et une arme de poing - grise - en métal qui a tiré plusieurs coups de feu à bout portant en direction de Laurent Bracconi...
Selon le procureur de la République la victime était connue des services de police et de la justice pour une affaire remontant à 8 ans et liée au grand banditisme. Elle était originaire de Pruno et Taglio-Isolaccio.
L'enquête a été confiée à l'antenne bastiaise de la police judiciaire qui peu après les faits s'est mis à la recherche de témoins autres que ceux qui ont assisté à la scène dans l'établissement afin de mieux déterminer le cheminement du tireur qui est arrivé et reparti seul à pied.
Mais par-delà ces constatations, les investigations en cours devront essayer de déterminer - dans son passé ? - les raisons qui sont à l'origine de la mort violente de Laurent Bracconi, une exécution perpétrée, à l'évidence, pour marquer les esprits : en plein jour et d'une balle, notamment, dans la tête...
Laurent Bracconi, 35 ans, était attablé à la terrasse du Café L'Empire dont il était le gérant, rue Napoléon quand un homme, grimé, s'est porté à sa hauteur et a tire à plusieurs reprises dans sa direction avec une arme de poing.
Touché notamment à la tête et au thorax il s'est effondré sur sa chaise. Dans le même temps le tireur qui a agi avec une froide détermination, s'en va à pied comme il est venu...
Dans le centre-ville de Bastia, écrasé par la chaleur, il n'y a pas grand monde dans la rue piétonne, mais quelques témoins de la scène qui se trouvent à proximité du lieu de l'homicide se portent au secours de la victime.
Malheureusement il est déjà trop tard pour Laurent Bracconi. Quand les secours arrivent sur les lieux la victime de ce sanglant faits divers, protégée de la vue des passants derrière un parasol, est, en effet, en arrêt cardio-respiratoire. Elle va bientôt cesser de vivre.
Le lieu de l'homicide et la rue Napoléon sont alors rapidement bouclés par les effectifs de la direction départementale de la sécurité publique. La scène de crime, isolée, est passée au peigne fin par les services de la police technique et scientifique en présence notamment de Nicolas Bessone, procureur de la République, qui va confirmer le scénario de l'homicide : celui d'un homme arrivé à pied avec une casquette et des lunettes de soleil et une arme de poing - grise - en métal qui a tiré plusieurs coups de feu à bout portant en direction de Laurent Bracconi...
Selon le procureur de la République la victime était connue des services de police et de la justice pour une affaire remontant à 8 ans et liée au grand banditisme. Elle était originaire de Pruno et Taglio-Isolaccio.
L'enquête a été confiée à l'antenne bastiaise de la police judiciaire qui peu après les faits s'est mis à la recherche de témoins autres que ceux qui ont assisté à la scène dans l'établissement afin de mieux déterminer le cheminement du tireur qui est arrivé et reparti seul à pied.
Mais par-delà ces constatations, les investigations en cours devront essayer de déterminer - dans son passé ? - les raisons qui sont à l'origine de la mort violente de Laurent Bracconi, une exécution perpétrée, à l'évidence, pour marquer les esprits : en plein jour et d'une balle, notamment, dans la tête...