Le CNOSF a proposé aux équipes requérantes de s’en tenir à la décision du Conseil d’administration de la Ligue de football professionnel du 30 avril dernier entérinant la fin du championnat sans la possibilité pour les 3e, 4e et 5e de disputer des play-offs.
L’ACA, Troyes et Clermont contestaient l’arrêt définitif de la saison, qui les privait d’une chance d'accéder à la Ligue 1, droit qu’ont gagné Lorient et Lens, en qualité de premier pour le club breton et de deuxième pour le club nordistes.
Mais l'ACA n'entend pas en rester là. Dans un communiqué le club ajaccien annonce qu'il saisit le Conseil d'Etat afin de faire respecter ses droits et l'éthique sportive.
"L’AC Ajaccio a pris connaissance de l’avis rendu ce jour par le CNOSF, qui ne nous satisfait pas. En effet, nous avons relevé, plusieurs arguments qui ne nous paraissent pas déterminants.
Nous maintenons que l’AC Ajaccio, a vocation à évoluer la saison prochaine en Ligue 1. Nous observons toutefois que les conciliateurs ont évoqué la notion de perte de chance, laquelle en droit, ouvre la porte à une indemnisation partielle.
Nous allons donc saisir immédiatement le Conseil d’Etat d’un recours afin que nos droits et l’équité sportive soient respectés".
L’ACA, Troyes et Clermont contestaient l’arrêt définitif de la saison, qui les privait d’une chance d'accéder à la Ligue 1, droit qu’ont gagné Lorient et Lens, en qualité de premier pour le club breton et de deuxième pour le club nordistes.
Mais l'ACA n'entend pas en rester là. Dans un communiqué le club ajaccien annonce qu'il saisit le Conseil d'Etat afin de faire respecter ses droits et l'éthique sportive.
"L’AC Ajaccio a pris connaissance de l’avis rendu ce jour par le CNOSF, qui ne nous satisfait pas. En effet, nous avons relevé, plusieurs arguments qui ne nous paraissent pas déterminants.
Nous maintenons que l’AC Ajaccio, a vocation à évoluer la saison prochaine en Ligue 1. Nous observons toutefois que les conciliateurs ont évoqué la notion de perte de chance, laquelle en droit, ouvre la porte à une indemnisation partielle.
Nous allons donc saisir immédiatement le Conseil d’Etat d’un recours afin que nos droits et l’équité sportive soient respectés".