Nautilus
(Ed. Glénat, 1 tome paru)
(Scénario de Mathieu Mariolle et dessin de Guénaël Grabowski)
«Kimball O’Hara est un agent des services secrets britanniques au destin bouleversé un soir de l’année 1899 à Bombay… La filature d’un agent russe l’a mené sur un paquebot du gouvernement anglais qui sera victime d’un attentat quelques instants après son arrivée. Dans le chaos général, il est désigné coupable du drame. Pour prouver son innocence, désamorcer les tensions diplomatiques et espérer un jour revoir son fils, Kim va devoir récupérer des documents secrets restés dans l’épave du bateau tombée au fond de la baie. Malheureusement, aucun homme n’est capable de s’enfoncer aussi profondément dans les fonds marins. Aucun, sauf peut-être un seul, son nom est Némo. Fuyant les autorités indiennes, Kim se met en quête de ce personnage légendaire à qui appartient le sous-marin le plus performant de tous les temps : le Nautilus...»
Mathieu Mariolle (Blue Note, La Voie du Sabre…) revient avec une nouvelle série d’action et d’espionnage en mélangeant les univers de Kipling et Jules Verne. Il est accompagné, au dessin, par Guénaël Grabowski, qui signe son premier album de BD et donne vie au récit avec un dessin riche en détailles et dynamique.
Mauvaise réputation
Ed. Glénat, 1 tome paru)
(Scénario de Antoine Ozanam et dessin d’Emmanuel Bazin)
«1908. Oklahoma. Emmett Dalton n’est plus un criminel depuis longtemps. Il a payé sa dette à la société, il se contente d’une existence discrète et tente même parfois de visiter l’église pour prier – sans trop de succès pour cette dernière activité. Aussi lorsqu’un producteur de cinéma lui propose de participer à l’écriture d’un film consacré aux méfaits de sa légendaire fratrie, il se méfie, refuse, puis réalise finalement qu’une chance lui est offerte : évacuer le mythe, rétablir un semblant de vérité et sauver la réputation de sa famille. Les quatre frères Dalton ne sont pas nés hors-la-loi. Au contraire ! Ils ont tous endossé le rôle de Marshal à l’aube de leurs carrières, et c’est n’est pas de plein gré qu’ils ont plus tard embrassé des vies de fugitifs... Qui d’autre qu’Emmett, seul survivant, pour déterrer ces douloureux souvenirs et conter sans hypocrisie la véritable histoire des Dalton.»
Antoine Ozanam (Klaw, Popeye-Un Homme à la Mer…) signe une biographie en deux tomes sur les célèbres Dalton, sans préjugés ni idées reçus, très loin des versions caricaturales de Morris et Goscinny. Emmanuel Bazin, dont c’est la première BD, met en scène le récit avec un dessin et des couleurs à l’aquarelle tout en contraste avec l’idée d’un Far-West fantasmé.
Ecoline
(Ed. GrandAngle, 1 tome)
(Scénario de Stephen Desberg et dessin de Teresa Martinez)
« Ecoline est destinée à devenir chien de garde. Mais plutôt que de protéger la ferme, elle passe son temps à peindre. Une occupation qui provoque son exil de la campagne vers un Paris en pleine effervescence. L’Exposition universelle approche à grands pas et pour accueillir les visiteurs du monde entier, la capitale se doit d’être impeccable ! Sans argent et sans collier, Ecoline doit trouver une solution, sous peine d’être à nouveau chassée. Dans la ville Lumière où tout le monde ne parle que de ces nouveaux artistes, les impressionnistes, Ecoline croit tenir sa chance et décide de vendre ses peintures. Mais le public est-il prêt à aduler une chienne-peintre ?»
Stephen Desberg (Les Rivières du Passé, Deux Hommes en Guerre…) propose un parcours initiatique dans un Paris de la fin du 19e siècle en transposant le monde animalier à celui des humains avec différent niveaux de lecture. Teresa Martinez, (Les Valiants) donne vie au récit avec un dessin doux et coloré et par des clins d’œil aux artistes de l’époque.