(Archives CNI)
La motion adoptée par l’Assemblée de Corse pour soutenir les Palestiniens et condamner Israël suscite une vive polémique. Ce texte, porté par la présidente de l’Assemblée avec le soutien de la majorité et des groupes nationalistes d’opposition, est accusé par les membres du collectif de l'associationTerra Eretz Corsica Israël, de « non-sens historique » et « d’erreur politique » par ses détracteurs. (Voir ci-dessous)
Ces derniers dénoncent une prise de position qu’ils jugent déplacée face aux enjeux locaux : « Si le sujet n’était pas si grave, et la situation de la Corse si préoccupante, on pourrait en rire », ironisent-ils. Ils s’insurgent notamment contre les recommandations adressées à la Cour pénale internationale et aux gouvernements français et italien, estimant que les signataires « veulent jouer dans une cour qui n’est pas la leur ».
Le texte critique également un alignement supposé sur les positions de La France Insoumise, qualifiée de « courroie de transmission des islamistes », et met en garde contre une dérive idéologique : « Nous dénions à ces élus le droit d’engager la Corse dans cette propagande idéologique ».
Faisant référence au tricentenaire de Pasquale Paoli, les auteurs estiment que cette motion « frappe la Corse du sceau de l’indignité » et appellent les élus à se recentrer sur leurs missions : « faire en sorte que les Corses vivent dans un pays prospère, en paix et resté libre ». Enfin, ils en appellent à la population pour rejeter ce qu’ils perçoivent comme une tentative d’« installer les prémices d’une "libanisation" de la Corse.
Ces derniers dénoncent une prise de position qu’ils jugent déplacée face aux enjeux locaux : « Si le sujet n’était pas si grave, et la situation de la Corse si préoccupante, on pourrait en rire », ironisent-ils. Ils s’insurgent notamment contre les recommandations adressées à la Cour pénale internationale et aux gouvernements français et italien, estimant que les signataires « veulent jouer dans une cour qui n’est pas la leur ».
Le texte critique également un alignement supposé sur les positions de La France Insoumise, qualifiée de « courroie de transmission des islamistes », et met en garde contre une dérive idéologique : « Nous dénions à ces élus le droit d’engager la Corse dans cette propagande idéologique ».
Faisant référence au tricentenaire de Pasquale Paoli, les auteurs estiment que cette motion « frappe la Corse du sceau de l’indignité » et appellent les élus à se recentrer sur leurs missions : « faire en sorte que les Corses vivent dans un pays prospère, en paix et resté libre ». Enfin, ils en appellent à la population pour rejeter ce qu’ils perçoivent comme une tentative d’« installer les prémices d’une "libanisation" de la Corse.
Le texte de Terra Eretz Corsica Israë
Alors que la Corse connaît une situation extrêmement difficile sur le plan économique, budgétaire et en matière de sécurité, la présidente de l'assemblée de Corse, soutenue par sa majorité et par les groupes nationalistes de l'opposition, a pris l’initiative de déposer une motion pour soutenir les palestiniens et condamner Israël dans une déferlante de préconisations relatives aux politiques étrangère et de défense de la France, au droit international , à l’utilisation des infrastructures militaires et va jusqu’à donner des injonctions à la Cour Pénale Internationale et aux gouvernements français et italien !
Si le sujet n’était pas si grave, et la situation de la Corse si préoccupante, on pourrait en rire.
Mais le texte de l’Assemblée de Corse constitue un non-sens historique et une erreur politique.
Nous dénions à ces élus, le droit d’engager la Corse dans cette propagande idéologique aux côtés de ceux qui refusent à Israël le droit de se défendre, et de parler au nom des Corses qui, dans leur immense majorité, soutiennent Israël.
La Corse et les Corses, par leur histoire et par tradition, resteront fidèles aux valeurs d’humanisme et condamneront les régimes totalitaires islamistes qu’ils sévissent à Téhéran ou à Gaza.
Nul n’est dupe d’une stratégie basée sur le rejet des pays occidentaux et de leurs régimes démocratiques.
Par cette motion, c’est la Corse de Pasquale Paoli, dont nous fêtons le tricentenaire de naissance, qui est frappée du sceau de l’indignité.
Nous devons ici rappeler à ces élus de la collectivité de Corse que leur rôle est de s’occuper des affaires de la Corse, de faire en sorte que les Corses vivent dans un pays prospère, en paix et resté libre, et non pas d’installer les prémices d’une libanisation de la Corse.
Nous appelons tous les Corses, qui s’associent à notre condamnation, à diffuser largement ce texte.
Signé : association TERRA ERETZ CORSICA ISRAËL collectif
Si le sujet n’était pas si grave, et la situation de la Corse si préoccupante, on pourrait en rire.
Mais le texte de l’Assemblée de Corse constitue un non-sens historique et une erreur politique.
- À l’heure où une partie importante du monde arabe se félicite du rapprochement avec l’état hébreu engagé via les accords d’Abraham,
- À l’heure où l’Iran construit une bombe nucléaire pour menacer le monde et, avec l’aide de ses proxis, Houtis, Hezbollah Hamas, jure de détruire l’État d’Israël,
- À l’heure où le peuple iranien espère encore se libérer de la tyrannie des mollahs,
- À l’heure où l’antisémitisme se développe comme un fléau avec chasse aux juifs dans les rues ou sur les réseaux sociaux,
les signataires , qui veulent jouer dans une cour qui n’est pas la leur, s’alignent sur les positons extrémistes de LFI, courroie de transmission des islamistes et par ailleurs sous le coup d’une commission d’enquête portant sur les liens qu’entretient ce parti avec les réseaux islamistes. Nous dénions à ces élus, le droit d’engager la Corse dans cette propagande idéologique aux côtés de ceux qui refusent à Israël le droit de se défendre, et de parler au nom des Corses qui, dans leur immense majorité, soutiennent Israël.
La Corse et les Corses, par leur histoire et par tradition, resteront fidèles aux valeurs d’humanisme et condamneront les régimes totalitaires islamistes qu’ils sévissent à Téhéran ou à Gaza.
Nul n’est dupe d’une stratégie basée sur le rejet des pays occidentaux et de leurs régimes démocratiques.
Par cette motion, c’est la Corse de Pasquale Paoli, dont nous fêtons le tricentenaire de naissance, qui est frappée du sceau de l’indignité.
Nous devons ici rappeler à ces élus de la collectivité de Corse que leur rôle est de s’occuper des affaires de la Corse, de faire en sorte que les Corses vivent dans un pays prospère, en paix et resté libre, et non pas d’installer les prémices d’une libanisation de la Corse.
Nous appelons tous les Corses, qui s’associent à notre condamnation, à diffuser largement ce texte.
Signé : association TERRA ERETZ CORSICA ISRAËL collectif
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