Arnau Baque Roig a annoncé son retrait du projet de rachat de l'AC Ajaccio.
Sans grande surprise, Arnau Baqué Roig, l'avocat espagnol, annoncé comme futur repreneur de l'AC Ajaccio, a mis fin à tout suspense ce mercredi après-midi en annonçant officiellement son retrait du projet de rachat du club ajaccien : "je tiens à vous informer que je suis contraint de me retirer en raison du manque de confiance manifestée par les dirigeants actuels de l’ACA et des désaccords importants survenus entre les parties à partir du 8 juillet 2025. Tout au long du processus, la transparence et la clarté ont manqué pour entreprendre la tâche difficile de redresser une situation financière extrêmement délicate. L’aggravation constante de la situation de l’ACA depuis le début des négociations, avec une dette en constante augmentation, a encore compliqué les choses. Compte tenu de l’urgence de la situation, j’ai dû proposer, dans l’urgence, d’augmenter mon engagement personnel et financier initial de près de trois fois le montant proposé. Je ne peux donc pas continuer à m’engager dans un projet où les bases minimales de confiance ne sont pas réunies ou ont été publiquement remises en question, notamment depuis la conférence de presse tenue au Club le 16 juillet 2025, il a été décidé de faire preuve d’inconsidération à mon égard et de commencer à me blâmer publiquement pour une situation dont je n’ai en aucun cas été responsable. Comme annoncé par le directeur financier de l'AC Ajaccio, la dette du club ajaccien s'élèverait désormais à plus de 13 millions d'euros.
Absent lors de la conférence de presse organisée par les dirigeants de l'AC Ajaccio, c'est sans surprise alors même qu'Alain Orsoni, le président de la Holding avait annoncé la nouvelle aux supporters hier soir en réunion, que l'avocat se retire définitivement du dossier : "Comme je l’ai indiqué, depuis le 8 juillet 2025, la direction actuelle de l’ACA a décidé — une circonstance que je respecte, même si je ne suis pas d’accord avec elle — de s’écarter de la ligne commune que nous avions suivie et de poursuivre avec la FFF sous les garanties qu’elle jugeait appropriées, excluant ainsi ma participation active et celle de mon équipe. Malgré ma déception face à ces circonstances, j’ai maintenu ma ferme volonté d’accompagner le club jusqu’au bout et de le soutenir jusqu’à son appel devant la FFF, qui a eu lieu le 15 juillet à Paris, en espérant que la procédure d’appel aboutirait".
Les dirigeants ajacciens, qui ont reçu les attendus de la DNCG, vont maintenant devoir trouver un plan B pour tenter de sauver le club. Ils vont tout d'abord saisir le CNOSF dans l'espoir de repasser devant le Comex de la FFF pour tenter de garder leur place en Ligue 2, mais ils devront aussi surtout préparer un budget solide pour le National 1, ce qui est loin d'être gagné après le retrait d'Arnau Baqué Roig. "Je suis profondément dévasté par la situation actuelle de l’ACA, résultat d’une série de circonstances que je n’ai pas à évaluer et que chacun saura faire correctement. J’espère ardemment que l’ACA saura surmonter ce moment critique et que son histoire centenaire célébrera de nombreux anniversaires, continuant à faire rayonner cette merveilleuse île qu’est la Corse", conclut l'avocat catalan dans son message d'adieu.
Absent lors de la conférence de presse organisée par les dirigeants de l'AC Ajaccio, c'est sans surprise alors même qu'Alain Orsoni, le président de la Holding avait annoncé la nouvelle aux supporters hier soir en réunion, que l'avocat se retire définitivement du dossier : "Comme je l’ai indiqué, depuis le 8 juillet 2025, la direction actuelle de l’ACA a décidé — une circonstance que je respecte, même si je ne suis pas d’accord avec elle — de s’écarter de la ligne commune que nous avions suivie et de poursuivre avec la FFF sous les garanties qu’elle jugeait appropriées, excluant ainsi ma participation active et celle de mon équipe. Malgré ma déception face à ces circonstances, j’ai maintenu ma ferme volonté d’accompagner le club jusqu’au bout et de le soutenir jusqu’à son appel devant la FFF, qui a eu lieu le 15 juillet à Paris, en espérant que la procédure d’appel aboutirait".
Les dirigeants ajacciens, qui ont reçu les attendus de la DNCG, vont maintenant devoir trouver un plan B pour tenter de sauver le club. Ils vont tout d'abord saisir le CNOSF dans l'espoir de repasser devant le Comex de la FFF pour tenter de garder leur place en Ligue 2, mais ils devront aussi surtout préparer un budget solide pour le National 1, ce qui est loin d'être gagné après le retrait d'Arnau Baqué Roig. "Je suis profondément dévasté par la situation actuelle de l’ACA, résultat d’une série de circonstances que je n’ai pas à évaluer et que chacun saura faire correctement. J’espère ardemment que l’ACA saura surmonter ce moment critique et que son histoire centenaire célébrera de nombreux anniversaires, continuant à faire rayonner cette merveilleuse île qu’est la Corse", conclut l'avocat catalan dans son message d'adieu.
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