La maison qui appartient aujourd'hui à Laurent Rossi, le fils de Tino, avait obtenu il y a quelques années le label "Maison des Illustres" attribué par le ministère de la Culture aux demeures destinées à transmettre "la mémoire d'hommes et de femmes ayant influencé l'histoire régionale ou nationale".
Au Scudo, devenu un véritable musée érigé en mémoire de l'illustre enfant d'Ajaccio, les malfaiteurs ont fait main basse sur des objets de valeur et du mobilier. Mais au passage, les auteurs de cet acte, qui a soulevé un véritable tollé à Ajaccio et auprès des milliers de fans qui vouent encore un culte particulier au chanteur décédé en 1983, ont également brisé du mobilier.
Selon les premiers éléments de l'enquête confiée à la direction départementale de la sécurité publique, les cambrioleurs se sont, sans doute, introduits dans la villa de Tino Rossi après avoir fracturé un volet et fait voler en éclats une baie vitrée.
"Je n’ai qu’un seul besoin", disait souvent Tino Rossi aux journalistes qu'il recevait au Scudo "c’est de revenir chez moi. Quand je suis sur la terre de mes parents, je suis bien. Ici, je suis un contemplatif, je n’ai qu’à poser les yeux sur tout ce que j’aime : ma femme, mon fils, ma maison, mes fleurs, mes amis et je suis heureux ».
Samedi soir il l'a sans doute été un peu moins en voyant depuis un coin de ciel, au-dessus d'Ajaccio, ces individus s'attaquer ainsi au fruit de son talent laissé en héritage à tous ceux qui entendent ne pas l'oublier !
Au Scudo, devenu un véritable musée érigé en mémoire de l'illustre enfant d'Ajaccio, les malfaiteurs ont fait main basse sur des objets de valeur et du mobilier. Mais au passage, les auteurs de cet acte, qui a soulevé un véritable tollé à Ajaccio et auprès des milliers de fans qui vouent encore un culte particulier au chanteur décédé en 1983, ont également brisé du mobilier.
Selon les premiers éléments de l'enquête confiée à la direction départementale de la sécurité publique, les cambrioleurs se sont, sans doute, introduits dans la villa de Tino Rossi après avoir fracturé un volet et fait voler en éclats une baie vitrée.
"Je n’ai qu’un seul besoin", disait souvent Tino Rossi aux journalistes qu'il recevait au Scudo "c’est de revenir chez moi. Quand je suis sur la terre de mes parents, je suis bien. Ici, je suis un contemplatif, je n’ai qu’à poser les yeux sur tout ce que j’aime : ma femme, mon fils, ma maison, mes fleurs, mes amis et je suis heureux ».
Samedi soir il l'a sans doute été un peu moins en voyant depuis un coin de ciel, au-dessus d'Ajaccio, ces individus s'attaquer ainsi au fruit de son talent laissé en héritage à tous ceux qui entendent ne pas l'oublier !
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