Jean-Christophe Angelini, leader du PNC, avait convié les médias insulaires, ce jeudi, à l’hôtel Best Western d’Ajaccio pour une conférence de presse de rentrée. À ses côtés le conseiller exécutif Saveriu Luciani, la plupart des élus territoriaux PNC à l’exception de Vannina Borromei retenue à Marseille ( Pierre Poli, Paul Miniconi, Jean-François Casalta, Mattea Casalta, Julia Tiberi), et Léon Giacomoni, président du Cunsigliu.
Le chef de file du mouvement politique a réaffirmé, en préambule, la nécessité de maintenir « l’esprit militant et l’organisation de masse sur le terrain afin de rester dans le fil du travail accompli ces cinquante dernières années et de ce pourquoi nous avons été élus… »
Jean-Christophe Angelini a ensuite décliné les prochaines échéances au cours desquelles le PNC compte s’impliquer. Outre le Cunsigliu Naziunale, sorte d’AG permanente ayant lieu tous les deux mois, qui se tiendra à Corte le 13 septembre (18.00) et une fête le 21 à l’Espace Carlu Rocchi de Biguglia, il a été question de la venue de Jacqueline Gourrault, ce vendredi. « Nous allons rester présents, rappelle l’élu, le dialogue avec Paris est actuellement dans l’impasse, pour en sortir, il faut peut-être ouvrir d’autres espaces de dialogue. »
Saveriu Luciani lui a emboîté le pas. « Nous ne sommes pas seulement des élus locaux mais les représentants d’un peuple qui a besoin d’une émancipation plus large. Nous sommes les décideurs sur un territoire de 8700km2 bloqués face à la vision d’un centralisme forcené. Nous allons donc relancer la discussion… »
« Le salut viendra dans l’union »
Au-delà d’un bras de fer qui se poursuit entre Paris et la Corse pour les raisons que l’on sait, le PNC a également évoqué les prochaines élections municipales. Cette fois, c’est Jean-François Casalta, pressenti pour conduire une liste nationaliste qui a réaffirmé la nécessité de s’unir. « Le salut viendra dans l’union. Il ne peut y avoir de division sur les territoires. Ce serait perçu comme un manque d’efficacité par rapport au travail réalisé. L’enjeu municipal rejoint l’enjeu territorial. À Aiacciu comme dans toutes les villes et villages de Corse, il n’y a pas de solution ailleurs que dans la majorité unie. »
Toujours en évoquant cette échéance cruciale, Jean-Christophe Angelini a conclu : « Le nationalisme que nous portons depuis des années doit se décliner à l’échelle locale. Cette responsabilité municipale est le dernier moyen pour l’Etat, de nier notre représentativité… »
Le bras de fer continue…En même temps que l’appel du pied vers Femu a Corsica…
Le chef de file du mouvement politique a réaffirmé, en préambule, la nécessité de maintenir « l’esprit militant et l’organisation de masse sur le terrain afin de rester dans le fil du travail accompli ces cinquante dernières années et de ce pourquoi nous avons été élus… »
Jean-Christophe Angelini a ensuite décliné les prochaines échéances au cours desquelles le PNC compte s’impliquer. Outre le Cunsigliu Naziunale, sorte d’AG permanente ayant lieu tous les deux mois, qui se tiendra à Corte le 13 septembre (18.00) et une fête le 21 à l’Espace Carlu Rocchi de Biguglia, il a été question de la venue de Jacqueline Gourrault, ce vendredi. « Nous allons rester présents, rappelle l’élu, le dialogue avec Paris est actuellement dans l’impasse, pour en sortir, il faut peut-être ouvrir d’autres espaces de dialogue. »
Saveriu Luciani lui a emboîté le pas. « Nous ne sommes pas seulement des élus locaux mais les représentants d’un peuple qui a besoin d’une émancipation plus large. Nous sommes les décideurs sur un territoire de 8700km2 bloqués face à la vision d’un centralisme forcené. Nous allons donc relancer la discussion… »
« Le salut viendra dans l’union »
Au-delà d’un bras de fer qui se poursuit entre Paris et la Corse pour les raisons que l’on sait, le PNC a également évoqué les prochaines élections municipales. Cette fois, c’est Jean-François Casalta, pressenti pour conduire une liste nationaliste qui a réaffirmé la nécessité de s’unir. « Le salut viendra dans l’union. Il ne peut y avoir de division sur les territoires. Ce serait perçu comme un manque d’efficacité par rapport au travail réalisé. L’enjeu municipal rejoint l’enjeu territorial. À Aiacciu comme dans toutes les villes et villages de Corse, il n’y a pas de solution ailleurs que dans la majorité unie. »
Toujours en évoquant cette échéance cruciale, Jean-Christophe Angelini a conclu : « Le nationalisme que nous portons depuis des années doit se décliner à l’échelle locale. Cette responsabilité municipale est le dernier moyen pour l’Etat, de nier notre représentativité… »
Le bras de fer continue…En même temps que l’appel du pied vers Femu a Corsica…